Fantasme de ma muse Québécoise … Je l’adore ! (vous verrez quelques expressions bien de là bas, c’est tellement craquant !)
Si vous avez aimé, dites le moi, je lui ferais part de vos messages … et qui sait, vous aussi aurez peut être la joie d’entamer une relation coquine avec cette belle Québécoise, prénommée Solange !
Comme tous les soirs, à mon arrivée à la maison après le travail, je me dévêts et me mets à l’aise.
Petit gilet blanc à bretelles et string.
Je vais au salon prendre les messages téléphoniques; à ce moment de la journée, le soleil entre pleinement dans cette pièce. J’ouvre en totalité les rideaux pour laisser les rayons envahir la pièce.
En les ouvrant, je te remarque sur le balcon de l’édifice en face du mien, et qui est un hôtel: un bel homme, la quarantaine, assis, sirotant une bière. Ta cravate et les premiers boutons de ta chemise sont défaits. Sûrement un homme d’affaire en visite dans notre ville, me dis-je.
Je me tourne et vais au répondeur qui affiche des messages en attente. Je me penche et presse sur le bouton. Je ne me soucie pas de mes gestes, puisque qu’ils sont naturels et répétés tout les soirs. Je ne me rends pas compte immédiatement que tu as une vue imprenable sur mes fesses quasi nues et ainsi cambrées quand je note les messages ; elles te sont ainsi offertes !
Je vais à la cuisine me préparer un petit repas, que je viens déguster au salon devant le téléviseur qui diffuse le bulletin d’informations.
Je pose mon assiette sur la table du salon et m’assoie dans le fauteuil.
Je me penche sur mon assiette pour en savourer son contenue.
Encore une fois, je ne me doute pas, que penchée ainsi, je te laisse libre vue à la naissance de mon buste.
Repas et informations terminés, je me lève pour éteindre le téléviseur et c’est à cet instant que je te remarque : A la porte fenêtre de ton balcon, jumelles positionnées sur tes yeux et dirigées vers ma porte fenêtre. Eh là, tu m’espionnes ?
Non, je comprends que plutôt tu me mates les seins et les fesses.
Sur le coup, je suis mal à l’aise mais me sens très excitée de me sentir matée ainsi.
Je ne te laisse pas savoir que j’ai découvert ton manège, car je prends plaisir de me sentir regardée ainsi par un inconnu.
Je file à la douche et en ressort trempée : je ne m’essuie pas, enfile le même petit gilet blanc à bretelle et le string qui sied à merveille avec le gilet. Le gilet moule mon corps mouillé et laisse la transparence voulue. Je retourne au salon m’asseoir pour feindre d’écouter la télévision. Cette fois ci, je m’assois sur le divan qui fait face à la porte balcon. Au travers de ce gilet enduit d’eau, tu peux facilement distinguer la rondeur de mes seins et leurs larges auréoles foncés, qui sont à semi érigés par le froid que procure l’eau et par mon excitation de te les dévoiler ainsi. Bien calée dans le divan, mon petit gilet remonte sur mon ventre, laissant apparaître mon nombril. Mon string déjà translucide à sec, me colle au pubis ainsi humecté d’eau. La seule parcelle de poils ras, en forme de triangle sur mon pubis est nettement voyante.
Je feins toujours de visionner la télé. De temps à autre, je bouge pour feindre de trouver une position plus confortable. En bougeant, j’écarte un peu plus les jambes, puis les referme, quelques instants plus tard, juste assez de temps pour que tu puisses apercevoir mon entrejambes et la ficelle qui se perd entre mes fesses. La fois suivante, je bouge afin que le triangle qui recouvre mon pubis, s’introduise un peu à l’extrémité de ma fente. Tu distingues nettement, le début de mes grandes lèvres lisses. Je suis excitée de te laisser entrevoir ces parties intimes de mon corps.
Sans avertissement, j’écarte les jambes et enfouie au maximum le devant de mon string entre mes lèvres. Mon index vient flatter mes grandes lèvres tout en les admirant. Je fais ce mouvement longuement. Dring Dring…le téléphone stoppe mes caresses. Je me lève, vais au téléphone, je te fais dos. Mon petit derrière nu à ta vue. C’est une copine à moi, la discussion se prolonge et lorsque je raccroche, tu n’es plus là. Déçue, mais une folle envie de me donner plaisir est toujours là. Au lit, je me caresse et me donne plaisir par mes doigts. Longuement et jouissivement, j’atteins un bon orgasme, puis m’endors.
Le lendemain, à mon arrivé à l’appart, je ne me dévêts pas immédiatement : Je me sers une coupe de vin rosé, et vais la déguster au balcon. Tu y es, bière en main. Je porte une jupe et un chemisier. Mon soutien gorge à balconnets relève mes seins et les enserre pour laisser un sillon prolongé de mes seins. Le chemisier assez plongeant laisse voir cette beauté. Ayant presque terminé mon apéro, ta voix retentit :
* Belle journée, n’est pas !
* Effectivement, très belle journée ! Vous êtes ici par affaires ?
* Oui, encore pour deux jours, ensuite je retourne de l’autre coté de l’océan.
* Et bien, bonne fin de séjour dans notre ville.
* Merci et au plaisir……
(au plaisir ??? que voulait-il dire ? )
Sur ce, j’entre dans l’appart et vais à la chambre me mettre à l’aise. Toute la journée, je n’ai que pensé à ce moment. L’excitation a été présente en moi, une bonne partie de cette longue et interminable journée. J’enfile un gilet à bretelles rosée et un string de la même couleur. Je vais au salon, prends mes messages, passe à la cuisine me préparer un repas que je déguste au salon devant les nouvelles, la routine quoi !
Ensuite, je me cale dans le divan.
Tu es là avec tes jumelles.
Et bien ce soir, mon cher voyeur tu en auras plein la vue.
J’allume la radio, une musique douce et érotique envahi mon salon. Lentement, je glisse ma main sous mon gilet pour me flatter le ventre. Progressivement cette main remonte vers mon sein droit. Je le flatte, le masse. Mon autre main empoigne la bas de mon gilet pour le relever et laisser ce sein à jour avec ma mains qui le caresse. Je retire ma main pour te le laisser voir dans toute sa splendeur. Doucement, je dévoile son jumeau. Mon gilet positionné sur le haut de mes seins, les compresse vers le bas. Beau tableau. Mes deux mains, viennent sur chacun d’eux et les caressent. J’appuie ma tête sur le dossier du divan et savoure ces délicieuses caresses. Le bout de mes doigts font des cercles sur mes mamelons qui s’érigent de plus en plus. J’arrive à les faire rouler entre mes doigts. Je les pinces. Les tires. Hummm…. Je reviens masser mes seins et alterne avec les caresses de tétons.
Au bout d’un certain moment, ma main droite aventureuse quitte mon sein et glisse sur mon ventre pour venir s’introduire sous mon string. Je caresse longuement mon pubis et mes grandes lèvres. J’écarte un peu les jambes, puis lentement, mon index s’introduit entre mes lèvres pour en caresser mes plus petites lèvres. Je suis si excitée que la quantité de cyprine est abondante. Humm…. Je vois très bien que tu ma mates, mais aussi que tu as ton sexe en main. WOWWWWW…….cela stimule encore plus mon désir de jouir et que la fougue s’empare de mon corps, moi qui habituellement préfère de longues et langoureuses masturbations. Te voir me mater en te masturbant m’excite tellement que je crois pouvoir jouir sans me toucher.
Ma main s’active dans mon sexe mouillé. Je te fixe et ta main coulisse sur ton membre. Ton autre main maintient les jumelles positionnées sur tes yeux. Ma main s’active en moi, mon autre main vient écarter le string de mon pubis pour le diriger vers mon aine. Tu peux maintenant bien voir les doigts dans mon antre mouillé, qui vont et viennent. De mon pouce, je me clitoune.
Tu te branles encore plus vite, je ne peux pas te détailler aussi facilement que toi, mais tu m’excites tellement. Mes doigts s’agitent encore plus dans mon sexe, ma tête bascule vers l’arrière, mon corps se raidit et le plaisir m’envahit. Un long et orageux orgasme transperce mon corps. Je le savoure longuement. Puis tempête, terminée, j’ouvre les yeux pour apercevoir le dernier jet de sperme surgir de ton sexe. Tu te termine en beauté.
Je me lève, t’envoie un léger un bisou de ma main et glisse le rideau. J’eus beaucoup de difficulté à trouver le sommeil ce soir là. Au petit matin, à mon départ pour le travail, je décide de laisser une petite enveloppe qui t’est destinée à la réception de l’hôtel :
‘’ Si vous désirez assister et participer à un autre spectacle, et ce de plus près, sans jumelles, je vous invite ce soir 20h00. Confirmation sur mon e-mail : solxxx@hotmail.com ‘’
Dans la matinée, tu me confirmes ta présence.
Pendant la journée, je t’envoie quelques messages coquins. Tu m’en envois aussi. Ils deviennent de plus en plus chauds et de plus en plus personnels. Tu as apprécié mes seins et leurs larges auréoles foncés. Encore plus lorsqu’ils sont fripés. J’avoue que moi, je n’ai pas eu cette chance de te voir de plus près et qu’il me tarde de faire connaissance de ton membre masculin. Nous discutons de nos préférences, de ce qui nous fait craquer etc…….
tu m’avoues avoir bandé pendant la journée à chaque instant où tu pensais à cette soirée.
Je te confirme que je saurai être une hôtesse à la hauteur !
Je suis très très échauffée, pour cette soirée !
J’arrive à la maison, et en attendant ta visite, je prends une bonne douche. Je me poupoune, crème, parfume, remonte mes cheveux en chignon, enfile un body de dentelles string noir, des bas attachés aux jarretelles et des escarpins à talon !
Sur ce, j’enfile une robe noir courte et moulante.
Tu sonnes, ponctuel … Tu as un magnifique bouquet dans les bras. Sourires échangés, nous nous faisons la bises, et je file vers la cuisine chercher un vase … je sens ton regard dans mon dos
Puis nous passons au salon :
* Donc, vous êtes en voyage d’affaires dans notre ville ?
* Oui, je termine demain, je m’envole pour la France en fin de journée
* C’est donc votre dernière soirée dans notre pays
* Et oui, et en charmante compagnie en plus.
Tout en discutant, je suis assise dans le fauteuil et lui sur le divan. La jambe croisée et le bas de ma robe courte remonte un tantinet. Il peut apercevoir le haut de mes bas et deviner qu’ils sont jarretelles.
* Espionnez-vous souvent les gens, comme vous l’avez fait hier soir ?
* Dès qu’une occasion aussi charmante que celle d’hier soir se présente, je ne peux y résister. Et vous êtes vous souvent exhibitionniste comme hier soir ?
* Non, en fait, c’était la première fois. Parfois à la plage, mais pas aussi érotiquement.
* Vous étiez très bandante !
* Vous transportez toujours vos jumelles avec vous ?
* Certain, au cas où, en plus lorsque je loge à l’hôtel, s’il y a lieu, je prends une chambre qui à fenêtre sur un autre chambre ou pièce, comme la vôtre.
* Désirez-vous quelque chose à boire.
* Avec plaisir.
Je me rends à la cuisine en me dandinant le petit derrière.
Je reviens au salon, te présente ton verre, bien assis dans le divan et moi debout, ta main vient glisser sous ma jupe, pour confirmer ce que tu doutais.
* Je m’en doutais, aucune couture apparente au travers de ta robe. Un petit string ?
* En fait, oui un string mais un peu spécial.
* Spécial, humm…tes fesses sont d’une douceur……
Ta main continue de flatter mes fesses…..
* tu es vraiment excitante dans cette tenue !
* Je suis heureuse de pouvoir t’exciter, bel homme, dis-je en déboutonnant ta chemise.
Je retire ta chemise, la retire, abaisse ton pantalon pour découvrir ton boxer bien rempli par ton sexe érigé. Tu te lèves pour retirer entièrement ton pantalon.
* À mon tour de découvrir tes dessous…..
Nos regards sont soudés, tu remontes le bas de ma robe et doucement la fait glisser au dessus de ma tête.
Tu me fais reculer et nous nous admirons l’un et l’autre. Je pivote sur moi pour te laisser voir mes fesses. Tu fais de même. Quelles paires de fesses tu as. Tu te diriges vers ton sac et en retire un appareil photo :
* oh ! non mon chéri, je ne peux pas !
* Laisse moi t’immortaliser ! Revenu chez moi, je les dégusterai à plusieurs reprises.
* À une seule condition, je ne veux pas que mon visage apparaisse sur aucune photo.
* Promis ma belle.
Tu prends une première photo de mon corps ainsi debout devant toi. Tu me demandes de me pencher vers l’avant pour prendre un bon plan de la fente de mes seins enserrés par le haut de mon body. Ainsi compressée, la fente s’allonge.
Tu me demandes de me retourner et prends un cliché de dos. Je me penche et la : clic - un plan de mes fesses nues. Tu m’indiques d’écarter mes fesses avec mes mains pour voir la ficelle entre mes fesses. Clic. Puis tu me dictes de prendre cette même ficelle et de la diriger sur ma fesse droite pour laisser la vue à la lentille de ma raie et de mon cul nu. clic
Tu me demandes de m’asseoir sur le fauteuil, toi à genoux devant moi avec ta caméra. Clic, je pose une jambe sur l’appui bras. Clic, cette jambe sur l’appui bras te laisse voir la ficelle qui de la fin de ma raie continue dans ma fente pour venir s’élargir sur mon pubis. Clic.
Je m’empare de la caméra. Tu es debout, sexe semi durcit, bien caché dans ton boxer moulant. Clic. Tu pivotes, belles paires de fesses . Clic.
Je te demande de t’asseoir sur le divan. Clic. Je viens sortir la moitié de ta queue de ton boxer sur ton ventre, elle est encore tout entière vêtue. Clic. Je sors une couille sur le coté de ton boxer. Clic. Je me permet de dévêtir juste le tout bout de ton gland. Clic. Le dévêt à demi. Clic et re clic, je ne veux vraiment pas rater cette photo, c’est trop beau. Je te masturbe un peu par dessus ton boxer pour te rendre entièrement bandé. Clic. Je tire ton prépuce pour laisser la totalité de ton gland nu. Clic et re clic. Je te masse un peu encore pour laisser surgir une grosse goutte de liqueur sur le somment de ton méat. Clic re clic et re clic. Je mouille trop beau. J’étale cette goutte pour rendre ton gland entièrement luisant. Clic clic. Oufffff…
Mes mains tremblent à cette vue. Je dépose la caméra. Et ma bouche se dirige vers ton gland irrésistible dans cet état. Je dépose mes lèvres serrées sur le tout bout. Tenant mes lèvres légèrement serrées, je fais une succion pour l’introduire graduellement dans ma chaude bouche. Humm. Une fois ton gland dans ma bouche, ma langue valse tout autour lentement, tout en continuant de lui prodiguer une légère succion. Une main masse tes couilles, une dévêtue et l’autre encore cachée. Je te suçote et te caresse la base de ton gland avec ma langue longuement. Puis sans retirer ma bouche de son bonbon, je prends ton boxer sur tes hanches et tu soulèves légèrement le bassin pour que je puisse le retirer et qui se retrouve au niveau de tes genoux. Rendu là, tu fais en sorte avec tes jambes et tes pieds, de le retirer.
Te voilà entièrement nu, la base de ta queue et tes couilles libres aux caresses. Je laisse temporairement ton gland, ma langue et ma bouche explore la totalité de ton membre et tes couilles, allant même au périnée et dans ta raie. Revenant à tes couilles, je les enrobe de ma bouche tour à tour pour les sucer doucement. Ma mains enrobe ta queue à sa base et lui procure un très petit va et vient. Tu sembles bien. Tes soupirs me le confirment.
C’est tellement bon. Tu goûtes ce qu’il y a de meilleur. Je commence lentement à m’affoler. J’adore ton sexe. Mes lèvres reviennent lentement vers ton gland en bécotant et léchant la longueur de ton membre. Le bout de ma langue vient pénétrer et farfouiller ton méat. Une main te masturbe la base de ta queue et l’autre masse tes couilles. J’insiste encore un peu sur ton méat, puis mes lèvres encore une fois enserrées se posent sur le bout de ton gland pour l’aspirer plus fortement cette fois dans ma bouche, continuant sur ton membre pour qu’il se retrouve entièrement dans ma bouche dévoreuse. Je te suce de longs et lents va et vient. Tu gémis ton appréciation. Je te suce très longuement à ce rythme régulier.
Tu t’excites un peu plus, je le sens. Je freine le tout en venant doucement t’embrasser, puis revient t’aspirer la queue plus fortement. Ma cadence augmente un peu. Tu râles. Et m’encourage en paroles. Je te suce encore plus. Tes gémissements sont plus prononcés. Une main te masse le périnée, et ma bouche te suce encore et encore. Ton gland frappe le fond de ma gorge à chaque aller. Ma main quitte ton périnée, et viens à la source de ma chatte pour s’y humidifier. Je te dévore la queue et mes doigts humides cherchent ton petit anneau fripé. Ils le trouvent, le massent un peu, il se distend rapidement pour accueillir mon doigt en lui. À ce moment, ma bouche débute un pompage en règle et mon doigt des va et vient réguliers. Tu grognes ton plaisir, tu m’y encourages. Voilà ma bouche vorace te pompe d’une façon effrénée. Je te sens tout près, ta queue sursaute, je m’applique encore plus. Puis le premier jet atteint le fond de ma gorge, puis un autre et s’en suit les autres. Je t’avale littéralement à ta grande satisfaction.
Lentement, la cadence diminue. Je retire lentement mon doigt de ton petit cul. Ma bouche nettoie lentement ta queue, ma langue ne laisse aucune parcelle pas nettoyé, même le repli de ton prépuce où j’insiste un peu plus longuement.
Je me relève et viens me blottir dans tes bras. Nous restons ainsi un bon moment. J’admire ton sexe revenir à son état de repos. C’est magnifique le corps humain et tellement génial à regarder ces phases.
* Tu m’as sucé comme une diablesse !
* J’adore ta queue, mon chéri !
* Et moi je t’adore tout simplement !
Nous nous embrassons longuement.
* Tu veux quelque chose à boire !
* Avec plaisir !
Sur ce, je me lève et te fais un clin d’œil. je te regarde un peu, bien calé dans le divan, couilles reposantes sur le coussin du divan, queue amollie sur ta cuisse, humm.. je saisis la caméra. Clic. Je te fais un bisou et me dirige à la cuisine, toujours vêtue de mon body, bas et escarpin. En chemin, je mes dandine les fesses nues à ta vue. Je fais un écart vers la chambre pour te préparer une petite surprise…..
Je reviens au salon et t’offre ton verre. Je bois une gorgé du mien et le dépose sur la table. Tu as la caméra en main. Je sais très bien ce que tu veux. Debout devant toi, j’abaisse ma bretelles droite sur mon bras. Clic. Je la retire. Je fais le même manège avec ma bretelle gauche. Clic. Je descends le haut du body sur le tout haut de mes seins. Clic. Puis un peu plus, laissant apparaître le tout haut de mes mamelons. Clic. Dévoile la moitié de ceux-ci. Clic. Puis les voici, heureux d’être photographier, bien excités. Clic. Un peu plus de seins. Clic. Puis les voilà en entier. Clic.
Je lèvre les bras au dessus de ma tête, positionnant mes mains derrière ma tête pour gonfler le torse et te les offrir dans leur splendeur. Clic, clic. je me penche vers l’avant pour les laisser pendre dans le vide. Clic. Je les enserre ainsi pendant. Clic. Je les sépare. Clic. Mes pouces et index pincent mes tétons. Clic. Toujours pendant dans le vide, je tire mes tétons vers le bas. Clic. Je tire un peu plus, ce qui difforme mes seins pendant. Clic.
Je reviens en position debout. Clic. Mes tétons sont encore plus bandés. Clic. Je me mets de coté. Clic. De l’autre coté. Clic. Je reviens face à toi et abaisse mon body sur mon ventre laissant apparaître mon nombril. Clic. Je retire mes escarpins. Clic. Mes mains viennent détacher mes bas. Clic. Je roule le bas droit sur ma cuisse. Clic. Puis l’autre. clic. Je les retire. Clic. Je te tourne le dos et te laisse voir le mi dos, fesses et derrières des cuisses nus. Clic.
Je reviens face à toi. J’abaisse encore un peu le body à la naissance du pubis. Clic. Puis encore un peu pour entrevoir la base de mon triangle poilu. Clic. Encore plus, voici mon joli petit triangle et à limite de ma fente. Clic. Un peu plus, demie grandes lèvres apparentes. Clic. Puis voilà, je laisse choir le body à mes pieds. Clic. Clic. Clic.
Je remarque que ta queue a repris un peu de volume. Je présente mon corps à la caméra, mais tout en restant soft. Clic. Clic. Clic. Debout devant toi, j’écarte un peu les jambes, laissant la vue de mes petites lèvres curieuses, dépassant de mes grandes. Clic. Tu peux maintenant apercevoir la surprise que je voulais te faire. Une ficelle blanche pend entre mes jambes. Clic. clic .
De derrière, je te présente ma croupe. Clic. Mon étoile. Clic. Me penche encore un peu, mon sexe à demi ouvert et mes petites lèvres bien apparentes et luisante par mon excitation de poser pour toi et toujours cette ficelle qui sort de mon vagin Clic. Clic. Je dandine un peu mes fesses pour faire mouvoir les boules en moi. C’est le silence total, donc tu peux entendre un son sourd de mes boules qui se frappent en moi. Re-debout devant toi, je bouge mon bassin plus fortement pour vraiment faire frapper un peu plus fort ces boules qui me donne un certain plaisir. Clic.
Je vais m’asseoir sur le fauteuil et pose une jambe sur l’appui bras, ce qui a pour effet d’écarter un peu mes lèvres. Clic. La ficelle repose sur le banc du fauteuil. Clic. Mon index et majeur en V viennent écarter légèrement le haut de ma fente pour laisser surgir mon clito. Clic. Il est bien ainsi sorti de sa cachette, sa couleur rosé luisante lui donne du charme. Clic. Je pose l’index de mon autre main dessus et le masse doucement. Clic. Je soupire. Clic. Je laisse mon clito pour l’instant. Mes index et majeurs de chaque mains viennent se poser sur mes grandes lèvres et graduellement les écarte. Clic. Clic. Encore un peu. Clic. La caméra peut maintenant bien capter mon sexe béant ouvert et luisant de cyprine. Clic.
Cette ficelle. Clic. Mes pouces et index empoignent mes petites lèvres et les font glisser entre ceux ci. Clic. J’étire mes petites lèvres vers l’avant. clic. J’étire encore. Clic. Puis toujours en les tenant bien tendu, je les écarte vers l’extérieur. clic. Tu peux très bien distinguer l’entrée de mon vagin d’ou cette ficelle cache quelques chose. Clic. Re clic.
Mes doigts viennent prendre cette ficelle blanche et la tirer un peu. Clic. Un peu plus. Clic. On peut apercevoir le sommet de la première boule. Clic. Elle est marbrée de bleu et de blanc. Clic. (pour la beauté des photos, j’ai enfilé mes plus grosses boules ) Je tire un peu. Clic. Mon vagin s’élargit. clic. La moitié de la boule est apparente. Clic. Vagin distendu et demi boule luisante. Clic. J’enlève mes doigts de la ficelle pour laisser encore mieux voir. Clic. Ainsi positionné, je fais sortir la boule sans tirer sur la ficelle, juste une contraction de mes muscles vaginaux font surgir l’autre moitié de la boule qui vient pendre au bout de la ficelle qui la relie à sa jumelle encore en moi. Clic. Clic.
Pour le besoin d’une photo, je me lève debout, fléchi un peu les genoux, écarte les jambes. Ainsi, une boule dans le vide entre mes jambes, retenue par une ficelle qui sort de mon vagin. Clic.
Je retourne m’asseoir, pose les deux jambes sur les appuis bras, écarte mon sexe et saisis la ficelle pour faire surgir tout aussi lentement que la première, la deuxième boule. Clic. Clic. Clic. Les deux boules sortis, mon vagin légèrement ouvert et trempé. Clic.
Afin de te rappeler que tu as toi même vécu cette séance de photos, tu t’approches de moi. Caméra à la main droite, ta main gauche vient se poser sur mon pubis. Clic. Tu flattes mes lèvres lisses. Clic. Tu caresses le débordement de mes petites lèvres qui sont très luisantes. Clic. Afin de te faciliter la tâche, car ta main droit n’est pas disponible, j’écarte mes lèvres. Clic. Ton index caresse mon clito. Clic. Descend dans ma fente ruisselante. Clic. Tu t’amuses avec mes petites lèvres. Clic.
Ton index se positionne à l’entrée de mon vagin. Clic. Il y entre doucement. Clic. Clic. Clic. En ressort maculé de ma mouille. Clic. Clic. Tu y prends goût et y retourne. Clic. Tu fais des ronds avec celui ci à l’intérieur. hummm…je soupire. Tu lèves les yeux, je me masse les seins. Clic. Me triture les tétons. Clic.
Tu reviens à ta main. Tu m’enfiles ton index en ajoutant ton majeur. Clic. Tu les ressors. Clic. Tu les entres et sorts plus rapidement. Clic. Tu tentes un troisième doigts … hummm.. Clic. Je gémis. L’index de ma main gauche vient dans l’objectif de la caméra, pour me clitouner. Clic. Clic. Clic. Tes doigts ressortent et viennent enduire mes grandes lèvres douces de mouille. Clic. Tu les enduis encore et encore. Elles sont parfaitement mouillées et brillantes. Clic. Tu me fais écarter encore plus. Tu dirige mon bassin à la limite du siège du fauteuil. Écartelée ainsi, tout est accessible. Tu caresses ma raie avec de mon jus. Clic. Tu humectes maintenant mon anneau fripé. Clic. Il frissonne sous tes doigts. Clic.
Quelle position et état impudiques. Largement écarté, grandes lèvres brillantes, vulve trempée, raie et étoile bien dorés. Clic. Ton index se place en position sur mon anus. Clic. Le tout bout y entre. Clic. Un peu plus. Clic. Tu fais des ronds pour distendre encore plus. Clic. Tu y entre ton doigt en entier. Clic. Je gémis de plaisir. Tu me pistonnes un peu plus. Clic.
Je suis dans une excitation extrême, sous tes caresses et tes clics de caméra. Tu assouplies encore plus mon petit trou Clic. Une main avec la caméra et l’autre un doigt fiché dans mon petit trou que tu pistonnes et qui me donne de bonnes sensations. Ma main droite descend vers ma vulve en feu. Mes doigts s’agitent en elle, en alternant sur mon clito si réceptif. Clic clic. Mon autre main malmène mes seins et mes tétons. Lentement, mais sûrement, cette double pénétration doigtale me mène au sommet d’un long orgasme.
Clic. Clic. Je récupère lentement de ce plaisir. Clic clic.
* C’était si bon !
* Tu es si belle lorsque tu jouis !
* La jouissance est un plaisir indescriptible, dont je ne peux me passer !
La soirée ne fait que commencer……
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