J'avais téléphoné à une certaine grande enseigne connue pour ses dépannages rapides. Il faut dire que je n’avais pas le choix. F était
en déplacement, et la machine semblait avoir rendu l’âme. Nos schtroumpfs ne nous permettent pas de vivre sans, et il fallait vite une solution.
Effectivement, il arriva vite : enseigne appelée le matin, l’intervention eu lieu en fin de journée, et le dépanneur arriva vers 18
h. Je n’y croyais plus, et était en train de bronzer sur la terrasse. Fort heureusement, j’avais une petite robe légère à portée de main, et je doute qu’il ai vu quelque chose à son arrivée
… si ce n’est ce que suggérais le léger bout d’étoffe !
Quand je passais devant lui pour lui montrer le chemin, j’eu l’impression qu’il me déshabillait, que ses yeux voyaient au travers de la
mince étoffe. Il faut dire que je n’avais pas de SG (ce qui devait compte-tenu de ma poitrine opulente, se remarquer), et un seul string de dentelle blanc, en fine dentelle. Je me rappelais que F
m’avait déjà dit que cette robe était, selon la lumière, et en particulier en contrejour, parfois comme transparente. Je le vis se mettre au travail : la quarantaine, plutôt beau gosse, un
sourire ravageur, des petites rides aux coins des yeux… plutôt pas mal.
Après avoir examiné la machine, il me dit :
C'est la platine électronique qui est cassé, il faut la commander ! Si vous en êtes d’accord, vous versez un acompte, je la
commande, et on devrait l’avoir dans trois jours
Cela vaut cher ?
Attendez, je regarde. Il fourragea dans son classeur. Je n’y pris pas garde dans l’instant, mais réalisait après que ce
faisant, ses yeux allaient alternativement de moi à ses documents.
La pièce plus la main d'œuvre, il devrait y en avoir pour 500€ à 600€ !
Pu…! Je sentis le juron m’échapper, mais le refrénait. Tant que ça ! Vous permettez que j’appelle mon
mari.
Oui, bien sûr.
Il ne répondit pas, et je me surpris à le maudire; A l’ère des portables, on ne s’habitue plus à ne plus joindre quelqu’un dans la
mn ! Je lui laissais un message, et invitais l’homme à entrer dans la cuisine, lui expliquant que je lui offrais un verre, en espérant que mon mari rappellerait entretemps.
Il était charmant, et d’un regard fit le tour de la cuisine.
C’est joli chez vous !
Merci
C’est chaud ! et puis ce mur rouge, c’est … comment !
Oui, comment ?
Ben, je sais pas … je ne trouve pas le mot … c’est chaud quoi !
Je me trompais pas sur le mec … en fait, c’est lui qui était bouillant, mais avouons le, aucune femme ne résiste devant le plaisir
constaté à plaire … j’étais dans cette situation !
Il termina le Ricard qu’il m’avait demandé, tandis que j’avais cédé à un reste de Coteaux de l’Aubance pour trinquer avec lui.
Et F qui ne rappelais pas …
Bon, et maintenant. C’est pas que je m’ennuie … laissa t’il planer avec un sourire enjôleur ... mais qu’est ce qu’on
fait ? Vous nous rappelez ?
J’étais au pied du mur. Il fallait décider. 500 à 600 € mais une réparation rapide, ou bien attendre mais la lessive allait
s’accumuler !
Ca m’embête d’engager une somme pareille, sans avoir l’avis de mon mari !
Oh, vous savez, il n’y pourra rien, il faut changer la platine, ça c’est sûr.
Oui, mais … on pourrait peut être changer la machine, celle-ci commence à être vieille.
Vous savez, c’est une S… Elle devrait encore vous faire quelques années ! Mais c’est vous qui voyez !
Je suis embêtée !
Je sentais toujours son regard me transpercer, et c’est alors qu’il se jeta à l’eau, comme dans les romans.
Après m'avoir dévisagé des pieds à la tête (je me demandais vraiment ce qui lui arrivait), il me lança tout de go !
Il y a peut être moyen de trouver un arrangement, je peux vous faire la réparation pour … disons 100€ !
Le salaud ! Ceci dit, il n’était pas mal, mon mari absent pour plusieurs jours, les enfants en haut, obnubilés par DVD et PC
Et ben, voilà une proposition directe ! lui fis-je, laissant comprendre que j’avais bien saisi son allusion.
Ne le prenez pas mal, Madame, mais vous êtes charmante et si vous êtes gentille…
Bon d'accord de toute façon je n'ai pas envie d'engager 500€ si vite, et il me faut pourtant la faire réparer. Mais soyez
discrets, mes enfants sont à l’étage. Que dois-je faire ?
Il s'appuya contre le lavabo et là, se métamorphosa …il ouvrit sa combinaison de travail et me lança !
Alors, vient me sucer, pour commencer, ensuite je te baiserai et t'enculerai ! Tu dois aimer ça non !?
Je n’en revenais pas … ce mec qui me plaisait un instant avant, et avec qui je n’aurais pas dit non, me traitais maintenant comme la
dernière des putes.
Je marquais un temps d’arrêt … j’étais à deux doigts de lui tourner un gifle magistrale, mais très vite une idée germa dans mon esprit,
et fierté aidant, je décidais d’aller de l’avant avec ce rustre !
Je voulais lui sortir le grand jeu ! Je m'approchais de lui et passant ma main dans son slip, j’en extirpais la queue du boxer; Je
commençais par des rapides va et vient. Mais très vite, il me prit la tête et chercha à la forcer vers son ventre. Désireuse de lui montrer qu’il ne pourrait pas faire de moi
tout ce qu’il entendait, et toute à mon petit subterfuge, je me dégageais et le tirant par le sexe, je le ramenais vers la lingerie, où se trouvais la machine défectueuse.
On sera mieux ici. Moins de risque d’être dérangé.
Ouais … je vais te prendre sur la machine, tu vas adorer !
Attend moi là, je vais passer quelque chose de plus sexy ! mais ne débande pas, hein ! Le mec
semblait ne pas en revenir
Après avoir enfilé des bas, un soutien gorge redresse-sein, et un string, et pris quelque chose qui était en fait la raison de mon
escapade, je revins dans la lingerie. Il était là, en train de se masturber lentement pour maintenir son érection. Un beau gland sortait de sa paume refermée.
Je restais bras croisés dans le dos, faisant ressortir ma poitrine, dans l’encoignure de la porte.
Alors ? J’te plais comme ça ?
Ouais ! Joli p’tit lot ! Allez vient me faire une bonne pipe ! Après je t'enfilerai ma bite dans la chatte.
Je n’en revenais pas de la différence entre ce beau mec, son langage châtié dans sa posture professionnelle, et son langage si cru alors
qu’il ne me connaissait à peine !
J’'avais bien envie de faire ce qu'il proposait, mais à ma façon. Je lui demandais de sortir sa bite complètement de son boxer, mais de
garder son bleu, lui disant que cela m’excitait.
Ah, il n’avait pas débandé, et ainsi exhibait fièrement un sexe ma foi de fort belle taille, dans sa tenue siglée, devant ma machine à
laver !
Clic, Clac … J’avais sorti un appareil à photo jetable que j'avais caché dans mon dos et je le prenais en photo debout contre la
machine, le sexe décalotté à l'air.
Eh, mais qu'est ce que tu fais ? s’exclama-t-il surpris !
Ben, tu vois, je te prends en photo, et j'en enverrai une à ton patron et même peut être à ta femme si tu es
marié !
Oh putain, Oh la salope … oh putain … oh …
Il ne savait que dire d’autre, et puis se fit menaçant … mais avant qu’il ne bouge vraiment, je lui dis !
Rappelle toi, j’ai trois enfants là haut, je peux crier !
Oh putain, Oh la garce … tu ne peux pas faire ça ! Oh putain, mais je vais la réparer ta machine ... et même
gratuitement si tu veux ! dit-il tout penaud.
Le macho viril était pris à son propre piège, mais j’avais envie de m’amuser
On verra ça plus tard pour l'instant déshabille toi !
Mais ?!.....
Tais toi et dépêche toi avant que je ne perde patience et change d'avis. Si tu es gentil, tu repartiras avec
l’appareil et sa pellicule ! Allez, à poil !
Il s'exécute et quand il fut nu comme un ver, les mains maintenant pudiquement croisées sur son sexe, je lui ordonne :
Retourne toi, et met tes mains dans le dos !
Je m'approche et lui saisissant les poignets, je lui lie avec un bas dont je me suis saisi dans la lingerie puis, le retournant, je lui
saisis sa verge que je branle doucement, je lui décalotte le gland et le recouvre. Ce mec est bien monté ! Mais sa verge sens fort, une journée de labeur et peut être plus … aussi, d'une
tape sur les fesses, je lui dis :
Allez hop ! Dans la baignoire que je te lave !
Quoi ?
Tu ne voulais tout de même pas que je suce un sexe qui sent la transpiration ! Rappelles toi, sois discret, on n’est pas
seuls !
Il me précède, je lui indique le chemin … Il ne brille pas, et son excitation l’a quitté.
Une fois dans la baignoire, je lui arrose le sexe avec la douchette en insistant sur son gland, prend du gel et l’en enduit en une
caresse douce. Il regrossit à vue d'œil, et mon traitement lui tire des soupirs de plaisir. Lui qui avait de la gueule tout à l’heure, ne dit plus un mot
Tu aimes ça, hein ?
Oh Oui !!! … soupire t’il les yeux perdus en l’air
Je lui frotte bien les couilles et la verge avec du gel, lui fais signe de se retourner et lui administre le même traitement sur les
fesses … mon lavage se fait coquin, voire inquisiteur et un doigt vient se glisser dans le premier pli de son anus ! Il retourne la tête d‘un air étonné, mais manifestement, ne montre aucune
opposition.
Propre ! je te veux propre, brillant, … oK ?
Puis, je le rince avec le jet réglé au maximum et à nouveau des soupirs sortent de ses lèvres entrouvertes.
Ca fait du bien hein ! Bon, allez ! Ca suffit, sort de là !
Je le sèche avec une serviette en prenant soin de laisser son gland décalotté, puis je me penche et lui embrasse le gland :
Voilà c'est tout propre maintenant !
Je fais quelques aller retour, en m’appliquant à le sucer goulument … j’essaie de le prendre le plus loin en bouche, et m’escrime à être
la plus coquine possible, en plongeant parfois mon regard dans ses yeux … il accompagne mes mouvements de ses mains posés sur ma tête … J’ai le bas ventre qui me chatouille, je sens mon sexe en
feu … j’ai envie du même traitement :
Bon, à moi maintenant ! met toi à genoux !
Je prends sa place contre le lavabo et écartant les cuisses, je lui saisis ses cheveux et lui plaque sa bouche sur mon
sexe :
Lèche-moi !
Il ne se fait pas prier. Je sens sa langue aller et venir sur mes lèvres en essayant de s'introduire entre elles pour titiller mon
clitoris. Il n’est pas maladroit. De ses mains, il me malaxe les fesses … dommage qu’il ne soit pas plus entreprenant !
Après de longues minutes de ce petit jeu, pendant lequel j’ai alterné entre montées de plaisir et la réflexion sur la suite à donner, je
vais chercher une chaise dans la cuisine et la pose au milieu de la salle de bain. Je ferme la porte à clé (on ne sait jamais …)
Je le fais se retourner sur le lavabo, et se pencher en avant , les mains posées sur la vasque, en lui demandant d’écarter les jambes.
J’ouvre un tiroir, et me saisit du gel lubrifiant. J’en mets une noix sur deux doigts, et entreprend de lui masser l’anus … Loin de protester, il se laisse faire sans un mot, et bien vite, je
peux introduire un doigt à l'intérieur, puis deux. D’un doigt profond, je sens la boule de sa prostate … de l’autre main passée entre ses cuisses, je peux sentir à la vigueur de son érection que
le Monsieur réagit plutôt bien !!
Dans le même tiroir, je me saisi d’un plug, enduit son extrémité de gel et lui pose sur l’étoile. Il frémit, et me demande, sans se
retourner :
Qu’est ce que c’est ? Qu’est ce que tu fais ?
Laisse toi faire … tu vas aimer
Je lui enfonce la pyramide faite d’anneaux successifs entre les fesses, en le faisant aller et venir doucement afin de le faire pénétrer
de plus en plus ; Le coquin, il n’a aucune peine à l’engloutir jusqu’à la corolle qui le termine
Alors !? Tu disais que tu voulais m'enculer ! Et bien c'est moi qui te sodomise !
Maintenant qu’il a le plug bien au fond, je l’invite à se redresser et à se retourner, et lui montre la chaise. Je lui fais signe
d’aller s’y asseoir :
Comme ça ?
Ben oui, comme ça. Ne t’inquiète pas !
Il s’assied doucement, comme s’il venait s’asseoir sur un tapis de clous ! Au fur et à mesure où il pose tout son poids, j’imagine
le plug venir se caler encore plus profondément en lui … une légère grimace témoigne du moment où il s’assied complètement :
Ça va ?
Oui … c’est bizarre, mais ça va !
Je me penche et lui suce le sexe pour lui donner une érection maximum, puis je viens l’enjamber. A mon tour, je m'assoie délicatement
sur son sexe en érection. Il bande bien et c’est un vrai plaisir que de descendre sur cette belle bite. De nouveau, je lui vois ce petit rictus quand je termine ma descente et pose mes 58 kg en
plus des siens sur le haut de ses cuisses !
Je commence alors des va et viens, de plus en plus rapides, pour faire monter mon plaisir.
J’imagine le sien, avec une mère de famille qui vient se faire jouir ainsi (mieux que dans ses rêves, non ? !) tandis qu’il
repose sur un plug qui lui écarte le cul !
Il ne dit toujours rien … Je penche pour un timide plein de fantasmes … tout à l’heure, il s’est lâché, tentant son va tout, mais
oubliant d’y mettre les formes … maintenant, l’homme pseudo autoritaire et dominateur qui me promettait un enfer de sexe (qui est alors, souvent, le paradis !!) est comme un jeune puceau,
sans voix.
Tu voulais me baiser hein ? Eh bien, c'est moi qui te baise !
J’accélère en m’enfonçant plus profondément sur son sexe jusqu'au moment ou je sens la jouissance m’envahir ; je
crie mon plaisir, mais au même moment, je sens son sexe se tendre … oh mer… ! il vient lui aussi ! Les capotes ! Mais c’est déjà trop tard, je sens ses soubresauts :
il éjacule en moi projetant son sperme dans ma chatte.
Espèce de salaud ! Tu ne pouvais pas te retenir !
Je me relève brutalement, et l’idée me vient de continuer ce petit jeu pervers (mon mari m’a avoué qu’il adorerait mais nous n’avons
jamais encore pratiqué !)
Je le fais s’allonger, et viens l’enjamber. Il doit avoir une vue superbe sur mon entrejambe … je m’accroupis, dedevant un parfait
inconnu !) et écarte mes lèvres. Je les sens gonflées, mais aussi crémeuses de mon plaisir et de sa semence. Je la sens d’ailleurs commencer à glisser sur une de mes cuisses.
manière très impudique (qui aurait pensé que je puisse ainsi m’exhiber
Je m’assied lentement sur son visage, en lui écrasant doucement le nez et la bouche avec mon sexe.
Nettoie-moi ! Reprend ton sperme ! Goute-le !
Une fois encore, pas un mot d’objection. Le coquin semble aimer cette séance de soumission soft …
C’est une nouveauté pour moi, pour lui aussi peut être. J’avoue que j’aime bien !
Je sens sa langue aller et venir au plus profond de ma chatte. Je l’aide en contractant les parois de mon vagin pour expulser son
sperme.
Le coquin me fais jouir une nouvelle fois, de sa langue agile qui me fouille, tandis que je me masturbe d’une main … tandis que je
jouis, je l’entends râler … Toute à ma jouissance, j’ai du me relâcher sur lui, et je l’étouffe !
Je me relève, me retourne et lui prenant son sexe dans la bouche, je lui fais une longue pipe jusqu'à sa jouissance. Je prends un vrai
plaisir à avaler son sperme au gout un peu âpre et salé.
Je me lève et le laisse seul dans la salle de bain. Je lui rapporte son vêtement de travail et ses sous vêtements.
Il me rejoint dans la cuisine. C’est à ce moment que notre grand descend …
Nous sommes en train de boire un café.
Il nous regarde bizarrement …
Qu’est-ce qu’il y a ?
J’sais pas … vous avez l’air crevés, en sueur … et puis toi, Maman t’es toute échevelée ! Et Papa, c’est quoi ces
fringues !?
Non, non, ça va …
lui …
Ces fringues, eh ben …c’est une tenue de travail !
Et le gamin, tournant les talons … Qu’est-ce qu’on mange ce soir ?
Et voilà ! Comme vous l’avez compris, tout ceci était un jeu entre adultes consentants ! Fantasme à assouvir, ou réalité vécue ???
selon vous ?
En tout cas, ce recit nous a été inspiré par un melange entre situation vecue, fantasme et recit d'un internaute qui a servi de revelateur ...
Nous servant de sa trame, nous l'avons toutefois fondamentalement remanié ...
En espérant que ceci vous plaise ...
Il n’en reste pas moins que notre machine est en panne, et que le réparateur est venu, a emmené la notre, et nous en laissant une en prêt …
Vraiment bien, cette enseigne !
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