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Echanges libertins

Jeudi 14 août 4 14 /08 /Août 10:51
Un très beau recit, que nous voudrions notre, mais qui a été redigé à lautomne 2006 par un talentueux auteur repondant au pseudo ''Wonderfull Time" ... tout un programme !

Il y a longtemps que nous voulions vous faire partager ce superbe moment d'érotisme et d'Amour dans lequel nous nous retrouvons à merveille.


Je coupe le contact. « Somewhere I belong » des Linkin Park s’arrête. Jusqu’à présent, tu chantonnais avec eux pour prendre un air dégagé et ne pas révéler ta nervosité. Le parking est rempli de voitures, pourtant il est désert. Les néons brillent dans la nuit.

Prête ?


Oui, réponds-tu après une légère inspiration que tu veux discrète.

Je te souris, je sens bien l’angoisse dans tes yeux. Je te caresse la cuisse et je me penche pour t’embrasser. Tu attrapes mon cou de la main droite et tes lèvres se plaquent contre les miennes. Ta langue parcourt la mienne très vite, ton souffle s’accélère. Ton baiser est passionné, digne d’un adieu. Tu te pends toujours à mon cou. Nous nous séparons et tu me gratifies d’un sourire inquiet.

J’ouvre la portière, un léger souffle frais s’engouffre dans la voiture surchauffée. Je ferme la voiture à clef et je me précipite vers toi, pour te prendre par la taille et te serrer contre moi.

 

Nous arrivons devant la porte, sombre, petit judas et œilleton derrière une grille. Je sonne. La grande porte sombre s’ouvre. Un colosse nous gratifie d’un grand sourire et nous salue d’un geste de tête. C’est toi qui réponds, immediatement..

Bonsoir ! Je sens que ta voix trahit encore l’anxiété.


Bonsoir Messieurs Dames ! Si vous vulez bien, c’est par ici… nous indique l’homme.

Nous nous approchons de la seconde porte, la poussons. La musique nous frappe de plein fouet. La lumière, les sons, les couleurs, tout contraste avec l‘extérieur. Ton regard détaille la salle devant nous et finit dans le mien. Un sourire naît doucement sur ton visage parfaitement maquillé.

On y va ?

Ton sourire s’élargit et tu me réponds avec un hochement de tête timide. Nous sommes devant le vestiaire ou officie une magnifique brune qui ne semble avoir froid ni aux yeux ni au reste !

Donne-moi ton manteau.

Doucement je t’aide à retirer ton manteau, et vais le tendre, avec ma veste à la belle jeune femme.

Déjà, je sens que des regards guettent ce moment et nous scrutent. Ta robe très courte, apparaît aux yeux dede et fière. Je te scrute. tous. Je suis ravi. Je me retourne pour t’observer. Tu es très droite, gran

Tes talons donnent un galbe incroyable à tes jambes fuselées délicieusement recouvertes de bas noirs et fins. Ta robe noire au dos nu est un rêve pour moi.

Tu t’affiches en public pour la première fois avec. Nouée autour du cou, elle laisse apparaître une grande partie de ton dos cambré, de tes épaules cuivrées dont je raffole. Elle se finit très haut sur tes cuisses, presque à la limite de tes bas.

Je continue à t’observer. Tu donnes l’air si sûre de toi, si imperturbable.

J’admire ta force car je sais que tu n’es pas loin de la panique. Je reviens vers toi par derrière, pose mes mains sur tes épaules. Doucement, tu tournes ta tête, cherchant un baiser que je te donne avec bonheur.

Viens

Je t’indique le bar et nous traversons les tables basses presque toutes remplies par des couples. Des regards lourds se posent sur toi sur ton passage. Je vois bien les têtes se retourner. Toi, toujours aussi droite tu avances, fière, presque froide, semblant les ignorer. Je t’admire, comme toujours tu me prouves ce que ta volonté peut faire. Je t’indique un tabouret haut sur lequel tu glisses en un seul mouvement lent et sensuel. Je m’installe à tes côtés. Je lance à la serveuse qui s‘approche :

Deux coupes de champagne, s’il vous plait.

Nos regards se promènent dans la salle. Des tables basses entourées de poufs et petits fauteuils moelleux aux couleurs criardes. Les murs blancs alternent entre le marbre et les tentures.

Sur le côté une piste de danse sur laquelle personne n’ose s’aventurer. Les estrades sont vides, la cabine du DJ aussi.

Au bout d’un moment, mes yeux s’accoutumant aux spots et à la pénombre qui règne derrière, je remarque des cages en hauteur.

Tout autour de la piste, les murs sont couverts de miroirs. Sur le côté, un escalier en colimaçon permet dedescendre.

Les coupes de champagne nous sont servies. Je te tends la tienne puis je saisis la mienne. Nos regards se croisent pendant que nous approchons nos verres.

Je t’aime

Ton sourire revient au moment où nos verres se rencontrent. Tes yeux sont toujours ancrés dans les miens. Je suis si bien. Je profite de ces instants de bonheurs, ces instants où nous nous retrouvons.

Çà va ?


Oui


N’oublie pas, rien n’est obligatoire ici, la seule chose qui compte c’est nous… c’est toi !


Je sais
, me réponds-tu

Sur le côté je m’aperçois qu’un couple nous observe. Elle est brune, cheveux longs, pas maquillée.

Elle porte une robe noire proche de la tienne, peut-être un peu plus longue, avec des bottes. Sa peau est bronzée, son sourire timide et ses yeux très noirs.

Lui est châtain, cheveux plus longs que les miens, coiffés en mèches dressées par du gel. Rasé de près, son nez en pointe surplombe un sourire ravageur à la Tom Cruise avec des dents très blanches. Il porte une chemise blanche déboutonnée sur le haut, révélant un torse imberbe, bronzé. Ses manches sont relevées, il porte un jean bleu très serré. Je m’aperçois que tu les observe aussi à l’aide d’un miroir.

Tu vois, que ce n’est pas aussi glauque, te dis-je avec un sourire.

Etonnée, tu me souris et me fais un clin d’œil. J’ai l’impression d’avoir surpris une petite fille qui vient de faire une bêtise. Je suis amusé, j’attrape ta main et je commence à te caresser l’avant bras. Tu te penches, mendiant un baiser pardonneur. Je t’embrasse et te glisse à l’oreille :

Ils sont pas ma, eux ?

Toujours muette, tu me réponds par un léger hochement de tête et un sourire coquin. Je m’aperçois que ton verre est déjà vide.

Je fais signe à la serveuse de nous servir à nouveau deux coupes.

Détendue, tu engages la conversation sur les lieux, la décoration. Je me sens de mieux en mieux. Notre complicité devient câline, nous échangeons des sourires, des clins d’œil.

 

Nous quittons le bar pour nous installer sur une table. Je vois bien que le couple continue à te regarder. Installés dans les fauteuils moelleux, tu te colles contre moi, je t’enlace avec un bras, ma main caressant ta hanche. Souvent notre conversation s’interrompt et nous profitons des ces instants passés tous les deux.

 

Sur la piste de danse, quelques couples commencent à danser, accompagnés de trois ou quatre hommes seuls. Nous nous moquons d’un couple aux allures vulgaires se trémoussant maladroitement.

Elle a une tenue en sky blanche, des collants résilles rose et une couleur de cheveux jaune, des chaussures plateau. Le bilan est sévère, et comme souvent tu l’es plus que moi.

Beaucoup de personnes ici jouent avec le ridicule. Je te fais remarquer que c’est pareil dans toutes les boîtes.

 

Parmi eux, nous tombons toutefois d’accord sur un grand black, métisse, crane rasé, musclé et charmeur. Il porte un pantalon très moulant en cuir noir et un T-shirt transparent noir. Il est très sûr de sa beauté et joue au milieu de la piste des regards qui se posent sur lui. Après un moment, la piste se remplissant de plus en plus, je te demande à plusieurs reprises de venir danser. Finalement, tu attrapes ton verre dont tu vides d’un coup le reste et tu m’accompagnes.

Nous commençons à danser, l’un contre l’autre. Nos gestes dégagent un érotisme qui me rend fou. Mes mains parcourent ton corps, tes seins libres sous ta robe, tes fesses. Je cherche les traces d’un string mais dois me résoudre à l’évidence : finalement, tu n’as rien mis. Coquine ! A cette pensée, je ressens des picotements dans le bas de mon ventre.

 

Les danses s’enhardissent, je sens que tu te laisses aller, bercée par le désir et l’alcool. Autour de nous, il en est de même : les couples se chauffent, des caresses sont échangées, dans une cage, une dame déjà âgée entame une danse assez grossière, les seins nus.

Mais, paradoxalement, j’ai l’impression d’être seul avec toi. Comme invisibles, nous dansons, sans se préoccuper des autres. Nos baisers deviennent endiablés, nos langues se mêlent fougueusement. Je suis aux anges, la soirée pourrait se poursuivre ainsi tellement je suis bien près de toi.

Des couples commencent à emprunter l’escalier au bout de la piste suivis par d’autres couples ou des hommes. Nous continuons à danser. Tu ondules et tournes comme je ne t’avais jamais vu faire. Nos caresses se font plus marquées plus suggestives. Tu te colles contre moi de dos. Tes mains, derrière, caressent mon sexe tendu sous mon pantalon. Le black se rapproche de nous. Il danse très bien et son regard ne se détache plus de toi.

Souvent il te frôle, profitant de mouvements qui ne doivent rien au hasard. Tu fermes les yeux et te laisses faire. Je m’aperçois qu’il est plus grand que moi.

De près, il est impressionnant et son T-shirt laisse deviner sa musculature, taillée mais pas exagérée.

Plus que jamais, nos baisers sont violents presque indécents. Le DJ se défoule mais arrive le moment où il entame une série de slows.

Plusieurs hommes t’invitent mais tu refuses. Le black a disparu. Nous nous enlaçons durant deux slows. Puis, nous nous éloignons de la piste. Je suis surpris de voir ton visage détendu qui n’arrive pas à effacer un doux et subtil sourire. Je vois dans tes yeux que le champagne a doucement commencé à faire son effet. Je te demande si tu veux boire quelque chose. Toujours muette, tu me fais signe que non de la tête. Tu attrapes ma main et tu m’entraînes vers les escaliers.

 

Surpris je te suis, incrédule ne sachant pas ce que tu voulais. Désir, curiosité, voyeurisme…

 

Nous descendons dans une pénombre feutrée, la musique semble s'éloigner. Seuls quelques éclairages rouges parsèment les murs recouverts de tissus et de miroirs. Les escaliers découchent sur un couloir donnant sur plusieurs pièces. Nous avançons doucement.

 

Les deux premières chambres sont vides, uniquement remplies d’un grand lit, de fauteuils contre les murs. Au plafond, des miroirs. Seules les couleurs changent. A la troisième nous retrouvons le couple qui nous avait fais rire. Madame est attachée à un mur, nue avec seulement ses bas roses et un porte-jarretelles violet. Monsieur est à quatre pattes, léchant ses bottes blanches. Deux hommes sont debout près d’eux, les pantalons sur les chevilles en train de se masturber. Nous ne restons pas longtemps à contempler ce spectacle grotesque.

 

Plus loin, nous découvrons des scènes diverses dont certaines retiennent notre attention. D’abord, un couple qui se livre à un 69 devant un autre couple qui se caresse sur un canapé à leur coté. Ensuite, deux femmes emmêlées se caressent et se lèchent devant leurs maris (enfin nous le supposons). L’une des deux est particulièrement belle. Nous nous installons un moment devant l’entrée de la chambre observant ce spectacle lesbien, très excités. Des gens nous frôlent, des mains nous touchent. Dans mes bras, je te sens onduler, fondre. Puis le couple que nous avions observé à notre arrivée se pose à nos côtés. Nous n ‘échangeons qu’un regard, puis nous retournons au show que les deux filles rendent de plus en plus chaud.

 

Soudain je te sens respirer de plus en plus fort, et j’entends un très faible gémissement. Je m’aperçois que la femme du couple a commencé à te caresser les seins à travers le tissu de ta robe. Je te serre plus fort contre moi. Je suis dans ton dos. Avec ta main tu cherches à agripper ma nuque, réclamant un baiser. Tu bascules ta tête en arrière. Nos langues se mêlent encore une fois sauvagement. La femme s’est mise en face de toi, et parcours ton corps de ses deux mains, descendant le long de tes hanches, de tes cuisses jusqu’à tes chevilles. Lentement, elle remonte, ses mains sur tes bas, glissant sous ta robe. A la secousse de ton corps, je comprends qu’elle est arrivée à ton sexe. Ton corps se relâche puis se tend brusquement par à coups, tu gémis, ton souffle s’accélère. Je t’embrasse dans le cou, mon excitation est à son comble. Beaucoup dede nous bousculer. personnes se sont approchées, matant les différents spectacles qui s’offrent à eux. Des hommes se collent contre nous, presque au point

Ta partenaire se redresse, son visage se rapproche du tien et elle pose un baiser sur tes lèvres. Puis elle prend la main de son mari et s’éloigne, vraisemblablement gênée par le monde à proximité. Je me penche vers ton visage :

Alors ?


Çà fait bizarre, arrives-tu à me murmurer

Çà t’a plu ?

Oui

Nous décidons de quitter aussi cet endroit, nous dirigeant vers le fond du couloir passant devant une autre pièce vide. Le couloir débouche sur un grand salon dans lequel plusieurs couples se mélangent. Beaucoup dede te faire l’amour.

Je n’en peux plus d’être spectateur te dis-je.
spectateurs, plus ou moins actifs s’alignent contre les murs. Nous regardons un instant, mais nous ne parvenons pas à nous laisser prendre au jeu. Le désir m’a envahit et je ne contrôle plus mon envie


D’accord

 

Nous nous retournons, et de la tête, je te désigne la pièce vide à côté. Tu t’engages dans cette chambre, garnie d’un immense lit rond entouré de banquettes.

Tu t’arrêtes devant le lit, je me mets derrière toi, je te caresse les épaules et je fais glisser ta robe révélant ton corps cuivre et marqué des traces de maillot, nu mais recouvert uniquement de tes bas aux larges jarretières.

Je me baisse pour enlever tes chaussures et tu te couches sur le lit. Je me déshabille à mon tour et te rejoins. Mon sexe, soulagé par sa libération, se dresse, à la limite de la douleur. Nous nous enlaçons, nous embrassons fougueusement pendant de très longs moments.

 

Rapidement, des spectateurs remplissent les banquettes. Je suis impressionné, plus d’une dizaine dedent. Il y a 4 couples dont la femme de l’un d’eux a entamé une fellation sur son compagnon. Trois ou quatre hommes seuls se sont installés. Deux se masturbent. Je me retrouve sur le dos, tu me chevauches. Tu embrasses ma poitrine, mon ventre descendant lentement sur mon sexe. Quand ta bouche se referme sur lui, je ne peux retenir un long râle, persuadé que j’allais craquer immédiatement. Tu commences un lent va et vient qui m ‘emporte dans des doux frissons de plaisirs. Tu te mets à quatre-pattes en angle droit avec mon corps continuant ta pipe appliquée. Tu offres une magnifique vue sur ton sexe aux veinards qui sont du bon côté. Certains, moins chanceux se déplacent rapidement pour s’accaparer les quelques places bien placées restantes. Ma main gauche descend le long de ton corps jusqu'à tes petites fesses. Lentement, mes doigts se glissent dans ton sexe inondé. Je monte et je descends entre ton clitoris et ton anus. Je te sens frémir sous mes caresses.

J’aimerai que cet échange dure toujours mais ta bouche continue de provoquer une tempête dans tout mon corps. Je me retire pour me positionner derrière toi et te pénétrer en levrette. Des petits cris t’échappent alors que je commence à aller et venir en toi. En face de nous, je croise le regard troublé et rempli de désir du black.
personnes nous regar

Il n’est pas indifférent à ton corps. Je me demande si tu as les yeux ouverts et si tu le vois. Je ne sais si tu lui as fait un signe ou s’il réagit à une pulsion, mais je le vois qui se lève. Autour de nous, tous les couples ont entrepris des ébats. Je vois cet homme qui se rapproche et qui déboutonne son pantalon pour attaquer une masturbation lente sur son sexe dressé haut. Son sexe est dur, bandé, marbré de 2 veines turgescentes … il n’est pas énorme, mais toutefois plus gros (plus large) que le mien. Son gland est lisse, un peu rosé. Je sais qu’il doit te plaire. Il se rapproche doucement de toi.

Je ne crois pas mes yeux, quand je vois ta main saisir son sexe. Après quelques caresses et une prise en main ferme, je vois ton visage et lui s’approcher mutuellement. Rapidement, l’homme se retourne et saisit un préservatif dans une des jattes qui se trouvent dans chaque pièce. Rapidement, il le déroule sur son membre et reviens près de toi … son gland vient buter doucement sur ta joue, à la commissure des lèvres. Tu ne sembles pas rebutée et au contraire, tu engloutis son sexe. Une seconde, interloqué, je ne te reconnais pas.

 

Mais très rapidement, ce sentiment est chassé par un moment de plaisir. Je sais que tu te lâches, que tu vis pleinement ton plaisir. Tous tes tabous et tes réticences s’effondrent, seuls comptes nos plaisirs et nos jouissances. Je continue mes mouvements, plus rapides et plus musclés. Tu gémis et quelques instants, je songe que j’aimerais être à la place de cet homme. Je sais que tes gémissements étouffés subliment ta fellation et transmettent des vibrations de son sexe jusque dans tout son corps.

La maladresse subite de tes mouvements prouve que tu es prête à jouir. Je sens que le plaisir monte rapidement et croise le regard du black qui semble être lui aussi au bord de l’explosion. Je prends le temps tout de même de lui glisser ‘’pas dans sa bouche’’.

Nous restons encore plusieurs moments dans cette position où nous bougeons en cadence. Nous mélangeons tous les trois nos râles et nos gémissements. Dans une parfaite harmonie nous explosons tous les deux en même temps. Le black a juste le temps de se retirer pour jouir à nos côtés. Il s’est retiré doucement du fourreau de ta bouche et je vois des jets puissants et blanchâtres venir gonfler le réservoir. Tes bras s’effondrent et tu rentres la tête dans le matelas. Des papillons noirs brouillent ma vue, je ne sens plus mes forces et je m’affale à tes côtés.

Je caresse tes seins, tes cheveux. Le black promène ses mains sur ton dos et tes fesses. Je sens que comme moi, tu n’as pas envie de bouger. Après quelques instants le black se lève et se s’eclipse, non sans nous avoir gratifié d’un merci étouffé dans un sourire. Autour de nous les couples s’effacent également.

Je retrouve tes lèvres et commence des baisers que tu me rends avec fougue et passion. Impossible de dire le temps qui a passé, pendant lequel nous sommes restés là, collés à nous embrasser.

Lentement, nous nous levons et je t’invite à me suivre vers les sanitaires qui se trouvent en face de la chambre qui fut témoin de nos ébats. Pendant que nous prenons nos douches, je te demande tes impressions.

Presque timidement, tu me dis que tu as vécu une des meilleures expériences sexuelles.

Notre dialogue est fréquemment interrompu, encore et toujours, par nos baisers. Séchés, nous nous rhabillons. Bêtement je ne sais plus quoi faire. Je te propose de continuer le tour des pièces. Tu repasses ta robe fourreau, rechausse tes escarpins. Je me rhabille aussi.

 

D’exhibitionnistes, nous redevenons voyeurs. Nous passons du temps devant les différents spectacles que les couples présents nous offrent. Il y a pêle-mêle une femme qui se soumet aux assauts de cinq hommes, deux couples se livrant à un échange bisexuel, des couples seuls ou accompagnés par un autre homme. Tu te blottis dans mes bras, confortement calée, tu deviens chatte.

Très rapidement, l’excitation me gagne à nouveau et mes mains recommencent à parcourir ton corps. Je m’amuse sur tes seins, tes fesses puis mes doigts s’attardent sur ton visage et tes lèvres. Je m’aperçois que tu réponds à mon désir. Nous continuons nos jeux. Une porte fermée à nos côtés retient mon attention. Je l’ouvre et m’aperçoit qu’-elle donne sur une petite pièce intime, avec un lit mais, à la différence des autres, il n’y a aucune chaise pour des éventuels spectateurs. Je te montre la pièce avec un sourire amusé. En même temps, je me rends compte que le couple de tout à l’heure est en face de nous et nous fixe.

L’homme caresse sa femme pendant qu’elle ne te lâche pas des yeux. Je t’attire dans la pièce et je commence à te déshabiller à nouveau. Je ne pourrais jamais me lasser de la surprise de découvrir ton corps si beau et sexy à chaque fois.

De même, tu entreprends de me retirer mes vêtements. Lentement, le couple pénètre également dans la pièce. L’homme referme la porte à clef derrière lui.

Inquiet, je guette ta réaction. Imperturbable, tu continues de me caresser et tu m’attires sur le lit. Nous recommençons nos jeux amoureux. Le couple entame son effeuillage également et s’allonge à nos côtés. Je m’assois dos au mur et tu t’installes contre moi me tournant le dos. Je peux te caresser les seins, le ventre et le sexe. Tu es toujours inondée et le moindre de mes mouvements provoque en toi des frissons et des sursauts. Je ferme les yeux, inondé de bonheur. Quand je les ouvre, je vois que la femme, superbe, s’est approchée de toi. Lentement elle approche ses lèvres de ton sexe pour commencer un cunnilingus expert. Je suis surpris de ne pas te voir réagir. Tu t’abandonnes à ton plaisir et tes mains s’agrippent dans les cheveux de ta nouvelle compagne sexuelle. Je continue à m’attarder sur tes seins, pendant que j’observe l’homme qui ne rate pas une seconde de votre spectacle tout en se caressant le sexe.

Je sens ton corps se tordre de plus en plus rapidement. Tes yeux sont fermés, ta bouche est entrouverte avec un rictus d’où s’échappent des gémissements lents. La femme continue de plonger dans ton sexe pendant qu’elle se masturbe de la main droite. Soudain, tu te cabres en poussant un cri témoin de ta jouissance.

Maladroitement, tu me couches sur le dos et tu m’enfourches pour t’empaler rapidement sur mon sexe qui te réclame. Je vois que tes yeux sont toujours fermés, tes mains s’appuient sur mon torse, appui qui te permet d’entamer un mouvement rapide de va et vient. Lentement, la femme enfourche mes jambes et se colle à toi en plaquant ses seins dans ton dos. Tu te redresses pour se coller au maximum contre elle. Ses bras t’entourent pour malaxer tes beaux seins tendus de plaisir.

Lentement sa main droite descend sur ton sexe, et ces doigts jouent avec ton clitoris et mon propre sexe. Je vois que ta tête tombe lentement à la renverse. Ta bouche s’ouvre grand pour accueillir le baiser de notre partenaire. Je vois vos langues se mêler tendrement. Là encore, j’aimerai fixer ce moment à l’infini.

Pour la seconde fois de la soirée, je sens monter en moi les prémices d’une jouissance incroyable. Tes gémissements se font plus fermes et accélèrent progressivement. Quand je jouis, j’entends à peine ton cri. Je sens ton corps s’écrouler sur le mien, j’ai juste la force de te serrer dans mes bras. Nous restons là, l’un sur l’autre pendant que le couple entame ses ébats. Rien ne compte, seul m’importe de sentir ton souffle contre ma peau. Sentir ton corps détendu preuve d’une fatigue bienfaitrice, d’un abandon total à ton plaisir.

Je sais que tu es allée au-delà de ce dont tu te croyais capable, mais que ton plaisir a été décuplé par le franchissement des barrières que tu avais érigées.

 

A côté de nous, le couple a fini ses ébats et se retire lentement de la pièce. Nous prenons le temps de revenir sur terre. Dans les bras de l'autre, nous savourons ces instants de douce folie.

 

Par WonderfullTime 





Puisse notre première experience en club correspondre à ceci !

Vous qui avez vecu ce moment, racontez-le nous ... Ces pages, vous sont ouvertes ...
Par Libertins49 - Publié dans : Echanges libertins
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Mardi 12 août 2 12 /08 /Août 09:59

 
J'avais téléphoné à une certaine grande enseigne connue pour ses dépannages rapides. Il faut dire que je n’avais pas le choix. F était en déplacement, et la machine semblait avoir rendu l’âme. Nos schtroumpfs ne nous permettent pas de vivre sans, et il fallait vite une solution.

 

Effectivement, il arriva vite : enseigne appelée le matin, l’intervention eu lieu en fin de journée, et le dépanneur arriva vers 18 h. Je n’y croyais plus, et était en train de bronzer sur la terrasse. Fort heureusement, j’avais une petite robe légère à portée de main, et je doute qu’il ai vu quelque chose à son arrivée … si ce n’est ce que suggérais le léger bout d’étoffe !

 

Quand je passais devant lui pour lui montrer le chemin, j’eu l’impression qu’il me déshabillait, que ses yeux voyaient au travers de la mince étoffe. Il faut dire que je n’avais pas de SG (ce qui devait compte-tenu de ma poitrine opulente, se remarquer), et un seul string de dentelle blanc, en fine dentelle. Je me rappelais que F m’avait déjà dit que cette robe était, selon la lumière, et en particulier en contrejour, parfois comme transparente. Je le vis se mettre au travail : la quarantaine, plutôt beau gosse, un sourire ravageur, des petites rides aux coins des yeux… plutôt pas mal.

 

Après avoir examiné la machine, il me dit :

 

C'est la platine électronique qui est cassé, il faut la commander ! Si vous en êtes d’accord, vous versez un acompte, je la commande, et on devrait l’avoir dans trois jours

 

Cela vaut cher ?

 

Attendez, je regarde.  Il fourragea dans son classeur. Je n’y pris pas garde dans l’instant, mais réalisait après que ce faisant, ses yeux allaient alternativement de moi à ses documents.

 

La pièce plus la main d'œuvre, il devrait y  en avoir pour 500€ à 600€ !

 

Pu…!  Je sentis le juron m’échapper, mais le refrénait. Tant que ça ! Vous permettez que j’appelle mon mari.

 

Oui, bien sûr.

 

Il ne répondit pas, et je me surpris à le maudire; A l’ère des portables, on ne s’habitue plus à ne plus joindre quelqu’un dans la mn ! Je lui laissais un message, et invitais l’homme à entrer dans la cuisine, lui expliquant que je lui offrais un verre, en espérant que mon mari rappellerait entretemps.

Il était charmant, et d’un regard fit le tour de la cuisine.

 

C’est joli chez vous !

 

Merci

 

C’est chaud ! et puis ce mur rouge, c’est … comment !

 

Oui, comment ?

 

Ben, je sais pas … je ne trouve pas le mot … c’est chaud quoi !

 

Je me trompais pas sur le mec … en fait, c’est lui qui était bouillant, mais avouons le, aucune femme ne résiste devant le plaisir constaté à plaire … j’étais dans cette situation !

Il termina le Ricard qu’il m’avait demandé, tandis que j’avais cédé à un reste de Coteaux de l’Aubance pour trinquer avec lui.

Et F qui ne rappelais pas …

 

Bon, et maintenant. C’est pas que je m’ennuie … laissa t’il planer avec un sourire enjôleur ... mais qu’est ce qu’on fait ? Vous nous rappelez ?

 

J’étais au pied du mur. Il fallait décider. 500 à 600 € mais une réparation rapide, ou bien attendre mais la lessive allait s’accumuler !

 

Ca m’embête d’engager une somme pareille, sans avoir l’avis de mon mari !

 

Oh, vous savez, il n’y pourra rien, il faut changer la platine, ça c’est sûr.

 

Oui, mais … on pourrait peut être changer la machine, celle-ci commence à être vieille.

 

Vous savez, c’est une S… Elle devrait encore vous faire quelques années ! Mais c’est vous qui voyez !

 

Je suis embêtée !

 

Je sentais toujours son regard me transpercer, et c’est alors qu’il se jeta à l’eau, comme dans les romans.

Après m'avoir dévisagé des pieds à la tête (je me demandais vraiment ce qui lui arrivait), il me lança tout de go !

 

Il y a peut être moyen de trouver un arrangement, je peux vous faire la réparation pour … disons 100€ !

 

Le salaud ! Ceci dit, il n’était pas mal, mon mari absent pour plusieurs jours, les enfants en haut, obnubilés par DVD et PC

 

Et ben, voilà une proposition directe ! lui fis-je, laissant comprendre que j’avais bien saisi son allusion.

 

Ne le prenez pas mal, Madame, mais vous êtes charmante et si vous êtes gentille…

 

Bon d'accord de toute façon je n'ai pas envie d'engager 500€  si vite, et il me faut pourtant la faire réparer. Mais soyez discrets, mes enfants sont à l’étage. Que dois-je faire ?

 

Il s'appuya contre le lavabo et là, se métamorphosa …il ouvrit sa combinaison de travail et me lança !

 

Alors, vient me sucer, pour commencer, ensuite je te baiserai et t'enculerai ! Tu dois aimer ça non !?

 

Je n’en revenais pas … ce mec qui me plaisait un instant avant, et avec qui je n’aurais pas dit non, me traitais maintenant comme la dernière des putes.

Je marquais un temps d’arrêt … j’étais à deux doigts de lui tourner un gifle magistrale, mais très vite une idée germa dans mon esprit, et fierté aidant, je décidais d’aller de l’avant avec ce rustre !

 

Je voulais lui sortir le grand jeu ! Je m'approchais de lui et passant ma main dans son slip, j’en extirpais la queue du boxer; Je commençais par des rapides va et vient.  Mais très vite, il me prit la tête et chercha à la forcer vers son ventre. Désireuse de lui montrer qu’il ne pourrait pas faire de moi tout ce qu’il entendait, et toute à mon petit subterfuge, je me dégageais et le tirant par le sexe, je le ramenais vers la lingerie, où se trouvais la machine défectueuse.

 

On sera mieux ici. Moins de risque d’être dérangé.

 

Ouais … je vais te prendre sur la machine, tu vas adorer !

 

Attend moi là, je vais passer quelque chose de plus sexy ! mais ne débande pas, hein !  Le mec  semblait ne pas en revenir

 

Après avoir enfilé des bas, un soutien gorge redresse-sein, et un string, et pris quelque chose qui était en fait la raison de mon escapade, je revins dans la lingerie. Il était là, en train de se masturber lentement pour maintenir son érection. Un beau gland sortait de sa paume refermée.

Je restais bras croisés dans le dos, faisant ressortir ma poitrine, dans l’encoignure de la porte.

 

Alors ? J’te plais comme ça ?

 

Ouais ! Joli p’tit lot ! Allez vient me faire une bonne pipe ! Après je t'enfilerai ma bite dans la chatte.

 

Je n’en revenais pas de la différence entre ce beau mec, son langage châtié dans sa posture professionnelle, et son langage si cru alors qu’il ne me connaissait à peine !

 

J’'avais bien envie de faire ce qu'il proposait, mais à ma façon. Je lui demandais de sortir sa bite complètement de son boxer, mais de garder son bleu, lui disant que cela m’excitait.

 

Ah, il n’avait pas débandé, et ainsi exhibait fièrement un sexe ma foi de fort belle taille, dans sa tenue siglée, devant ma machine à laver !

 

Clic, Clac … J’avais sorti un appareil à photo jetable que j'avais caché dans mon dos et je le prenais en photo debout contre la machine, le sexe décalotté à l'air.

 

Eh, mais qu'est ce que tu fais ? s’exclama-t-il surpris !

 

Ben, tu vois, je te prends en photo,  et j'en enverrai une à ton patron et même peut être à ta femme si tu es marié !

 

Oh putain, Oh la salope … oh putain … oh …

Il ne savait que dire d’autre, et puis se fit menaçant … mais avant qu’il ne bouge vraiment, je lui dis !

 

Rappelle toi, j’ai trois enfants là haut, je peux crier !

 

Oh putain, Oh la garce … tu ne peux pas faire ça ! Oh putain,  mais je vais la réparer ta machine ... et même gratuitement si tu veux ! dit-il tout penaud.

 

Le macho viril était pris à son propre piège, mais j’avais envie de m’amuser

 

On verra ça plus tard pour l'instant déshabille toi !

 

Mais ?!.....

Tais toi et dépêche toi avant que je ne perde patience et change d'avis. Si tu es gentil,  tu repartiras avec l’appareil et sa pellicule !  Allez, à poil !

 

Il s'exécute et quand il fut nu comme un ver, les mains maintenant pudiquement croisées sur son sexe, je lui ordonne :

Retourne toi, et met tes mains dans le dos !

 

Je m'approche et lui saisissant les poignets, je lui lie avec un bas dont je me suis saisi dans la lingerie puis, le retournant, je lui saisis sa verge que je branle doucement, je lui décalotte le gland et le recouvre. Ce mec est bien monté ! Mais sa verge sens fort, une journée de labeur et peut être plus … aussi, d'une tape sur les fesses, je lui dis :

Allez hop ! Dans la baignoire que je te lave !

 

Quoi ?

Tu ne voulais tout de même pas que je suce un sexe qui sent la transpiration ! Rappelles toi, sois discret, on n’est pas seuls !

 

Il me précède, je lui indique le chemin … Il ne brille pas, et son excitation l’a quitté.

Une fois dans la baignoire, je lui arrose le sexe avec la douchette en insistant sur son gland, prend du gel et l’en enduit en une caresse douce. Il regrossit à vue d'œil, et mon traitement lui tire des soupirs de plaisir. Lui qui avait de la gueule tout à l’heure, ne dit plus un mot

 

Tu aimes ça, hein ?

 

Oh Oui !!! … soupire t’il les yeux perdus en l’air

 

Je lui frotte bien les couilles et la verge avec du gel, lui fais signe de se retourner et lui administre le même traitement sur les fesses … mon lavage se fait coquin, voire inquisiteur et un doigt vient se glisser dans le premier pli de son anus ! Il retourne la tête d‘un air étonné, mais manifestement, ne montre aucune opposition.

 

Propre ! je te veux propre, brillant,  … oK ?

 

Puis, je le rince avec le jet réglé au maximum et à nouveau des soupirs sortent de ses lèvres entrouvertes.

 Ca fait du bien hein ! Bon, allez ! Ca suffit, sort de là !

Je le sèche avec une serviette en prenant soin de laisser son gland décalotté, puis je me penche et lui embrasse le gland :

Voilà c'est tout propre maintenant !

 

Je fais quelques aller retour, en m’appliquant à le sucer goulument … j’essaie de le prendre le plus loin en bouche, et m’escrime à être la plus coquine possible, en plongeant parfois mon regard dans ses yeux … il accompagne mes mouvements de ses mains posés sur ma tête … J’ai le bas ventre qui me chatouille, je sens mon sexe en feu … j’ai envie du même traitement :

Bon, à moi maintenant !  met toi à genoux !

 

Je prends sa place contre le lavabo et écartant les cuisses, je lui saisis ses cheveux et lui plaque sa bouche sur mon sexe :

Lèche-moi !

 

Il ne se fait pas prier. Je sens sa langue aller et venir sur mes lèvres en essayant de s'introduire entre elles pour titiller mon clitoris. Il n’est pas maladroit. De ses mains, il me malaxe les fesses … dommage qu’il ne soit pas plus entreprenant !

 

Après de longues minutes de ce petit jeu, pendant lequel j’ai alterné entre montées de plaisir et la réflexion sur la suite à donner, je vais chercher une chaise dans la cuisine et la pose au milieu de la salle de bain. Je ferme la porte à clé (on ne sait jamais …)

Je le fais se retourner sur le lavabo, et se pencher en avant , les mains posées sur la vasque, en lui demandant d’écarter les jambes. J’ouvre un tiroir, et me saisit du gel lubrifiant. J’en mets une noix sur deux doigts, et entreprend de lui masser l’anus … Loin de protester, il se laisse faire sans un mot, et bien vite, je peux introduire un doigt à l'intérieur, puis deux. D’un doigt profond, je sens la boule de sa prostate … de l’autre main passée entre ses cuisses, je peux sentir à la vigueur de son érection que le Monsieur réagit plutôt bien !!

Dans le même tiroir, je me saisi d’un plug, enduit son extrémité de gel et lui pose sur l’étoile. Il frémit, et me demande, sans se retourner :

Qu’est ce que c’est ? Qu’est ce que tu fais ?

 

Laisse toi faire … tu vas aimer

 

Je lui enfonce la pyramide faite d’anneaux successifs entre les fesses, en le faisant aller et venir doucement afin de le faire pénétrer de plus en plus ; Le coquin, il n’a aucune peine à l’engloutir jusqu’à la corolle qui le termine

Alors !? Tu disais que tu voulais m'enculer ! Et bien c'est moi qui te sodomise !

 

Maintenant qu’il a le plug bien au fond, je l’invite à se redresser et à se retourner, et lui montre la chaise. Je lui fais signe d’aller s’y asseoir :

Comme ça ?

 

Ben oui, comme ça. Ne t’inquiète pas !

 

Il s’assied doucement, comme s’il venait s’asseoir sur un tapis de clous ! Au fur et à mesure où il pose tout son poids, j’imagine le plug venir se caler encore plus profondément en lui … une légère grimace témoigne du moment où il s’assied complètement :

Ça va ?

 

Oui … c’est bizarre, mais ça va !

Je me penche et lui suce le sexe pour lui donner une érection maximum, puis je viens l’enjamber. A mon tour, je m'assoie délicatement sur son sexe en érection. Il bande bien et c’est un vrai plaisir que de descendre sur cette belle bite. De nouveau, je lui vois ce petit rictus quand je termine ma descente et pose mes 58 kg en plus des siens sur le haut de ses cuisses !

Je commence alors des va et viens, de plus en plus rapides, pour faire monter mon plaisir.

 

J’imagine le sien, avec une mère de famille qui vient se faire jouir ainsi (mieux que dans ses rêves, non ? !) tandis qu’il repose sur un plug qui lui écarte le cul !

 

Il ne dit toujours rien … Je penche pour un timide plein de fantasmes … tout à l’heure, il s’est lâché, tentant son va tout, mais oubliant d’y mettre les formes … maintenant, l’homme pseudo autoritaire et dominateur qui me promettait un enfer de sexe (qui est alors, souvent, le paradis !!) est comme un jeune puceau, sans voix.

Tu voulais me baiser hein ? Eh bien, c'est moi qui te baise !

 

J’accélère en m’enfonçant plus profondément sur son sexe jusqu'au moment ou je sens la jouissance m’envahir ;  je crie mon plaisir, mais au même moment, je sens son sexe se tendre … oh mer… ! il vient lui aussi ! Les capotes ! Mais c’est déjà trop tard, je sens ses soubresauts :  il éjacule en moi projetant son sperme dans ma chatte.

 

Espèce de salaud ! Tu ne pouvais pas te retenir !

 

Je me relève brutalement, et l’idée me vient de continuer ce petit jeu pervers (mon mari m’a avoué qu’il adorerait mais nous n’avons jamais encore pratiqué !)

Je le fais s’allonger, et viens l’enjamber. Il doit avoir une vue superbe sur mon entrejambe … je m’accroupis, dedevant un parfait inconnu !) et écarte mes lèvres. Je les sens gonflées, mais aussi crémeuses de mon plaisir et de sa semence. Je la sens d’ailleurs commencer à glisser sur une de mes cuisses. manière très impudique (qui aurait pensé que je puisse ainsi m’exhiber

 

Je m’assied lentement sur son visage, en lui écrasant doucement le nez et la bouche avec mon sexe.

Nettoie-moi !  Reprend ton sperme ! Goute-le !

 

Une fois encore, pas un mot d’objection. Le coquin semble aimer cette séance de soumission soft …

C’est une nouveauté pour moi, pour lui aussi peut être. J’avoue que j’aime bien !

 

Je sens sa langue aller et venir au plus profond de ma chatte. Je l’aide en contractant les parois de mon vagin pour expulser son sperme.

Le coquin me fais jouir une nouvelle fois, de sa langue agile qui me fouille, tandis que je me masturbe d’une main … tandis que je jouis, je l’entends râler … Toute à ma jouissance, j’ai du me relâcher sur lui, et je l’étouffe !

Je me relève, me retourne et lui prenant son sexe dans la bouche, je lui fais une longue pipe jusqu'à sa jouissance. Je prends un vrai plaisir à avaler son sperme au gout un peu âpre et salé.

 

Je me lève et le laisse seul dans la salle de bain. Je lui rapporte son vêtement de travail et ses sous vêtements.

 

Il me rejoint dans la cuisine. C’est à ce moment que notre grand descend …

Nous sommes en train de boire un café.

 

Il nous regarde bizarrement …

 

Qu’est-ce qu’il y a ?

 

J’sais pas … vous avez l’air crevés, en sueur … et puis toi, Maman t’es toute échevelée ! Et Papa, c’est quoi ces fringues !?

 

Non, non, ça va …


lui …

Ces fringues, eh ben …c’est une tenue de travail !

 

Et le gamin,  tournant les talons … Qu’est-ce qu’on mange ce soir ?

 

Et voilà ! Comme vous l’avez compris, tout ceci était un jeu entre adultes consentants ! Fantasme à assouvir, ou réalité vécue ??? selon vous ?

En tout cas, ce recit nous a été inspiré par un melange entre situation vecue, fantasme et recit d'un internaute qui a servi de revelateur ... Nous servant de sa trame, nous l'avons toutefois fondamentalement remanié ...
En espérant que ceci vous plaise ...

 

Il n’en reste pas moins que notre machine est en panne, et que le réparateur est venu, a emmené la notre, et nous en laissant une en prêt … Vraiment bien, cette enseigne !

Par Libertins49 - Publié dans : Echanges libertins
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Mardi 8 juillet 2 08 /07 /Juil 11:15

Nous sommes moins sur la toile, et pourtant, vous nous manquez … C’est du à l’été qui arrive peut être, même s’il se fait désirer … mais aussi et surtout à une vie délirante faite de beaucoup de déplacements chez l’un comme chez l’autre, et du temps que l’on veut se conserver pour nous et ceux qui nous sont chers en tout premier lieu.

 

Pourtant, c’est avec plaisir que nous aurions été prendre l’apéro chez Véro et David, ou pendre la crémaillère en Bretagne !!

Une visite de Paris avec Isa & Sylvie (de l’Hotel Concorde à Montmartre, en passant par le Musée de l’Erotisme  n’aurait pas été de refus bien que, à choisir la bonne ville de Lyon  regorge aussi de délicieux secrets comme l’antre de notre ami Jacques, à voir sur son blog … ou sur son site … A vous qui passez par Lyon, nous ne pouvons que vous conseiller de vous y arrêter. …)

 

Et preuve que nous avions raison en titrant de bien troublantes ressemblances, c’est avec un plaisir non feint que les deux belles, Betty & Marie sont allées le découvrir. Sur elles, avec leur complicité, la très belle lingerie et les merveilleux bijoux de la boutique Au Lys y sont magnifiés … elles sont de magnifiques écrins pour de très belles parures.

 

Quand à Agatha, depuis qu’elle est rentrée, comme nous elle prend son temps … mais nous gratifie toutefois de très belles images …

 

Ce tableau ne serait pas complet sans le regret que nous inspire le départ de la belle Bourgeoise, de celle qui a jamais, elle et son coquin de photographe, sera restée à jamais anonyme … pourtant, elle nous avait frôlée, lors de leur très belle ballade dans les jardins du château de Villandry … Ceux qui l’ont appréciée, comme nous, doivent garder les yeux pétillants … c’était une belle histoire à laquelle ils ont choisi de mettre un terme … Dommage. Nous leur souhaitons bonne route sur les merveilleux chemins qu’ils nous avaint fait partager

 

Pour ne pas nous arrêter sur cette touche nostalgique, vous a-t-on jamais parlé de Emma & Lou … Nous craignons d’avoir oublié (comment est-ce possible ??? … mais non ! Un rapide coup d’œil dans les liens : ils sont bien là !), mais ce que nous avons omis de vous révéler, c’est que ces coquins  voisins nous ont aussi mis sur la piste (c’est un langage de chasse, qui n’est pas le plus approprié …. quoique ??? nos envies, nos pulsions coquines ont bien quelque chose d’un peu animal, non !?) … sur la piste d’autres admirables coquins que sont Scorpion et Scorpionne. Cherchez bien … quelque part, vous découvrirez ces deux admirables coquines ….

 

Nous aurions pu aussi vous parler de Michelle, de Fabienne C, de Seb & Sonia (kikoo !!!), de Sabine et Laurent …. Pleins d’adorables découvertes …. Tout vient à temps à qui sait attendre !

Nous partons en vacances, et serons donc de nouveau éloignés de vous, en tout cas sur la toile … mais tellement proches par la pensée.

 

Nous espérons que vous ne nous en voulez pas …. Et dès la rentrée, nous essaierons d’être plus assidus !


Quand à vous, passez aussi de bonnes et belles vacances .... et faites comme eux, mettez vous en boîte !


Bonnes vacances

Par Libertins49 - Publié dans : Echanges libertins
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Vendredi 2 mai 5 02 /05 /Mai 00:00
Le beau temps revient (ce samedi !), et avec lui sa douce chaleur, le gout et l'envie de retourner vers la Mer et l'Océan ... L'été sera vite là, et avec lui ses longues soirées d'été ...

Nous venons de découvrir un très beau récit, que nous postons tel quel (c'est rare, mais nous ne trouvons rien à changer ... C'est vraiment notre style, ce que l'on aime) ; Nous ne resistons au plaisir de vous le faire partager
Que son auteur, que nous ne connaissons pas (
Arlequin46) en soit remercié ...

C’était ce que l’on pouvait appeler une belle nuit d’été. Le ciel brillait de mille étoiles et la brise légère apportait une fraîcheur bienvenue. Le camping avait organisé un bal pour célébrer le 15 août et tu n’y étais pas passée inaperçue.

 

Tu portais une longue robe rouge qui flottait allègrement à chaque fois que tu tournoyais, découvrant de longues jambes magnifiques. Ton sourire illuminait ton visage, faisait luire te yeux.

 

Nombreux étaient les hommes qui voulurent t’inviter à une danse, tout aussi nombreux furent ceux que tu rejetas avec une très grande élégance. Je fis sans doute parti des quelques hommes qui n’osèrent pas t’approcher, préférant te regarder de loin, profitant ainsi du merveilleux spectacle que tu donnais.

Il y eut un moment où je te perdis de vue. Il était très tard et je supposais que tu étais rentrée à ta tente, ta caravane. A cet instant, je regrettais de ne pas t’avoir abordé. Je ne savais pas qui tu étais, ne t’avais jamais vu jusqu’à ce soir et avait, très certainement, peu de chance de te revoir.

Vers les deux heures du matin, je ressentis le besoin d’aller prendre l’air, de me promener le long de la plage. J’entendais encore la musique en bruit de fond qui s’alliait au bruit du ressac des vagues, doux mélange pour une douce mélodie.

 

C’est alors que je t’aperçus, assise sur le sable, les jambes repliées. Tu avais la tête légèrement penchée en arrière, les yeux fermés. L’espace d’un instant, je me demandais si je n’étais pas en train de rêver, tant le cliché ressemblait à un de ces vieux films romantique. La lune éclairait une partie de ton visage, te donnant un charme irrésistible.

Je m’approchais lentement de toi, essayant de faire le moins de bruit possible pour ne pas t’effrayer, mais tu finis, sans doute, par sentir ta présence car ton visage se tourna subitement vers moi et je vis tes yeux me fixer intensément. J’eus envie de m’excuser, de faire demi-tour, mais un grand sourire de bienvenue m’encouragea à venir tout près de toi.

Tu sentais bon le parfum. Tes cheveux longs flottaient sous cette brise légère. Je m’assis à côté de
toi; nous n’avions pas encore échangé un seul mot, mais cet instant magique faisait qu’il n’y avait nul besoin  de parler. Tout doucement, je me mis à caresser tes cheveux, ton visage comme si je cherchais à en dessiner des contours déjà si parfaits. Ma main descendit lentement le long de ton cou, d’une épaule, d’un bras. Au travers des tissus de ta robe, cette main flirta avec ta poitrine un long instant. Tes yeux étaient totalement clos, comme pour mieux profiter de cette caresse et je sentis les pointes de tes seins durcir.

Tu t’allongeas sur le sable et ma main continua sa lente descente. Je finis par arriver sur tes chevilles dénudées et me mis alors à remonter le long d’une jambe, sous cette robe. Ta peau était chaude et douce et je la sentais réagir sous la lente progression de ma main.

Mon visage finit par remplacer ma main, ma langue et ma bouche remplacèrent le jeu de mes doigts. Je m’amusais à remonter sous cette longue robe, tantôt donnant un léger baiser, tantôt te faisant tressaillir avec la pointe de ma langue. Je finis par arriver au niveau le plus intime de
ton corps. Au travers du fin nylon, je pouvais sentir l’odeur de la femme excitée et m’en enivrait.

Ma langue se mit à jouer avec cette culotte et ton bassin se mit à onduler en mesure.


De deux doigts, j’écartais le fragile rempart et ma langue chercha et trouva le bouton d’amour. Je le serrais doucement entre mes dents, tandis que la pointe de ma langue lui donnait de tous petits coups, t’arrachant ainsi plusieurs râles de plaisir. Au moment où je sentis que la jouissance te gagnait, j’abandonnais ton clitoris pour pénétrer ta grotte si accueillante. J’en fouillais les moindres recoins, me saisissais de tes lèvres, remontant sur le clitoris, jusqu’à ce que la délivrance arrive. Tu me saisis par les cheveux, fermant brusquement les jambes afin de mieux plaquer mon visage contre ton vagin, puis tu te laissas emporter par une grande vague de bonheur. Je buvais avec délectation le liquide que tu daignais m’offrir, tandis que tes cris se confondaient aux vagues.

 

Fin.




Laissez lui les com' qu'il mérite ... nous ne desespérons pas d'entrer en contact avec lui pour lui signifier notre admiration pour un si beau texte ... est-ce un fantasme, ou mieux encore, une aventure vécue ...


Par Libertins49 - Publié dans : Echanges libertins
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Jeudi 3 avril 4 03 /04 /Avr 11:43
Nous avons decouvert le blog d'une jolie dame, peu farouche qui confesse avec charmes sa liberté sexuelle et son attrait pour les situations excitantes ....

Laissons lui la plume pour nous conter une expérience fort agréable, pour elle et les autres ...



Ma première expérience (de voyeurisme) s’est déroulée il y a de nombreuses années alors que nous avions été nous baigner avec des amis au bord d’une petite rivière.

Bien sage, rien de plus qu’une baignade seins nus pour les dames.

Le soir nous avions convenu de sortir après avoir mangé une grillade. Je suis donc passée au super marché avec notre ami qui me servait de chauffeur afin de chercher de la viande.

En entrant dans le super marché, j’ai constaté que ma coupe de cheveux, à l’époque mi longue, me donnait un look d'épouvantail, observation confirmée par mon ami. Sans attendre, je décide de faire le détour par le coiffeur du centre pour me redonner une apparence correcte.

Aucun problème, s’il y avait attente pour les coupes hommes, les femmes, pour une fois, étaient accessibles immédiatement.

Très vite installée au bac à shampooing, face a l’attente des hommes, où mon ami pris place, je me suis assise, glissant les fesses sur le siège pour passer la tête dans l’échancrure du bac, juste les épaules recouvertes d’une serviette, je sentais sur mes fesses le simili chaud.

L’eau fraîche coulant sur ma tête me fit un bien fou et j’étais bien détendue, les jambes relâchées mais assez écartées. Quand mon coiffeur me massa la tête recouverte de shampooing, lavant avec insistance ma chevelure, la tête redressée, je vis tous les hommes regarder dans la même direction.

Je me suis alors rendue compte que non seulement ma jupe était bien relevée mais que la position de mes cuisses leur laissait un coup d’œil imprenable sur mon entre jambe. C’est alors que je me souvins que je n’avais pas de slip, mon maillot étant resté trop mouillé. Ils se régalaient donc de ma nudité et que ma chatte toute lisse était leur point de mire.

Instantanément, je voulu disparaître, rouge de honte et je serrai mes cuisses …  quand un petit démon passa dans mon esprit et que je sentis un vrai plaisir couler dans tout mon corps, la volupté de me savoir regardée et admirée.

Toujours pendant le shampooing, je rouvris, du plus que je pu, mes cuisses et je vis, aux mêmes instants les regards s’allumer du spectacle que j’offrais.

A nouveau la tête bien en arrière pour le rinçage, je restais du plus offerte que je pus avant que la mousse ne fût redevenue abondante et que mon coiffeur me redressa pour me laver mieux la nuque.

Le nouveau spectacle de ces regards me ravit et je m’amusait à croiser et décroiser mes cuisses pour agrémenter le spectacle…quel succès !

Je vivais un instant d’intense volupté en me livrant ainsi et je vis que mon ami en profitait bien. Une fois le lavage bien évolué, je sentis l’eau du rinçage évacuer la mousse de ma chevelure propre et une fois le coup de serviette d’essorage donné, je me levais en souriant à mes admirateurs.

Très vite je fus recoiffée et ma petite escapade chez le coiffeur n’a finalement duré que quelques minutes.

Après nos achats, dans la voiture, je me sentais particulièrement décontractée et excitée.

C'est alors que mon ami se jeta à l’eau, si j'ose dire, et me complimenta, sans détour, sur le spectacle, qu’il imaginait totalement involontaire.

Je rougis naturellement et n’eut aucune peine à bredouiller quelques mots gênés qui augmentaient son plaisir. Il plaça sa main entre mes cuisses, déclenchant des décharges électriques intenses d’envies dans mon corps et il n’eut aucune peine à me laisser faire quand ses lèvres effleuraient les miennes. Pendant son baiser que je lui rendis activement, je sentais sa main monter entre mes cuisses au fur et à mesure que je les écartais. Il continua et je le regardais droit dans les yeux quand je sentis son premier doigt écarter mes lèvres gonflées et trempées et s'enfoncer tranquillement dans mon vagin.

Tu en as envie ? me dit-il,

oui   lui répondis-je, sans sourciller.

Et là, au milieu du parking je le sentis m'explorer la fente de ses doigts et finalement me masturber sans retenue, ouvrant mon vagin et titillant mon clitoris gonflé pendant que je lui pétrissait au travers de son short sa verge bien raide que je fis sortir finalement du boxer avant de la lui sucer…tout alla si vite.

Ensuite je le chevauchais sur son siège, m’empalant sur sa verge et tous deux synchronisant nos mouvements passionnés. A peine gênés par les autres usagers nous avons stoppé finalement nos ébats peu confortables pour nous éloigner de quelques mètres afin de terminer en faisant l’amour sur le capot de la voiture, moi les cuisses relevés et le sexe bien offert à son martèlement, la robe retroussée jusqu'aux hanches.

Nous avons rapidement joui les deux ensembles avant de repartir sagement retrouver nos conjoints .... qui en avaient probablement fait autant sous la douche à la maison…




Pour en savoir plus sur
Andrée ... telle qu'elle le livre sur son blog ...

L'idée du blog me fascine, raconter ses impressions, ses idées, partager ses expériences, sans tabou est une merveilleuse opportunité de notre époque.


J'ai toujours eu envie de me raconter, de parler de ma vie.

Ici, j'ai ouvert ce blog pour ouvrir mon petit jardin secret et raconter ma vie intime.

Sans être anormale, j'ai une sexualité qui me plait mais n'est certainement pas commune pour une femme mariée, mère de famille et de surcroit BCBG.

Je suis coquine et libertine, je m'assume pleinement d'autant plus que j'en tire beaucoup de plaisirs.

Je participe aussi aux forums en dévoilant mes gouts ou mes pratiques.

Ceux qui veulent partager avec moi le peuvent et peuvent aussi me demander de raconter plus précisément des épisodes de ma vie...je répondrai au gré de mes envies mais parlerai a livre ouvert de ma vie.

Mon mari n'est évidemment pas au courant de mes frasques ni de l'existence de mes confessions dans ce blog.
Nous avons ensemble une sexualité libérée et avons aussi pratiqué l'échangisme ensemble mais sans grand succès.

Je sais qu'il est aussi coureur de jupons et que certaines de mes copines ont pu découvrir les sensations de ses qualités secrètes...

Tout le monde est donc satisfait.


et nous donc !!! Merci Andrée pour ces très belles pages !
Par Libertins49 - Publié dans : Echanges libertins
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