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Echanges libertins

Mardi 28 novembre 2 28 /11 /Nov 12:42
Une fois encore, rendons à Cesar, ou plutôt à S. ce qui lui appartient ... Nous avons trouvé ce récit très erotique, et vous le faisons partager ....


 Je m'appelle S., nous habitons une ville de la région parisienne dans le 95 , l'été dernier nous sommes allés assister au feu d'artifice du 14 juillet.

Le mois de juillet à été particulierement chaud , donc je portais une petite robe d'été assez courte , même très courte et fine , 15 centimetres au dessus des genoux.
Nous sommes arrivés sur la pace des fêtes, il y avait déjà beaucoup de monde et des gens arrivaient toujours.
Les organisateurs ont attendu la nuit pour commencer la fête.

Nous avons rencontré un ami de mon mari, ils ont discuté ensemble, je ne m'interessais pas trop à leur bavardage, j'attendais le feu avec impatience, finalement c'est commencé, il faisait vraiment très chaud, l'attroupement sur la place faisait penser au metro aux heures de pointe, j'ai senti des frôlements dans mon dos, presque imperceptibles au debut.
Vu le monde, je ne me suis pas offusquée, puis cela devenait de plus en plus souvent et précis, j'étais inquiète mais bon... c'est devenu plus précis, des attouchement sur mon dos puis plus bas jusque sur mes fesses, j'ai voulu me retourner et giffler les personnes derrière moi, il y avait un tel monde et ne sachant pas à qui je devais ces caresses et la honte de provoquer un scandale, la peur de provoquer une bagarre avec mon mari, je me suis ravisée, puis l'exitation est montée en moi, une appréhension dans le ventre, devant mon manque de réaction les caresses ont continué plus précises encore, j'étais très troublée.

Mon mari et son copain m'ont dit
- viens avec nous, on va plus loin pour mieux voir, la honte aux joues j'ai répondu que je préférais rester là, mon mari a répondu :
- on se retrouve à la maison apres le feu.

Pendant que mon mari s'éloignait, la main étant sur mes fesses, j'étais comme folle de honte, la caresse est devenue plus précise, passant sous ma robe pour écarter ma petite culotte , un doigt s'est engoufré entre mes fesses en plein public , je n'ai jamais connu une telle honte et excitation de ma vie.
Une autre main est passée devant, sous ma robe, me caressant le ventre, j'étais pénétrée derrière et devant, je suis ensuite venue très très fort.

Les mains ont changé de place, celle de derrière venue devant et l'autre passant derrière , c'est à ce moment que j'ai réalisé qu'il s'agissait de deux hommes, ils ont continué jusqu'à me faire jouir une deuxième fois.

Puis les deux hommes m'ont pris par les bras et m'ont fait monter à l'arriere d'une voiture, celui qui était avec moi à l'arrière m'embrassait et me caressait, ils m'ont emmené en dehors de la ville dans un endroit calme, le conducteur est passé à l'arriere nous rejoindre sur la banquette , ils m'ont embrassée, caressée, je n'étais plus moi même, ils m'ont désabilléé et fait l'amour , ensuite ils ont refusé de me rendre ma petite culotte, ni mon soutien gorge, c'est donc toute nue sous ma robe que je suis retournée chez moi.

Quand mon mari est arrivé, j'étais en train de prendre un bain après avoir fait ma toilette.
Heureusement que mon mari est rentré après moi !
Par Libertins49 - Publié dans : Echanges libertins
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Vendredi 10 novembre 5 10 /11 /Nov 17:07

Il existe à Paris un cinéma qui organise des soirées pour les couples.

 

Pascal, mon mari, avait réussi à m’y entraîner une première fois. L’accueil convivial et l’ambiance détendue nous avaient plu. Au début, un peu dans l’expectative, nous nous y étions sentis à l’aise et comme la plupart des couples nous n’étions pas restés inactifs : La main dans ma culotte, Pascal m’avait fait jouir. Ce petit jeu dans une salle de cinéma entourée d’inconnus, l’expérience ne m’avait pas déplu.

 

Nous y sommes retournés récemment, décidés à nous montrer un peu plus délurés. Je portais une petite jupe en lycra très moulante et un corsage sans soutien-gorge. Quant à ma petite culotte, conformément à notre accord, je l’ai retirée dans les toilettes du restaurant où nous avions mangé peu avant. 

 

A notre arrivée une dizaine de couples avaient déjà pris place. Nous nous sommes installés dans le milieu de la salle. Dans notre rang il y avait un couple, un siège nous séparait d’eux. Les lumières étaient déjà éteintes quand un nouveau couple est venu s’installer juste devant nous.

 

Le film a débuté par le strip-tease de deux jeunes femmes qui se sont effeuillées mutuellement. Une fois nue, la blonde s’est calée confortablement au fond du sofa, et tout en se caressant les seins, elle a écarté les cuisses nous laissant découvrir une toison d’adolescente. La brune aux cheveux courts est venue s’agenouiller devant elle, offrant en premier plan les fermes rondeurs de son petit derrière. Elle a commencé à lécher la fente de son amie, parvenant au bout de quelques instants à lui arracher des gémissements de plaisir. Pour un film porno, je trouvai que celui là débutait plutôt bien.

 

Pascal n’a pas résisté longtemps à ces images. Après avoir libéré son sexe qui sans aucun doute ne méritait pas de rester plus longtemps à l’étroit, il faisait sauter les premiers boutons de mon corsage pour y glisser sa main et me caresser la poitrine. Mes seins se sont durcis. Avouons que la scène lesbienne qui se déroulait à l’écran ne me laissait pas de marbre. J’aime les corps féminins et à vrai dire une telle expérience ne me déplairait pas.

 

Il a détaché un bouton supplémentaire et extirpé mon sein droit qu’il s’est mis aussitôt à téter. Mes yeux se sont fermés pour mieux apprécier la douceur de ses caresses. Il connaît mes faiblesses et en a profité pour ouvrir totalement mon corsage, et se faisant, dévoiler ma poitrine. Mes seins ainsi libérés lui étaient offerts, ils les caressaient, les mordillaient. Excitation exquise qui m’amène parfois à la jouissance.

 

Quand il s’est interrompu au bout de quelques instants, la pudeur reprenant le dessus, j’ai cherché à ramener les pans de mon corsage.

« Non, laisse » m’a t-il soufflé.

Il est fou de ma poitrine et veut que je la montre. Déjà bien chauffée, mon excitation a pris le dessus sur l’appréhension d’être ainsi exhibée poitrine à l’air au milieu d’une salle de cinéma. Car croyez moi la lumière réfléchie par l’écran était largement suffisante pour permettre à mes voisins de se rincer l’œil. Et ils ne se gênaient pas. Celui assis juste devant moi, se retournait régulièrement, il me caressait de son regard. J’appréhendais qu’il ne finisse par me caresser tout court. Je fixais l’écran pour ne rien laisser paraître, mais mes pointes de seins en érection trahissaient mon émoi. Pascal ravi, m’encourageait à me laisser mater :

« tu es superbe », «  je ne suis pas le seul à apprécier ».

 

J’ai lancé un regard furtif vers le couple de notre rang : la jeune femme était restée décente mais son visage ne laissait aucun doute sur son état ; les yeux fermés elle se mordait les lèvres ; la main de son mari entre les cuisses, elle prenait son pied.

 

A l’écran un jeune costaud avait rejoint les deux jeunes femmes, la blonde s’était empalée sur son sexe. La seconde debout, jambes écartées, s’est placée au-dessus du visage de sa copine pour réclamer sa langue.

 

Pascal a posé sa main sur mon genou et a commencé à caresser mes cuisses, de tendres caresses qui n’en finissaient pas. Mon sexe réclamait sa part, je me suis avancée au bord du siège de manière à pouvoir écarter suffisamment mes cuisses. Ce mouvement a eu pour effet de remonter ma jupe, de sorte que je me suis retrouvée  toison à l’air, entrejambe ouverte. Pascal ne s’est pas fait prier pour enfin entreprendre mon sexe. Dés ses premiers attouchements tout mon corps s’est tendu. 

 

Mais l’homme de devant s’est retourné à nouveau, et instinctivement mes cuisses se sont refermées sur la main de Pascal. Même prisonnier, il n’était pas à court d’arguments : il continuait à jouer avec mon clitoris. Je n’y résiste pas.

Lorsqu’il m’a demandé à l’oreille d’offrir la vue de mon sexe, après une courte hésitation, rassemblant mon courage, je me suis lancée. Lentement j’ai écarté mes genoux jusqu’à ouvrir largement mes cuisses reposant un pied sur le siège afin de dévoiler au mieux mon sexe. Je restais dans cette position laissant nos voisins me mater à volonté pendant que Pascal continuait de me donner du plaisir.

 

 Pascal me masturbait depuis un bon moment, et j’étais déjà bien partie quand il a ôté mon corsage en le faisant glisser sur mes épaules. Comme je ne protestais pas, sans attendre, conscient de mon état,  il me demandait de me soulever pour retirer ma jupe. En me rasseyant le contact du skaï du fauteuil sur mes fesses nues m’a rappelé à la réalité : j’offrais ma nudité à notre entourage. 

 

Mon clito m’avait portée à un tel degré d’excitation, que me retrouver entièrement nue se révéla une délivrance. J’étais dans un tel état de bien être, excitée à souhait, mon corps libéré de toutes entraves, que j’acceptais cette situation sans sourciller.

 

Je me calais confortablement dans mon siège, mes pieds prenant appui sur les sièges de devant. Pascal a repris possession de mon clito qui dans cette position percevait de mieux en mieux la pression de son doigt.

 

Le couple de devant, tourné vers nous ne ratait rien du spectacle.

 

Rapidement je ne fus plus vraiment maître de moi et peu à peu je me suis abandonnée au plaisir qui m’envahissait. J’ai oublié où je me trouvais. Mes yeux clos, entièrement livrée au plaisir, je suis complètement partie. Pascal est passé à la vitesse supérieure ; ses doigts ont abandonné mon clito pour pénétrer mon sexe qui les enserrait merveilleusement. Je l’encourageais à aller plus profond en m’arque boutant et en écartant mes cuisses autant que je pouvais. Ses mouvements de va et vient me faisaient vibrer.

 

 Dès que la première jouissance m’a traversée, dans un sursaut de lucidité, j’ai retiré sa main. Je savais avoir atteint la zone de non-retour, passé ce cap, je ne sais plus me contrôler : le besoin d’être pénétré par un sexe bandé est trop intense, être prise devient alors l’unique raison de vivre. Il était temps d’arrêter. 

 

Lorsque je suis parvenue à ouvrir les yeux les regards de nos voisins étaient braqués sur moi. L’homme à ma droite me dévisageait, si je puis dire car il ne s’intéressait pas qu’à mon joli minois. Sa femme était penchée sur son sexe, elle le suçait. Quant au couple de devant, il semblait plus intéressé par mon corps que par le film ; tournés vers moi et amusés ils me souriaient.

 

J’éprouvais des sentiments contradictoires. Perplexe et amusée d’être capable de jouir en public livrée entièrement nue aux regards d’inconnus ; exaltée et fière quelque peu que l’entourage ait apprécié de me voir ainsi offerte. Heureuse aussi du bonheur de Pascal.

 

Certes j’ai toujours aimé être nue, c’est un réel plaisir. Jusqu’à présent, m’exhiber ne m’avait jamais tentée, et pourtant cette première expérience au milieu d’autres couples fut pour moi la découverte d’une situation épicée des saveurs du vice qui rendent un repas succulent. 

 

Vous l’avez compris, j’ai beaucoup apprécié ce nouveau jeu. Nous sommes décidés à le réitérer ici et ailleurs. En compagnie de pascal, je suis prête à offrir ma nudité à ceux et celles qui savent l’apprécier.

 

CLAIRE

Institutrice (a t'elle pris la peine d'ajouter ... délicieusement coquine en plus !)

N'a pas souhaité laisser d'adresse ... mais, si elle se reconnait : Merci pour cette si belle histoire !

Par Libertins49 - Publié dans : Echanges libertins
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Mercredi 28 juin 3 28 /06 /Juin 02:15
Une bien belle histoire ... de Patrice ...

Stay tuned ... je vous rédige un délicieux récit d'une aventure que je vient de connaitre... je ne sais si l'histoire le sera, mais l'aventure est charmante ....

Encore un voyage pour Roznov, petite ville industrielle de la république Tchèque. Décidément je passe beaucoup de temps dans les aéroports et les chambres d'hôtel depuis quelques années. Parti de Toulouse 2 heures plus tôt, me voilà à Roissy CDG, dans la salle d'embarquement du vol CSA pour Prague. Ce soir, nuit à l'hôtel, puis il faudra me lever à 5h30 pour attraper le vol d'Ostrava sur un petit bimoteur. Il fait beau, je passe le contrôle des bagages à main et m'installe dans la salle d'embarquement.

 

Les sièges de plastique ont été remplacés par des banquettes recouvertes de velours bleu, disposées en demi-arc de cercle. Lisant distraitement un journal, j'aperçois face à moi une femme en tailleur noir, chemisier blanc, haut talons, un collant couleur champagne, assise les jambes croisées bien haut. Je la trouve gonflée, elle montre la moitié de ses cuisses. Cheveux longs noirs, des lunettes mode, un beau visage aux yeux en amande, elle aussi lit une revue. Moi qui ai toujours été attiré par les femmes d'allure classe, je ne peux détacher mon regard, ses cuisses pleines m'attirent. Elle doit le sentir, car elle jette un coup d'oeil vers moi, plonge ses yeux dans les miens, puis m'ignore royalement. Peu importe, je continue à la fixer, le jeu m'amuse.

On nous appelle pour l'embarquement. Je la laisse se lever avant moi. Son attachée-case à la main, la lanière du sac sur une épaule, un foulard rouge noué autour du cou, juchée sur ses escarpins faisant ressortir de jolies jambes, elle a vraiment beaucoup d'allure, et surtout, des formes de femme : une poitrine bien ronde, des fesses moulées par la jupe serrée. Je la trouve vraiment superbe. Entrant dans l'avion pour prendre place en business class, le jeu prend une tournure à laquelle je ne m'attendais pas : dans la même rangée que moi, de l'autre côté de l'allée centrale, cette femme ! Déjà assise, toujours les jambes croisées exhibant la moitié de ses cuisses pulpeuses, elle m'ignore toujours, le regard plongé dans ses documents. Pendant tout le trajet jusqu'à Prague, je ne cesse pas de la regarder en coin. Elle s'en fiche complètement, du moins c'est l'impression que je ressens. Une hôtesse ravissante distribuant les boissons s'aperçoit de mon manège et m'adresse un sourire coquin.

 

Nous arrivons enfin. La femme a disparu après avoir passé le contrôle de police. Je cherche un taxi pour le Hilton, et finit par l'oublier complètement. Cet hôtel est magnifique. Situé sur les bords de l'Elbe, en plein centre, un immense lobby décoré de très hautes plantes vertes, ma chambre est située au 11ème étage, vue directe sur le fleuve. Après avoir dîné, plutôt que de regarder la télé seul dans ma chambre, je m'installe dans un des recoins du lobby, deux banquettes en L entourées de plantes. La luminosité a été diminuée, donnant une atmosphère douce dans ce hall immense.

Soudain, je vois passer la femme, celle de l'avion. Elle s'arrête, se dirige vers moi, et avec un grand sourire, s'exclame :

 

- Vous êtes là !

 

Stupéfait, je réponds en bafouillant un peu :

 

- Oui, bonsoir. Vous aussi vous êtes descendue dans cet hôtel ?

- On y est bien. J'aime cet hôtel, les chambres sont vraiment très spacieuses.

- Et la vue est splendide, sur le fleuve et les bâtiments baroques.

- Je m'appelle Marie. Vous venez souvent à Prague ?

 

Et elle s'installe près de moi, sur l'autre côté de la banquette, toujours en croisant les jambes, bien haut ! Cette petite garce m'a ignoré pendant tout le voyage, et la voilà engageant la conversation sur la ville de Prague, me posant des questions sur la raison de mon voyage. Je lui propose une coupe de champagne, qu'elle accepte avec un large sourire. Elle a ajouté des boucles d'oreille, assorties à un lourd pendentif. Le foulard de soie rouge est toujours là, noué autour du cou. Cette fois-ci, elle ne fait plus hautaine du tout. Je la trouve très séduisante, attirante, de plus en plus. Elle est volubile, agite les mains en parlant. Assise dans la banquette profonde, sa jupe a encore remonté. Après deux coupes de Gosset (un délicieux champagne, elle m'a félicité pour mon choix) je m'amuse maintenant franchement : je mate ses cuisses pleines sans vergogne. Et ça semble l'amuser beaucoup, elle ne se gène pas pour croiser et décroiser les jambes. Je commence à croire sérieusement qu'elle cherche à m'allumer. Mais ce genre de situation n'arrive que dans les films. Et puis, je dois me lever tôt demain matin. Elle me dit travailler dans l'industrie automobile, et doit rencontrer des concessionnaires locaux. Egayés par l'alcool, notre conversation dérive vers les dessous féminins. Je lui avoue aimer les jambes gainées par des bas fin en voile. Elle me sourit :

 

- Vous n'aimez pas les collants ?

- J'ai horreur de ça. Est-ce grave, docteur ?

 

Son rire crépite, elle semble vraiment très à l'aise. Elle se lève et m'annonce :

 

- Je reviens dans cinq minutes. Commandez-moi une autre coupe de ce merveilleux champagne, et surtout attendez-moi !

Que répondre à cela ? Je suis des yeux sa silhouette tandis qu'elle se dirige vers les ascenseurs, faisant claquer ses talons sur le dallage en marbre, balançant les fesses à chaque pas. Elle m'excite, cette belle femme. Pas jolie comme un mannequin, non, d'ailleurs ça ne m'aurait pas intéressé, mais son allure la rend vraiment belle, très féminine. De sa silhouette émane une sensualité à fleur de peau.

 

Dix minutes plus tard, personne. Bien, elle m'a allumé, elle s'est bien amusée ! Il est temps de me coucher moi aussi. A l'instant où j'allais me lever, je la vois arriver. Quelle délicieuse vision : son chemisier est ouvert, deux boutons ont été défaits, le tiers de ses seins est dénudé, son soutien-gorge a disparu, elle est débordante de sensualité. Elle ne sourit plus, j'ai l'impression de voir un léger tremblement dans sa main lorsqu'elle saisit sa coupe. Elle s'assoit, croise les jambes comme à l'accoutumée, et découvre ce morceau de peau si chaud et si tendre, au-dessus de la lisière des bas tendus par les lanières d'un porte-jarretelles blanc ! Le contraste est magnifique, troublant. Mon coeur bat à tout rompre. Elle s'est remaquillée les yeux, sa bouche est recouverte d'un rouge luisant, lui donnant des lèvres pulpeuses. Son parfum m'enivre. Cette fois-ci je n'ai plus de doute. Je sens ma verge se tendre dans mon pantalon. Elle boit une nouvelle gorgée de liquide, se cambre, tourne le buste vers moi, m'exhibant la moitié de ses seins nus. Avec un léger sourire, elle me dit d'une voix rauque:

 

- Ca vous plait ?

- Quoi donc Marie ? Je lui rétorque, m'efforçant de garder une voix assurée.

- Ce que vous regardez.

 

Sidéré par son audace, je marque un temps avant de lui répondre. Pour garder le contrôle de la situation, je fixe mon regard sur ses cuisses si joliment gainées, puis ses seins. Je veux qu'elle comprenne que je n'ai absolument pas honte de la regarder. Elle respire vite, soulevant sa poitrine à chaque bouffée d'air.

 

- Vous n'avez pas cessé de me mater dans l'avion. Alors maintenant, je vous en offre un peu plus !

- Vous avez de très jolies jambes, ou plutôt de très belles cuisses. Vraiment très sexy !

 

Elle rit, nerveusement, un rire qui vient du plus profond de sa gorge. Profitant de la lumière tamisée du hall, je pose une main sur sa joue. Nous sommes bien, abrités par les rangées de plantes vertes qui entourent notre banquette. Alors j'en profite. Je laisse glisser mes doigts le long de son cou, descends jusqu'au sillon de ses seins, dégrafe un autre bouton de son chemisier, qui s'ouvre jusqu'au ventre. Ma main empaume un des globes nus, durcis par l 'excitation. Elle soupire, cherche de l'air, les lèvres entrouvertes, mais elle se laisse faire. Délaissant son sein, je pose la main sur son genou, remonte lentement le long de sa cuisse, faisant crisser mes doigts sur le tissus fin du bas. Elle décroise les jambes, redresse la tête, plonge ses yeux dans les miens, me défiant fièrement du regard. Mes doigts franchissent la lisière du bas, atteignent la chair nue, là où le grain de peau est si fin, électrisant ma paume. Elle écarte légèrement les genoux. J'en profite pour glisser la main entre les cuisses, là où la peau est chaude, ferme et tendre à la fois, une peau de femme, délicieuse à toucher, à caresser. Une fine culotte transparente recouvre, ou plutôt découvre, sa vulve. Pas un poil ne déborde, elle est entièrement épilée.

 

- Retirez votre main, on va nous voir. S'il vous plait, arrêtez !

- C'est vous qui avait provoqué ce jeu, maintenant il faut assumer !

- Non, je vous en prie, je suis trop excitée.

 

Nous nous levons. Elle referme sa veste, me regarde encore, les yeux flous. En étant debout, elle se rend compte qu'elle est affreusement mouillée. Le tissus de la culotte colle à sa vulve. En la suivant, je ne vois que ses fesses plantureuses étroitement moulées par le tissus de la jupe. Dans l'ascenseur qui monte à mon étage, je caresse son cul. En gémissant, elle se colle enfin à moi, me tend ses lèvres, et m'embrasse fougueusement.

Reprenant son souffle, elle avoue :

 

- Salaud, vous m'avez excité comme une folle dans cet avion. Je sentais vos yeux fixés sur moi, je ne savais vraiment plus où j'en étais. Rarement un homme ne m'avait déshabillée du regard comme vous l'avez fait, j'en avais les jambes qui tremblaient. J'avais terriblement envie de vous. Je sentais votre regard qui me brûlait, j'aurais voulu être prise, là, au milieu de tous ces gens.

- Vous m'avez plu tout de suite. J'aime votre allure si classe, vos formes.

- Oh, taisez-vous ! J'ai tellement envie d'un homme, de vous.

 

Arrivés au 11ème étage, la prenant par la taille, je l'entraîne dans ma chambre. Elle se colle encore contre moi, nous cognant contre le chambranle de la porte. Sa langue s'enfonce dans ma bouche, tourne, virevolte. Je lui rends son baiser avec passion, pétrit ses fesses à travers le tissus de la jupe. D'un coup de pied, je referme la porte.

 

Fou de désir, mes mains se ruent à l'assaut de son chemisier, l'ouvre. Ses seins jaillissent enfin. Des seins de femme, pas parfaits mais ça la rend plus humaine, plus excitante. Ils sont fermes, durcis par l'excitation. Longtemps je les caresse, les tripote. Des gouttes de transpiration, semblables à de la rosée, roulent dans le sillon séparant les deux globes. Ses aréoles, terminées par des mamelons épais, tendus, me donnent envie de la téter. Les reins cambrés, elle me les offre, le regard flou, enserrant mon visage de ses mains.

Pour la calmer, je délaisse sa poitrine, l'embrasse tendrement. Mes mains caressent son dos nu, descendent le long des reins. Je lui fais sentir mon désir en appuyant ma verge contre son pubis. Le brusque silence la trouble. Fuyant mon regard, elle remonte sa jupe au niveau des reins, offrant ses fesses à la caresse de mes mains. Je saisis les deux globes de chair vivante, les pétris, insinuant un doigt le long du bord du slip.

Ivre d'envie, elle ouvre ma chemise, caresse mon torse, quelques instants seulement, avant de se ruer vers ma ceinture qu'elle défait maladroitement, les doigts tremblants d'excitation. Ses doigts bagués saisissent mon membre, le dégagent du slip. Mon coeur bat à tout rompre. Elle fixe ma queue au gland mauve qu'elle fait saillir dans sa paume.

Mes doigts suivent le contour de sa culotte, atteignent sa vulve à peine recouverte par le tissu fin. De la mouille englue mes doigts, elle coule.

 

- Vous êtes trempée, petite cochonne, votre culotte est à tordre.

 

Je lui baisse son slip, jusqu?au niveau des genoux. Ses jambes tremblent. Ma main s?infiltre, deux doigts suivent le contour des petites lèvres, les pinçant légèrement, atteignent le clitoris turgescent, l?effleurant à peine. Elle pousse un gémissement, tend sa chatte à la rencontre de mes doigts qui, brusquement, s?enfoncent dans le con gluant.

 

- Je vais vous baiser, Marie !

- Oh, vous me dites des choses, vous... vous me parlez comme à une ...c'est... ça m'excite !

 

Mes mots sales fouettent l'excitation de la femme qui ferme les yeux. Elle tend le bras, cherche ma tige en tâtonnant, sa main l'empoigne, la serre à m'en faire crier. Elle soupire, j'en profite pour la plaquer contre le bureau. Mon gland cogne contre son pubis, froisse les nymphes enflées de sa vulve. Elle écarte les jambes autant que lui permet sa culotte qui lui scie les cuisses. En pensant à ce que ce type lui fait faire, quelques plaintes filent entre ses lèvres, elle étouffe des gémissements sourds en plaquant sa bouche dans mon cou.

 

- Prenez-moi, s'il vous plait, vite !

- Vous voulez quoi, Marie ?

- Vous sentir, en moi.

- Je n'ai pas bien compris, Marie. Vous voulez quoi, et où ?

- Oh, vous êtes si vicieux ! je veux votre queue ! dit-elle dans un souffle.

- vous voulez ma queue ? C'est ça, vous la voulez, bien profond ?

- Ouiii, profond, loin, je veux la sentir dans ma chatte, je veux qu'elle me remplisse !

 

Maladroitement, elle tente de se débarrasser de son slip, réussit finalement à le faire glisser jusqu'à ses chevilles. Je l'attrape par la taille, l'asseoie sur la console, bousculant au passage le combiné du téléphone. L'agrippant sous les genoux, je soulève ses cuisses. Ses jambes gainées par le voile fin des bas me rendent dingue. La vulve est enflée, gorgée de jus. Pour me provoquer, elle l'ouvre à deux mains. Mes narines s'enivrent de l'odeur qui s'en échappe. Elle me rend fou, je ne sais plus où porter mon regard. Ses jambes, ses seins, son sexe offert, ses yeux vitreux, un demi-sourire un peu moqueur sur les lèvres. Posant sa main sur mon crane, elle plaque ma bouche sur ses lèvres molles qui s'écartent sur les muqueuses intimes. Je lèche sa fente à l'aveuglette, fouille les replis de sa chatte. Sous ma langue, je sens un petit bout de chair très dur : le bouton. Elle pousse un cri aigu, de surprise et de plaisir. J'aspire son clitoris entre mes lèvres, le titillant avec ma langue. Elle pousse un râle rauque, en soulevant son bassin. Pour jouir si rapidement, elle doit en avoir autant envie que moi.

 

Mais le désir est trop fort, un désir incontrôlable. Je me redresse, et mes yeux plongés dans les siens, je courbe ma queue contre sa chatte.

 

- Vous êtes belle Marie, terriblement obscène et belle. Vous êtes une magnifique femelle.

 

Les yeux vagues, elle se laisse aller en arrière, et m'attire sur elle en murmurant dune voix sourde :

 

- Oh, enfilez moi.

 

Mon membre dérape entre les replis de la vulve, puis brusquement, violemment, s'enfonce dans le con brûlant. Elle est très ouverte, son vagin est étroit et chaud, émettant de petits flots de mouille et de pisse mêlés. Je suis bien en elle, je sens ses chairs souples sous mes mains.

 

- Vous me sentez, Marie ?

- Ouiii, elle me remplit votre queue. Bourrez moi fort, allez-y.

 

Je la trouve trop passive. Pour l'exciter, je lui glisse dans l'oreille :

 

- Ta chatte me suce la bite, Marie, c'est délicieux.

 

Les mots sales que je lui susurre fouettent ses sens. Elle pousse un cri, attrape mes fesses et me serre contre elle. Des mots sans suite s'échappent de ses lèvres. Elle gémit, sentant la jouissance monter du creux de ses cuisses, provoquant d?interminables secousses dans son ventre. A chaque mouvement des reins, mes couilles frappent son cul. Nos bouches se cherchent, nos dents s?entrechoquent, nos langues s?emmêlent dans un ballet infernal. Ses seins couverts de sueur s?écrasent contre mon torse. Je l?agrippe sous les cuisses, écartant ses fesses qui remplissent bien mes mains.

 

- Tu sens mes doigts qui ouvrent ton cul ?

- Oh, quand même mais oui, continuez !

 

Je n'en peux plus. Hors de moi, je m'enfonce encore plus profond, à chaque va-et-vient mon bassin frappe le sien, provoquant un claquement de chairs humides. Son attitude de femelle en manque me rend fou. Soudain, elle pousse un long cri aigu. Je sens une giclée chaude brûler ma queue.

 

- Marie, ma belle, je vais jouir, je ne vais plus pouvoir tenir longtemps.

 

Le regard vague, la voix tremblante, elle dit en criant presque :

 

- Attends, je veux ton sperme sur mes seins.

 

Me séparant d'elle, je laisse retomber ses jambes. Elle descend du meuble, s'agenouille, tend ses yeux brillants vers les miens :

 

- Viens, vas-y, donne-moi tout de toi.

 

Un spasme secoue mon bas-ventre, mon sperme fuse, éclabousse ses seins, son ventre. Je m'affaisse sur elle, dans ses bras chauds.

 

Nous dormons l'un contre l'autre, elle le dos tourné, bien calée contre mon torse. Je l'entoure de mon bras, emprisonnant un de ses seins. Le lendemain, lorsque le réveil sonne, elle n'est plus là. Seule l'odeur chaude de son corps a laissé son empreinte dans les draps. Marie a disparu.



Merci Patrice ... que ceux qui veulent le remercier, l'encourager, m'écrive ... je ferais passer
Par Libertins49 - Publié dans : Echanges libertins
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Mercredi 28 juin 3 28 /06 /Juin 02:10
Une histoire que nous venons de découvrir ... fantasme de ma chère et tendre !!!

Je me nomme Delphine, j’ai 31 ans et je suis mariée à Greg de 14 ans mon aîné. Je suis à ce qu’on dit une très jolie femme brune de 1 m 70 pour 56 kg, et mon atout principal est une généreuse poitrine qu’emprisonnent des soutiens gorge de taille 95 C.

L’été dernier, Greg organisa notre soirée, en me proposant d’aller voir un festival de jazz qui se déroulait pendant une semaine dans un ancien prieuré attenant à la cathédrale.

Nous devions nous y rendre pour 20 h 45 en cette soirée de semaine. Ce qui n’était pas prévu, c’est que mon métier de secrétaire de direction ne m’astreignait pas souvent à des horaires fixes. Bien entendu ce soir là n’échappa pas à la règle.

Je prévenais Greg lors de la pause de la réunion que je serais certainement en retard et que le mieux serait que l’on se retrouve sur place, d’autant que je ne travaillais qu’à à peine 1 km du lieu du festival.

La réunion se termina à 20 h 30 passé. Inutile de me stresser me dis-je, quoique je fasse je serais en retard. Je pris donc mon temps en retournant dans mon bureau pour ranger les papiers et les notes que j’avais pris lors de la réunion, puis je me dirigeais vers les toilettes afin d’ajuster mon maquillage. Si j’avais eu le temps de rentrer à notre appartement je me serais changée dans une tenue plus cool, mais c’est ainsi, et j’allais garder jusqu’à la fin de la soirée, mon tailleur bleu dont la jupe ne couvre que la moitié de mes cuisses, un chemisier blanc, un soutien gorge et une culotte blanches à dentelle ainsi que des bas auto fixant.

Cette tenue allait certainement dénoter parmi le public, mais qu’importe ! Et puis je n’ai pas le choix.

Je sortais de l’immeuble et je décidais de me rendre à pied au festival, pensant que j’irai plus rapidement ainsi, plutôt qu’en voiture, où une place de parking serait plus qu’hypothétique. Vingt minutes plus tard, après avoir essuyé quelques sifflements et quolibets sur mon physique, j’arrivais à l’entrée du prieuré.

Dans l’enceinte du festival, je téléphonais à Greg afin qu’il me guide pour le retrouver. Malgré la sono très forte, nous parvîmes à nous retrouver derrière une arcade du déambulatoire, assez loin de la scène. Après que nous nous soyons embrassé, Greg me fit part de la demi heure que j’avais manqué.

Ne voyant pas très bien la scène d’où nous étions, je demandais à Greg de bien vouloir m’aider à monter sur le rebord de l’arcade située 50 cm plus haut. Il y avait très peu de personnes autour de nous, c’est ainsi que sans pudeur et dans l’obscurité, je retroussais ma jupe pour escalader cette bordure. Greg m’aida en me soutenant par la taille, puis lorsqu’il s’assura que je me tenais seule, il me lâcha.

Quelques minutes passèrent lorsque je sentis sa main caresser mon mollet. Quelques secondes passèrent avant que sa main remonte sous ma jupe entre mes cuisses. Je le laissais faire tant je trouvais délectable ses doigts qui complimentaient mes chairs entre le haut de mes bas et ma culotte. Nous étions dans la pénombre des arcades à l’égard de regards indiscrets pensais-je, sinon Greg ne se serait pas aventuré à ce jeu.

Ses doigts se glissèrent sous ma culotte et flattèrent mon pubis et mes lèvres boursouflées Il resta un moment à cette caresse tant il aimait mon sexe entièrement épilé. Un doigt s’insinua dans la commissure déjà humide. Il s’enfonça entièrement, puis il ressortit lentement. De sa phalange repliée, il crocheta ma culotte qu’il tira le long de mes jambes pour qu’elle finisse sa course sur mes chaussures. Sa main remonta le long de mes cuisses et ses doigts s’infiltrèrent à nouveau dans mon ventre. Je commençais à ne plus vraiment écouter le concert tant le plaisir qu’il me donnait, captivait tous mes sens. Ses doigts allaient en va et vient, ou bien ils astiquaient mon clitoris devenu turgescent. Ses doigts lubrifiés par le liquide de mon plaisir, glorifièrent la rosette de mon anus. Greg connaissait la jouissance que m’apportait toute pratique de cet orifice bénit des Dieux, aussi, après l’avoir encensé de sa caresse, son doigt s’y enfonça totalement ainsi qu’un autre dans mon vagin. Sa main s’était transformée en fourche et ses doigts me baisaient et me sodomisaient en même temps au milieu d’une foule inconsciente de la jouissance qui me secoua le corps.

Comme pour remercier Greg et aussi le tempérer je posais ma main sur ses cheveux. Mon corps se raidit et se glaça aussi vite que l’éclair ! La chevelure que ma main effleurait était grasse et gominée de gel, alors que mon mari a des cheveux bouclés et frisés. Je n’osais me retourner et regarder la personne que j’avais pris pour Greg. Je jetais un vif coup d’œil sur le côté. Greg était parmi les spectateurs à quelques mètres de nous.

Les doigts continuèrent leur va et vient. Jusqu’à cette usurpation d’identité je prenais du plaisir, devait-il s’arrêter parce que ces caresses n’étaient pas prodiguées par l’homme que j’imaginais ? A ce jour, je n’avais encore jamais trompé mon mari, mais involontairement c’était fait. La seule excuse que je me donnais, c’est que c’était involontaire, pourtant j’avais pris du plaisir !

Pourquoi me torturer l’esprit ? N’avais-je pas le droit de prendre du plaisir en dehors qu’avec mon mari ? Ma main avait cessé de contenter le crâne de l’homme que je croyais être celui de mon mari. L’homme continuait à tarauder mon intimité. Je n’étais plus réceptive malgré et à cause des antagonismes qui persécutaient ma frivolité.

Lentement je m’accroupissais pour être à sa hauteur. Ses doigts poisseux coulèrent de mes intimités tout en restant au contact de ma croupe. A son souffle chaud et haletant, je compris que mon visage était à la hauteur du sien. Je tournais la tête vers lui afin de découvrir la physionomie de l’homme qui m’apporta tant de plaisir avant que je ne découvre la supercherie.

Malgré la noirceur de l’endroit, je découvrit un homme d’une cinquantaine d’années, assez petit et très rondouillard, les cheveux gominés et plaqués en arrière. Un filet de moustache soulignait un visage de type méditerranéen, accentué par un costume gris à rayure.

- Mes doigts me disent que vous avez aimé, mais les vibrations de votre corps, elles me confirment que vous n’avez pas atteint la plénitude.

Je ne savais que répondre. Sans attendre sa main se plaqua sur mes fesses tandis que l’autre me saisit sous l’aisselle. Je décollais de mon rebord pour retrouver illico presto face à lui, ma culotte traînant à mes pieds. Je la ramassais immédiatement et la glissais dans la poche de mon tailleur. Mon regard se baissa vers lui, je le dépassais d’une demi tête.

- Merci de m’avoir aidez à descendre, je vais rejoindre mon mari, lui dis-je presque idiotement. Puis, encore plus idiotement je lui tendis la main pour le quitter.

Je fis un brin de toilette et je réajustais ma tenue. Quelques minutes plus tard je rejoignais Greg.

- C’est super, non ? me m’interrogea-t-il.

J’acquiesçais de la tête tout en pensant au plaisir que j'avais pris.
Cette première fois que je n’ai jamais avoué à mon mari fut le début d’une longue série de libertinage, où souvent le plaisir fut au rendez-vous.


Posté par Delphine
Par Libertins49 - Publié dans : Echanges libertins
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Samedi 17 septembre 6 17 /09 /Sep 00:00

Fantasme de ma muse Québécoise … Je l’adore ! (vous verrez quelques expressions bien de là bas, c’est tellement craquant !)

Si vous avez aimé, dites le moi,  je lui ferais part de vos messages … et qui sait, vous aussi aurez peut être la joie d’entamer une relation coquine avec cette belle Québécoise, prénommée Solange !

 

Comme  tous les soirs, à mon arrivée à la maison après le travail, je me dévêts et me mets à l’aise.

Petit gilet blanc à bretelles et string.

Je vais au salon prendre les messages téléphoniques;  à ce moment de la journée, le soleil entre pleinement dans cette pièce. J’ouvre en totalité les rideaux pour laisser les rayons envahir la pièce.

En les ouvrant, je te remarque sur le balcon de l’édifice en face du mien, et qui est un hôtel:  un bel homme, la quarantaine, assis, sirotant une bière. Ta cravate et les premiers boutons de ta chemise sont défaits. Sûrement un homme d’affaire en visite dans notre ville, me dis-je.

 

Je me tourne et vais au répondeur qui affiche des messages en attente. Je me penche et presse sur le bouton. Je ne me soucie pas de mes gestes, puisque qu’ils sont naturels et répétés tout les soirs. Je ne me rends pas compte immédiatement que tu as une vue imprenable sur mes fesses quasi nues et ainsi cambrées quand je note les messages ; elles te sont ainsi offertes !

 

Je vais à la cuisine me préparer un petit repas, que je viens déguster au salon devant le téléviseur qui diffuse le bulletin d’informations.

Je pose mon assiette sur la table du salon et m’assoie dans le fauteuil.

Je me penche sur mon assiette pour en savourer son contenue.

Encore une fois, je ne me doute pas, que penchée ainsi, je te laisse libre vue à la naissance de mon buste.

 

Repas et informations terminés, je me lève pour éteindre le téléviseur et c’est à cet instant que je te remarque :  A la porte fenêtre de ton balcon, jumelles positionnées sur tes yeux et dirigées vers ma porte fenêtre. Eh là, tu m’espionnes ?

Non, je comprends que plutôt tu me mates les seins et les fesses.

Sur le coup, je suis mal à l’aise mais me sens très excitée de me sentir matée ainsi.

Je ne te laisse pas savoir que j’ai découvert ton manège, car je prends plaisir de me sentir regardée ainsi par un inconnu.

 

Je file à la douche et en ressort trempée : je ne m’essuie pas, enfile le même petit gilet blanc à bretelle et le string qui sied à merveille avec le gilet. Le gilet moule mon corps mouillé et laisse la transparence voulue. Je retourne au salon m’asseoir pour feindre d’écouter la télévision. Cette fois ci, je m’assois sur le divan qui fait face à la porte balcon. Au travers de ce gilet enduit d’eau, tu peux facilement distinguer la rondeur de mes seins et leurs larges auréoles foncés, qui sont à semi érigés par le froid que procure l’eau et par mon excitation de te les dévoiler ainsi. Bien calée dans le divan, mon petit gilet remonte sur mon ventre, laissant apparaître mon nombril. Mon string déjà translucide à sec, me colle au pubis ainsi humecté d’eau. La seule parcelle de poils ras, en forme de triangle sur mon pubis est nettement voyante.

 

Je feins toujours de visionner la télé. De temps à autre, je bouge pour feindre de trouver une position plus confortable. En bougeant, j’écarte un peu plus les jambes, puis les referme, quelques instants plus tard, juste assez de temps pour que tu puisses apercevoir mon entrejambes et la ficelle qui se perd entre mes fesses. La fois suivante, je bouge afin que le triangle qui recouvre mon pubis, s’introduise un peu à l’extrémité de ma fente. Tu distingues nettement, le début de mes grandes lèvres lisses. Je suis excitée de te laisser entrevoir ces parties intimes de mon corps.

 

Sans avertissement, j’écarte les jambes et enfouie au maximum le devant de mon string entre mes lèvres. Mon index vient flatter mes grandes lèvres tout en les admirant. Je fais ce mouvement longuement. Dring Dring…le téléphone stoppe mes caresses. Je me lève, vais au téléphone, je te fais dos. Mon petit derrière nu à ta vue. C’est une copine à moi, la discussion se prolonge et lorsque je raccroche, tu n’es plus là. Déçue, mais une folle envie de me donner plaisir est toujours là. Au lit, je me caresse et me donne plaisir par mes doigts. Longuement et jouissivement, j’atteins un bon orgasme, puis m’endors.

 

Le lendemain, à mon arrivé à l’appart, je ne me dévêts pas immédiatement : Je me sers une coupe de vin rosé, et vais la déguster au balcon. Tu y es, bière en main. Je porte une jupe et un chemisier. Mon soutien gorge à balconnets relève mes seins et les enserre pour laisser un sillon prolongé de mes seins. Le chemisier assez plongeant laisse voir cette beauté. Ayant presque terminé mon apéro, ta voix retentit :

 

    * Belle journée, n’est pas !

    * Effectivement, très belle journée ! Vous êtes ici par affaires ?

    * Oui, encore pour deux jours, ensuite je retourne de l’autre coté de l’océan.

    * Et bien, bonne fin de séjour dans notre ville.

    * Merci et au plaisir……

 

(au plaisir ??? que voulait-il dire ? )

 

Sur ce, j’entre dans l’appart et vais à la chambre me mettre à l’aise. Toute la journée, je n’ai que pensé à ce moment. L’excitation a été présente en moi, une bonne partie de cette longue et interminable journée. J’enfile un gilet à bretelles rosée et un string de la même couleur. Je vais au salon, prends mes messages, passe à la cuisine me préparer un repas que je déguste au salon devant les nouvelles, la routine quoi !

 

Ensuite, je me cale dans le divan.

 

Tu es là avec tes jumelles.

 

Et bien ce soir, mon cher voyeur tu en auras plein la vue.

 

J’allume la radio, une musique douce et érotique envahi mon salon. Lentement, je glisse ma main sous mon gilet pour me flatter le ventre. Progressivement cette main remonte vers mon sein droit. Je le flatte, le masse. Mon autre main empoigne la bas de mon gilet pour le relever et laisser ce sein à jour avec ma mains qui le caresse. Je retire ma main pour te le laisser voir dans toute sa splendeur. Doucement, je dévoile son jumeau. Mon gilet positionné sur le haut de mes seins, les compresse vers le bas. Beau tableau. Mes deux mains, viennent sur chacun d’eux et les caressent. J’appuie ma tête sur le dossier du divan et savoure ces délicieuses caresses. Le bout de mes doigts font des cercles sur mes mamelons qui s’érigent de plus en plus. J’arrive à les faire rouler entre mes doigts. Je les pinces. Les tires. Hummm…. Je reviens masser mes seins et alterne avec les caresses de tétons.

 

Au bout d’un certain moment, ma main droite aventureuse quitte mon sein et glisse sur mon ventre pour venir s’introduire sous mon string. Je caresse longuement mon pubis et mes grandes lèvres. J’écarte un peu les jambes, puis lentement, mon index s’introduit entre mes lèvres pour en caresser mes plus petites lèvres. Je suis si excitée que la quantité de cyprine est abondante. Humm…. Je vois très bien que tu ma mates, mais aussi que tu as ton sexe en main. WOWWWWW…….cela stimule encore plus mon désir de jouir et que la fougue s’empare de mon corps, moi qui habituellement préfère de longues et langoureuses masturbations. Te voir me mater en te masturbant m’excite tellement que je crois pouvoir jouir sans me toucher.

 

Ma main s’active dans mon sexe mouillé. Je te fixe et ta main coulisse sur ton membre. Ton autre main maintient les jumelles positionnées sur tes yeux. Ma main s’active en moi, mon autre main vient écarter le string de mon pubis pour le diriger vers mon aine. Tu peux maintenant bien voir les doigts dans mon antre mouillé, qui vont et viennent. De mon pouce, je me clitoune.

 

Tu te branles encore plus vite, je ne peux pas te détailler aussi facilement que toi, mais tu m’excites tellement. Mes doigts s’agitent encore plus dans mon sexe, ma tête bascule vers l’arrière, mon corps se raidit et le plaisir m’envahit. Un long et orageux orgasme transperce mon corps. Je le savoure longuement. Puis tempête, terminée, j’ouvre les yeux pour apercevoir le dernier jet de sperme surgir de ton sexe. Tu te termine en beauté.

 

Je me lève, t’envoie un léger un bisou de ma main et glisse le rideau. J’eus beaucoup de difficulté à trouver le sommeil ce soir là. Au petit matin, à mon départ pour le travail, je décide de laisser une petite enveloppe qui t’est destinée à la réception de l’hôtel :

 

‘’ Si vous désirez assister et participer à un autre spectacle, et ce de plus près, sans jumelles, je vous invite ce soir 20h00. Confirmation sur mon e-mail : solxxx@hotmail.com ‘’

 

Dans la matinée, tu me confirmes ta présence.

 

Pendant la journée, je t’envoie quelques messages coquins. Tu m’en envois aussi. Ils deviennent de plus en plus chauds et de plus en plus personnels. Tu as apprécié mes seins et leurs larges auréoles foncés. Encore plus lorsqu’ils sont fripés. J’avoue que moi, je n’ai pas eu cette chance de te voir de plus près et qu’il me tarde de faire connaissance de ton membre masculin. Nous discutons de nos préférences, de ce qui nous fait craquer etc…….

tu m’avoues avoir bandé pendant la journée à chaque instant où tu pensais à cette soirée.

Je te confirme que je saurai être une hôtesse à la hauteur !

 

Je suis très très échauffée, pour cette soirée !

 

J’arrive à la maison, et en attendant ta visite, je prends une bonne douche. Je me poupoune, crème, parfume, remonte mes cheveux en chignon, enfile un body de dentelles string noir, des bas attachés aux jarretelles et des escarpins à talon !

Sur ce, j’enfile une robe noir courte et moulante.

 

Tu sonnes, ponctuel … Tu as un magnifique bouquet dans les bras. Sourires échangés, nous nous faisons la bises, et je file vers la cuisine chercher un vase … je sens ton regard dans mon dos

 

Puis nous passons au salon :

 

    * Donc, vous êtes en voyage d’affaires dans notre ville ?

    * Oui, je termine demain, je m’envole pour la France en fin de journée

    * C’est donc votre dernière soirée dans notre pays

    * Et oui, et en charmante compagnie en plus.

 

Tout en discutant, je suis assise dans le fauteuil et lui sur le divan. La jambe croisée et le bas de ma robe courte remonte un tantinet. Il peut apercevoir le haut de mes bas et deviner qu’ils sont jarretelles.

 

    * Espionnez-vous souvent les gens, comme vous l’avez fait hier soir ?

    * Dès qu’une occasion aussi charmante que celle d’hier soir se présente, je ne peux y résister. Et vous êtes vous souvent exhibitionniste comme hier soir ?

    * Non, en fait, c’était la première fois. Parfois à la plage, mais pas aussi érotiquement.

    * Vous étiez très bandante !

    * Vous transportez toujours vos jumelles avec vous ?

    * Certain, au cas où, en plus lorsque je loge à l’hôtel, s’il y a lieu, je prends une chambre qui à fenêtre sur un autre chambre ou pièce, comme la vôtre.

    * Désirez-vous quelque chose à boire.

    * Avec plaisir.

 

Je me rends à la cuisine en me dandinant le petit derrière.

 

Je reviens au salon, te présente ton verre, bien assis dans le divan et moi debout, ta main vient glisser sous ma jupe, pour confirmer ce que tu doutais.

 

    * Je m’en doutais, aucune couture apparente au travers de ta robe. Un petit string ?

    * En fait, oui un string mais un peu spécial.

    * Spécial, humm…tes fesses sont d’une douceur……

 

Ta main continue de flatter mes fesses…..

 

    * tu es vraiment excitante dans cette tenue !

    * Je suis heureuse de pouvoir t’exciter, bel homme, dis-je en déboutonnant ta chemise.

 

Je retire ta chemise, la retire, abaisse ton pantalon pour découvrir ton boxer bien rempli par ton sexe érigé. Tu te lèves pour retirer entièrement ton pantalon.

 

    * À mon tour de découvrir tes dessous…..

 

Nos regards sont soudés, tu remontes le bas de ma robe et doucement la fait glisser au dessus de ma tête.

 

Tu me fais reculer et nous nous admirons l’un et l’autre. Je pivote sur moi pour te laisser voir mes fesses. Tu fais de même. Quelles paires de fesses tu as. Tu te diriges vers ton sac et en retire un appareil photo :

 

    * oh ! non mon chéri, je ne peux pas !

    * Laisse moi t’immortaliser ! Revenu chez moi, je les dégusterai à plusieurs reprises.

    * À une seule condition, je ne veux pas que mon visage apparaisse sur aucune photo.

    * Promis ma belle.

 

Tu prends une première photo de mon corps ainsi debout devant toi. Tu me demandes de me pencher vers l’avant pour prendre un bon plan de la fente de mes seins enserrés par le haut de mon body. Ainsi compressée, la fente s’allonge.

Tu me demandes de me retourner et prends un cliché de dos. Je me penche et la : clic -  un plan de mes fesses nues. Tu m’indiques d’écarter mes fesses avec mes mains pour voir la ficelle entre mes fesses. Clic. Puis tu me dictes de prendre cette même ficelle et de la diriger sur ma fesse droite pour laisser la vue à la lentille de ma raie et de mon cul nu. clic

 

Tu me demandes de m’asseoir sur le fauteuil, toi à genoux devant moi avec ta caméra. Clic, je pose une jambe sur l’appui bras. Clic, cette jambe sur l’appui bras te laisse voir la ficelle qui de la fin de ma raie continue dans ma fente pour venir s’élargir sur mon pubis. Clic.

 

Je m’empare de la caméra. Tu es debout, sexe semi durcit, bien caché dans ton boxer moulant. Clic. Tu pivotes, belles paires de fesses . Clic.

 

Je te demande de t’asseoir sur le divan. Clic. Je viens sortir la moitié de ta queue de ton boxer sur ton ventre, elle est encore tout entière vêtue. Clic. Je sors une couille sur le coté de ton boxer. Clic. Je me permet de dévêtir juste le tout bout de ton gland. Clic. Le dévêt à demi. Clic et re clic, je ne veux vraiment pas rater cette photo, c’est trop beau. Je te masturbe un peu par dessus ton boxer pour te rendre entièrement bandé. Clic. Je tire ton prépuce pour laisser la totalité de ton gland nu. Clic et re clic. Je te masse un peu encore pour laisser surgir une grosse goutte de liqueur sur le somment de ton méat. Clic re clic et re clic. Je mouille trop beau. J’étale cette goutte pour rendre ton gland entièrement luisant. Clic clic. Oufffff…

 

Mes mains tremblent à cette vue. Je dépose la caméra. Et ma bouche se dirige vers ton gland irrésistible dans cet état. Je dépose mes lèvres serrées sur le tout bout. Tenant mes lèvres légèrement serrées, je fais une succion pour l’introduire graduellement dans ma chaude bouche. Humm. Une fois ton gland dans ma bouche, ma langue valse tout autour lentement, tout en continuant de lui prodiguer une légère succion. Une main masse tes couilles, une dévêtue et l’autre encore cachée. Je te suçote et te caresse la base de ton gland avec ma langue longuement. Puis sans retirer ma bouche de son bonbon, je prends ton boxer sur tes hanches et tu soulèves légèrement le bassin pour que je puisse le retirer et qui se retrouve au niveau de tes genoux. Rendu là, tu fais en sorte avec tes jambes et tes pieds, de le retirer.

 

Te voilà entièrement nu, la base de ta queue et tes couilles libres aux caresses. Je laisse temporairement ton gland, ma langue et ma bouche explore la totalité de ton membre et tes couilles, allant même au périnée et dans ta raie. Revenant à tes couilles, je les enrobe de ma bouche tour à tour pour les sucer doucement. Ma mains enrobe ta queue à sa base et lui procure un très petit va et vient. Tu sembles bien. Tes soupirs me le confirment.

 

C’est tellement bon. Tu goûtes ce qu’il y a de meilleur. Je commence lentement à m’affoler. J’adore ton sexe. Mes lèvres reviennent lentement vers ton gland en bécotant et léchant la longueur de ton membre. Le bout de ma langue vient pénétrer et farfouiller ton méat. Une main te masturbe la base de ta queue et l’autre masse tes couilles. J’insiste encore un peu sur ton méat, puis mes lèvres encore une fois enserrées se posent sur le bout de ton gland pour l’aspirer plus fortement cette fois dans ma bouche, continuant sur ton membre pour qu’il se retrouve entièrement dans ma bouche dévoreuse. Je te suce de longs et lents va et vient. Tu gémis ton appréciation. Je te suce très longuement à ce rythme régulier.

 

Tu t’excites un peu plus, je le sens. Je freine le tout en venant doucement t’embrasser, puis revient t’aspirer la queue plus fortement. Ma cadence augmente un peu. Tu râles. Et m’encourage en paroles. Je te suce encore plus. Tes gémissements sont plus prononcés. Une main te masse le périnée, et ma bouche te suce encore et encore. Ton gland frappe le fond de ma gorge à chaque aller. Ma main quitte ton périnée, et viens à la source de ma chatte pour s’y humidifier. Je te dévore la queue et mes doigts humides cherchent ton petit anneau fripé. Ils le trouvent, le massent un peu, il se distend rapidement pour accueillir mon doigt en lui. À ce moment, ma bouche débute un pompage en règle et mon doigt des va et vient réguliers. Tu grognes ton plaisir, tu m’y encourages. Voilà ma bouche vorace te pompe d’une façon effrénée. Je te sens tout près, ta queue sursaute, je m’applique encore plus. Puis le premier jet atteint le fond de ma gorge, puis un autre et s’en suit les autres. Je t’avale littéralement à ta grande satisfaction.

 

Lentement, la cadence diminue. Je retire lentement mon doigt de ton petit cul. Ma bouche nettoie lentement ta queue, ma langue ne laisse aucune parcelle pas nettoyé, même le repli de ton prépuce où j’insiste un peu plus longuement.

 

Je me relève et viens me blottir dans tes bras. Nous restons ainsi un bon moment. J’admire ton sexe revenir à son état de repos. C’est magnifique le corps humain et tellement génial à regarder ces phases.

 

    * Tu m’as sucé comme une diablesse !

    * J’adore ta queue, mon chéri !

    * Et moi je t’adore tout simplement !

 

Nous nous embrassons longuement.

 

    * Tu veux quelque chose à boire !

    * Avec plaisir !

 

Sur ce, je me lève et te fais un clin d’œil. je te regarde un peu, bien calé dans le divan, couilles reposantes sur le coussin du divan, queue amollie sur ta cuisse, humm.. je saisis la caméra. Clic. Je te fais un bisou et me dirige à la cuisine, toujours vêtue de mon body, bas et escarpin. En chemin, je mes dandine les fesses nues à ta vue. Je fais un écart vers la chambre pour te préparer une petite surprise…..

 

Je reviens au salon et t’offre ton verre. Je bois une gorgé du mien et le dépose sur la table. Tu as la caméra en main. Je sais très bien ce que tu veux. Debout devant toi, j’abaisse ma bretelles droite sur mon bras. Clic. Je la retire. Je fais le même manège avec ma bretelle gauche. Clic. Je descends le haut du body sur le tout haut de mes seins. Clic. Puis un peu plus, laissant apparaître le tout haut de mes mamelons. Clic. Dévoile la moitié de ceux-ci. Clic. Puis les voici, heureux d’être photographier, bien excités. Clic. Un peu plus de seins. Clic. Puis les voilà en entier. Clic.

 

Je lèvre les bras au dessus de ma tête, positionnant mes mains derrière ma tête pour gonfler le torse et te les offrir dans leur splendeur. Clic, clic. je me penche vers l’avant pour les laisser pendre dans le vide. Clic. Je les enserre ainsi pendant. Clic. Je les sépare. Clic. Mes pouces et index pincent mes tétons. Clic. Toujours pendant dans le vide, je tire mes tétons vers le bas. Clic. Je tire un peu plus, ce qui difforme mes seins pendant. Clic.

 

Je reviens en position debout. Clic. Mes tétons sont encore plus bandés. Clic. Je me mets de coté. Clic. De l’autre coté. Clic. Je reviens face à toi et abaisse mon body sur mon ventre laissant apparaître mon nombril. Clic. Je retire mes escarpins. Clic. Mes mains viennent détacher mes bas. Clic. Je roule le bas droit sur ma cuisse. Clic. Puis l’autre. clic. Je les retire. Clic. Je te tourne le dos et te laisse voir le mi dos, fesses et derrières des cuisses nus. Clic.

 

Je reviens face à toi. J’abaisse encore un peu le body à la naissance du pubis. Clic. Puis encore un peu pour entrevoir la base de mon triangle poilu. Clic. Encore plus, voici mon joli petit triangle et à limite de ma fente. Clic. Un peu plus, demie grandes lèvres apparentes. Clic. Puis voilà, je laisse choir le body à mes pieds. Clic. Clic. Clic.

 

Je remarque que ta queue a repris un peu de volume. Je présente mon corps à la caméra, mais tout en restant soft. Clic. Clic. Clic. Debout devant toi, j’écarte un peu les jambes, laissant la vue de mes petites lèvres curieuses, dépassant de mes grandes. Clic. Tu peux maintenant apercevoir la surprise que je voulais te faire. Une ficelle blanche pend entre mes jambes. Clic. clic .

 

De derrière, je te présente ma croupe. Clic. Mon étoile. Clic. Me penche encore un peu, mon sexe à demi ouvert et mes petites lèvres bien apparentes et luisante par mon excitation de poser pour toi et toujours cette ficelle qui sort de mon vagin Clic. Clic. Je dandine un peu mes fesses pour faire mouvoir les boules en moi. C’est le silence total, donc tu peux entendre un son sourd de mes boules qui se frappent en moi. Re-debout devant toi, je bouge mon bassin plus fortement pour vraiment faire frapper un peu plus fort ces boules qui me donne un certain plaisir. Clic.

 

Je vais m’asseoir sur le fauteuil et pose une jambe sur l’appui bras, ce qui a pour effet d’écarter un peu mes lèvres. Clic. La ficelle repose sur le banc du fauteuil. Clic. Mon index et majeur en V viennent écarter légèrement le haut de ma fente pour laisser surgir mon clito. Clic. Il est bien ainsi sorti de sa cachette, sa couleur rosé luisante lui donne du charme. Clic. Je pose l’index de mon autre main dessus et le masse doucement. Clic. Je soupire. Clic. Je laisse mon clito pour l’instant. Mes index et majeurs de chaque mains viennent se poser sur mes grandes lèvres et graduellement les écarte. Clic. Clic. Encore un peu. Clic. La caméra peut maintenant bien capter mon sexe béant ouvert et luisant de cyprine. Clic.

 

Cette ficelle. Clic. Mes pouces et index empoignent mes petites lèvres et les font glisser entre ceux ci. Clic. J’étire mes petites lèvres vers l’avant. clic. J’étire encore. Clic. Puis toujours en les tenant bien tendu, je les écarte vers l’extérieur. clic. Tu peux très bien distinguer l’entrée de mon vagin d’ou cette ficelle cache quelques chose. Clic. Re clic.

 

Mes doigts viennent prendre cette ficelle blanche et la tirer un peu. Clic. Un peu plus. Clic. On peut apercevoir le sommet de la première boule. Clic. Elle est marbrée de bleu et de blanc. Clic. (pour la beauté des photos, j’ai enfilé mes plus grosses boules ) Je tire un peu. Clic. Mon vagin s’élargit. clic. La moitié de la boule est apparente. Clic. Vagin distendu et demi boule luisante. Clic. J’enlève mes doigts de la ficelle pour laisser encore mieux voir. Clic. Ainsi positionné, je fais sortir la boule sans tirer sur la ficelle, juste une contraction de mes muscles vaginaux font surgir l’autre moitié de la boule qui vient pendre au bout de la ficelle qui la relie à sa jumelle encore en moi. Clic. Clic.

 

Pour le besoin d’une photo, je me lève debout, fléchi un peu les genoux, écarte les jambes. Ainsi, une boule dans le vide entre mes jambes, retenue par une ficelle qui sort de mon vagin. Clic.

 

Je retourne m’asseoir, pose les deux jambes sur les appuis bras, écarte mon sexe et saisis la ficelle pour faire surgir tout aussi lentement que la première, la deuxième boule. Clic. Clic. Clic. Les deux boules sortis, mon vagin légèrement ouvert et trempé. Clic.

 

Afin de te rappeler que tu as toi même vécu cette séance de photos, tu t’approches de moi. Caméra à la main droite, ta main gauche vient se poser sur mon pubis. Clic. Tu flattes mes lèvres lisses. Clic. Tu caresses le débordement de mes petites lèvres qui sont très luisantes. Clic. Afin de te faciliter la tâche, car ta main droit n’est pas disponible, j’écarte mes lèvres. Clic. Ton index caresse mon clito. Clic. Descend dans ma fente ruisselante. Clic. Tu t’amuses avec mes petites lèvres. Clic.

 

Ton index se positionne à l’entrée de mon vagin. Clic. Il y entre doucement. Clic. Clic. Clic. En ressort maculé de ma mouille. Clic. Clic. Tu y prends goût et y retourne. Clic. Tu fais des ronds avec celui ci à l’intérieur. hummm…je soupire. Tu lèves les yeux, je me masse les seins. Clic. Me triture les tétons. Clic.

 

Tu reviens à ta main. Tu m’enfiles ton index en ajoutant ton majeur. Clic. Tu les ressors. Clic. Tu les entres et sorts plus rapidement. Clic. Tu tentes un troisième doigts … hummm.. Clic. Je gémis. L’index de ma main gauche vient dans l’objectif de la caméra, pour me clitouner. Clic. Clic. Clic. Tes doigts ressortent et viennent enduire mes grandes lèvres douces de mouille. Clic. Tu les enduis encore et encore. Elles sont parfaitement mouillées et brillantes. Clic. Tu me fais écarter encore plus. Tu dirige mon bassin à la limite du siège du fauteuil. Écartelée ainsi, tout est accessible. Tu caresses ma raie avec de mon jus. Clic. Tu humectes maintenant mon anneau fripé. Clic. Il frissonne sous tes doigts. Clic.

 

Quelle position et état impudiques. Largement écarté, grandes lèvres brillantes, vulve trempée, raie et étoile bien dorés. Clic. Ton index se place en position sur mon anus. Clic. Le tout bout y entre. Clic. Un peu plus. Clic. Tu fais des ronds pour distendre encore plus. Clic. Tu y entre ton doigt en entier. Clic. Je gémis de plaisir. Tu me pistonnes un peu plus. Clic.

 

Je suis dans une excitation extrême, sous tes caresses et tes clics de caméra. Tu assouplies encore plus mon petit trou Clic. Une main avec la caméra et l’autre un doigt fiché dans mon petit trou que tu pistonnes et qui me donne de bonnes sensations. Ma main droite descend vers ma vulve en feu. Mes doigts s’agitent en elle, en alternant sur mon clito si réceptif. Clic clic. Mon autre main malmène mes seins et mes tétons. Lentement, mais sûrement, cette double pénétration doigtale me mène au sommet d’un long orgasme.

 

Clic. Clic. Je récupère lentement de ce plaisir. Clic clic.

 

    * C’était si bon !

    * Tu es si belle lorsque tu jouis !

    * La jouissance est un plaisir indescriptible, dont je ne peux me passer !

 

La soirée ne fait que commencer……

Par Libertins49 & Solange, sa Muse - Publié dans : Echanges libertins
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