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Bonjour ! Vous êtes nombreux, coquins et coquines a être venus vous encanailler ici ! On espère que celà vous plait. Enthousiastes ou décus, dites le nous ! Un comm' ne prend que quelques secondes, mais c'est notre carburant et le moyen de s'améliorer. Biz

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Bonjour et bienvenue sur ce blog, créé voilà déjà quelques temps par un coquin angevin … Agréablement mariés, parents, très amoureux, nous formons un couple équilibré (du moins le croyons nous !) ... gourmand, et curieux !

A l'aube de la quarantaine, doués d'humour, d'un corps encore svelte pour votre serviteur (1m75, 70kgs, ni Bruce Willis (n'en déplaise à ses admiratrices lol !) ni Quasimodo), d'une belle plastique avec légères rondeurs charmantes (95C, 40 avec fesses délicieuses (!), 1m65, 60kgs) pour sa charmante épouse, nous sommes là pour faire de belles rencontres, de celles qui ouvrent de nouveaux horizons, font briller les yeux et rougir la pensée.

Epicuriens, et désireux de pimenter notre vie de couple et de parcourir de nouveaux chemins, ensemble mais aussi parfois séparément afin de se plier aux désirs et limites (évolutives …)  de l'un et de l'autre, nous n'en sommes pas moins très pris, par nos travails respectifs et par notre vie de famille.

Moins cérébrale que ne l'est le rédacteur, nous prenons garde à ne pas entrainer Libertine49 vers ce qu'elle pourrait regretter ... aussi, nous prenons le temps ... Nous avons parfois fait fausse route, heureusement sans conséquence … mais pas toujours ... :), aussi nous poursuivons cette quête des plaisirs …

Lui est très cérébral, altruiste, aimant lingerie et ambiance érotisée et sensuelle, poses lascives et tentantes … beaux textes suggestifs, photos évocatrices (des plus softs aux plus …X ! seul importe ce qu’il en ressort).

Rien de plus agréable qu’un beau couple complice qui habilement joue de son charme, d’une dame qui fait pétiller ses yeux, habille ses jambes de bas, ses pieds de chaussures d'inspiration italienne, ... Ainsi, vous nous séduisez  ... nous essaierons alors d'en faire autant ... Mais, nous ne sommes pas reservés aux couples ... que les femmes qui aiment ce blog se manifestent, tout comme les hommes … dont certains peuvent tenter leur chance à condition de savoir nous séduire … 

A bientôt de vous lire, et de vous découvrir ...

Bisous coquins et libertins d'Angers !

 


PS : si vous habitez une autre région, et si vous êtes sous le charme (lol!), manifestez vous ... nous voyageons beaucoup et régulièrement ...


Si les personnes possédant les copyrights sur les photos ou les textes ne souhaitent pas les voir figurer dans ce site, qu'elles nous préviennent, nous les retirerons.
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Lundi 18 août 1 18 /08 /Août 11:50
Une belle femme, une fragance envoutante, un esprit qui divague ... rève qui devient realité par le fait de ''designer'' inspirés et de coquins qui le sont tout autant ...


Bravo !

On ne saurait citer l'auteur, mais qu'il en soit ici remercié.

BisouX
Par Libertins49 - Publié dans : Echanges libertins
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Samedi 16 août 6 16 /08 /Août 11:20
Bel exercice que celui des natures mortes ...


Nous avons en memoire, et dans notre bibliothèque, le magnifique livre qu'est VINS, METS ET ALCOOLS DES PAYS DE LA LOIRE, écrit et illustré par deux passionnés de notre belle région : JM Monnier, Oenologue et Patrick Joly, talentueux photographe ...
Vous en decouvrirez de merveilleuses, qui mettent en valeur les vins de Loire, et les mets associés.




Nous livrons un extrait du site sur lequel vous pourrez, entre autres, vous le procurer eventuellement.

Sans plaisir de vivre il n'y a pas de santé durable. Le vin est un élément indéniable de notre culture.
Derrière chaque vin, il y a un paysage, un terroir, une tradition, un homme fier de son métier. Quant au produit lui-même, il atteint parfois le niveau d'une œuvre d'art pouvant susciter la passion. C'est cette passion qu'un œnologue, Jean-Michel Monnier, et un photographe, Patrick Joly, ont voulu faire partager au travers d'une « Galerie de portraits œnologiques des grands vins des Pays de la Loire » originale et unique en son genre. Chaque appellation du vignoble est décrite, analysée, imagée et immortalisée visuellement par son empreinte olfacto-gustative : « Le portrait œnologique »

ED : SILOE, 25 x 29 cm, 270 pages, relié



Mais plus près de l'esprit de ce blog, nous voulions vous faire decouvrir celles du photographe russe, Eugene Vardanyan ...





et pour ceux qui jouent au billard (et on envisage serieusement de s'y remettre !) ...



Bon, oK on est un peu hors sujet ! Ce n'est pas vraiment une nature morte ... mais c'est toujours de Eugene Vardanyan


Elles sont belles non ?

Les photos ...

BisouX



 
E
lles sont belles, non ?
Par Libertins49
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Jeudi 14 août 4 14 /08 /Août 10:51
Un très beau recit, que nous voudrions notre, mais qui a été redigé à lautomne 2006 par un talentueux auteur repondant au pseudo ''Wonderfull Time" ... tout un programme !

Il y a longtemps que nous voulions vous faire partager ce superbe moment d'érotisme et d'Amour dans lequel nous nous retrouvons à merveille.


Je coupe le contact. « Somewhere I belong » des Linkin Park s’arrête. Jusqu’à présent, tu chantonnais avec eux pour prendre un air dégagé et ne pas révéler ta nervosité. Le parking est rempli de voitures, pourtant il est désert. Les néons brillent dans la nuit.

Prête ?


Oui, réponds-tu après une légère inspiration que tu veux discrète.

Je te souris, je sens bien l’angoisse dans tes yeux. Je te caresse la cuisse et je me penche pour t’embrasser. Tu attrapes mon cou de la main droite et tes lèvres se plaquent contre les miennes. Ta langue parcourt la mienne très vite, ton souffle s’accélère. Ton baiser est passionné, digne d’un adieu. Tu te pends toujours à mon cou. Nous nous séparons et tu me gratifies d’un sourire inquiet.

J’ouvre la portière, un léger souffle frais s’engouffre dans la voiture surchauffée. Je ferme la voiture à clef et je me précipite vers toi, pour te prendre par la taille et te serrer contre moi.

 

Nous arrivons devant la porte, sombre, petit judas et œilleton derrière une grille. Je sonne. La grande porte sombre s’ouvre. Un colosse nous gratifie d’un grand sourire et nous salue d’un geste de tête. C’est toi qui réponds, immediatement..

Bonsoir ! Je sens que ta voix trahit encore l’anxiété.


Bonsoir Messieurs Dames ! Si vous vulez bien, c’est par ici… nous indique l’homme.

Nous nous approchons de la seconde porte, la poussons. La musique nous frappe de plein fouet. La lumière, les sons, les couleurs, tout contraste avec l‘extérieur. Ton regard détaille la salle devant nous et finit dans le mien. Un sourire naît doucement sur ton visage parfaitement maquillé.

On y va ?

Ton sourire s’élargit et tu me réponds avec un hochement de tête timide. Nous sommes devant le vestiaire ou officie une magnifique brune qui ne semble avoir froid ni aux yeux ni au reste !

Donne-moi ton manteau.

Doucement je t’aide à retirer ton manteau, et vais le tendre, avec ma veste à la belle jeune femme.

Déjà, je sens que des regards guettent ce moment et nous scrutent. Ta robe très courte, apparaît aux yeux dede et fière. Je te scrute. tous. Je suis ravi. Je me retourne pour t’observer. Tu es très droite, gran

Tes talons donnent un galbe incroyable à tes jambes fuselées délicieusement recouvertes de bas noirs et fins. Ta robe noire au dos nu est un rêve pour moi.

Tu t’affiches en public pour la première fois avec. Nouée autour du cou, elle laisse apparaître une grande partie de ton dos cambré, de tes épaules cuivrées dont je raffole. Elle se finit très haut sur tes cuisses, presque à la limite de tes bas.

Je continue à t’observer. Tu donnes l’air si sûre de toi, si imperturbable.

J’admire ta force car je sais que tu n’es pas loin de la panique. Je reviens vers toi par derrière, pose mes mains sur tes épaules. Doucement, tu tournes ta tête, cherchant un baiser que je te donne avec bonheur.

Viens

Je t’indique le bar et nous traversons les tables basses presque toutes remplies par des couples. Des regards lourds se posent sur toi sur ton passage. Je vois bien les têtes se retourner. Toi, toujours aussi droite tu avances, fière, presque froide, semblant les ignorer. Je t’admire, comme toujours tu me prouves ce que ta volonté peut faire. Je t’indique un tabouret haut sur lequel tu glisses en un seul mouvement lent et sensuel. Je m’installe à tes côtés. Je lance à la serveuse qui s‘approche :

Deux coupes de champagne, s’il vous plait.

Nos regards se promènent dans la salle. Des tables basses entourées de poufs et petits fauteuils moelleux aux couleurs criardes. Les murs blancs alternent entre le marbre et les tentures.

Sur le côté une piste de danse sur laquelle personne n’ose s’aventurer. Les estrades sont vides, la cabine du DJ aussi.

Au bout d’un moment, mes yeux s’accoutumant aux spots et à la pénombre qui règne derrière, je remarque des cages en hauteur.

Tout autour de la piste, les murs sont couverts de miroirs. Sur le côté, un escalier en colimaçon permet dedescendre.

Les coupes de champagne nous sont servies. Je te tends la tienne puis je saisis la mienne. Nos regards se croisent pendant que nous approchons nos verres.

Je t’aime

Ton sourire revient au moment où nos verres se rencontrent. Tes yeux sont toujours ancrés dans les miens. Je suis si bien. Je profite de ces instants de bonheurs, ces instants où nous nous retrouvons.

Çà va ?


Oui


N’oublie pas, rien n’est obligatoire ici, la seule chose qui compte c’est nous… c’est toi !


Je sais
, me réponds-tu

Sur le côté je m’aperçois qu’un couple nous observe. Elle est brune, cheveux longs, pas maquillée.

Elle porte une robe noire proche de la tienne, peut-être un peu plus longue, avec des bottes. Sa peau est bronzée, son sourire timide et ses yeux très noirs.

Lui est châtain, cheveux plus longs que les miens, coiffés en mèches dressées par du gel. Rasé de près, son nez en pointe surplombe un sourire ravageur à la Tom Cruise avec des dents très blanches. Il porte une chemise blanche déboutonnée sur le haut, révélant un torse imberbe, bronzé. Ses manches sont relevées, il porte un jean bleu très serré. Je m’aperçois que tu les observe aussi à l’aide d’un miroir.

Tu vois, que ce n’est pas aussi glauque, te dis-je avec un sourire.

Etonnée, tu me souris et me fais un clin d’œil. J’ai l’impression d’avoir surpris une petite fille qui vient de faire une bêtise. Je suis amusé, j’attrape ta main et je commence à te caresser l’avant bras. Tu te penches, mendiant un baiser pardonneur. Je t’embrasse et te glisse à l’oreille :

Ils sont pas ma, eux ?

Toujours muette, tu me réponds par un léger hochement de tête et un sourire coquin. Je m’aperçois que ton verre est déjà vide.

Je fais signe à la serveuse de nous servir à nouveau deux coupes.

Détendue, tu engages la conversation sur les lieux, la décoration. Je me sens de mieux en mieux. Notre complicité devient câline, nous échangeons des sourires, des clins d’œil.

 

Nous quittons le bar pour nous installer sur une table. Je vois bien que le couple continue à te regarder. Installés dans les fauteuils moelleux, tu te colles contre moi, je t’enlace avec un bras, ma main caressant ta hanche. Souvent notre conversation s’interrompt et nous profitons des ces instants passés tous les deux.

 

Sur la piste de danse, quelques couples commencent à danser, accompagnés de trois ou quatre hommes seuls. Nous nous moquons d’un couple aux allures vulgaires se trémoussant maladroitement.

Elle a une tenue en sky blanche, des collants résilles rose et une couleur de cheveux jaune, des chaussures plateau. Le bilan est sévère, et comme souvent tu l’es plus que moi.

Beaucoup de personnes ici jouent avec le ridicule. Je te fais remarquer que c’est pareil dans toutes les boîtes.

 

Parmi eux, nous tombons toutefois d’accord sur un grand black, métisse, crane rasé, musclé et charmeur. Il porte un pantalon très moulant en cuir noir et un T-shirt transparent noir. Il est très sûr de sa beauté et joue au milieu de la piste des regards qui se posent sur lui. Après un moment, la piste se remplissant de plus en plus, je te demande à plusieurs reprises de venir danser. Finalement, tu attrapes ton verre dont tu vides d’un coup le reste et tu m’accompagnes.

Nous commençons à danser, l’un contre l’autre. Nos gestes dégagent un érotisme qui me rend fou. Mes mains parcourent ton corps, tes seins libres sous ta robe, tes fesses. Je cherche les traces d’un string mais dois me résoudre à l’évidence : finalement, tu n’as rien mis. Coquine ! A cette pensée, je ressens des picotements dans le bas de mon ventre.

 

Les danses s’enhardissent, je sens que tu te laisses aller, bercée par le désir et l’alcool. Autour de nous, il en est de même : les couples se chauffent, des caresses sont échangées, dans une cage, une dame déjà âgée entame une danse assez grossière, les seins nus.

Mais, paradoxalement, j’ai l’impression d’être seul avec toi. Comme invisibles, nous dansons, sans se préoccuper des autres. Nos baisers deviennent endiablés, nos langues se mêlent fougueusement. Je suis aux anges, la soirée pourrait se poursuivre ainsi tellement je suis bien près de toi.

Des couples commencent à emprunter l’escalier au bout de la piste suivis par d’autres couples ou des hommes. Nous continuons à danser. Tu ondules et tournes comme je ne t’avais jamais vu faire. Nos caresses se font plus marquées plus suggestives. Tu te colles contre moi de dos. Tes mains, derrière, caressent mon sexe tendu sous mon pantalon. Le black se rapproche de nous. Il danse très bien et son regard ne se détache plus de toi.

Souvent il te frôle, profitant de mouvements qui ne doivent rien au hasard. Tu fermes les yeux et te laisses faire. Je m’aperçois qu’il est plus grand que moi.

De près, il est impressionnant et son T-shirt laisse deviner sa musculature, taillée mais pas exagérée.

Plus que jamais, nos baisers sont violents presque indécents. Le DJ se défoule mais arrive le moment où il entame une série de slows.

Plusieurs hommes t’invitent mais tu refuses. Le black a disparu. Nous nous enlaçons durant deux slows. Puis, nous nous éloignons de la piste. Je suis surpris de voir ton visage détendu qui n’arrive pas à effacer un doux et subtil sourire. Je vois dans tes yeux que le champagne a doucement commencé à faire son effet. Je te demande si tu veux boire quelque chose. Toujours muette, tu me fais signe que non de la tête. Tu attrapes ma main et tu m’entraînes vers les escaliers.

 

Surpris je te suis, incrédule ne sachant pas ce que tu voulais. Désir, curiosité, voyeurisme…

 

Nous descendons dans une pénombre feutrée, la musique semble s'éloigner. Seuls quelques éclairages rouges parsèment les murs recouverts de tissus et de miroirs. Les escaliers découchent sur un couloir donnant sur plusieurs pièces. Nous avançons doucement.

 

Les deux premières chambres sont vides, uniquement remplies d’un grand lit, de fauteuils contre les murs. Au plafond, des miroirs. Seules les couleurs changent. A la troisième nous retrouvons le couple qui nous avait fais rire. Madame est attachée à un mur, nue avec seulement ses bas roses et un porte-jarretelles violet. Monsieur est à quatre pattes, léchant ses bottes blanches. Deux hommes sont debout près d’eux, les pantalons sur les chevilles en train de se masturber. Nous ne restons pas longtemps à contempler ce spectacle grotesque.

 

Plus loin, nous découvrons des scènes diverses dont certaines retiennent notre attention. D’abord, un couple qui se livre à un 69 devant un autre couple qui se caresse sur un canapé à leur coté. Ensuite, deux femmes emmêlées se caressent et se lèchent devant leurs maris (enfin nous le supposons). L’une des deux est particulièrement belle. Nous nous installons un moment devant l’entrée de la chambre observant ce spectacle lesbien, très excités. Des gens nous frôlent, des mains nous touchent. Dans mes bras, je te sens onduler, fondre. Puis le couple que nous avions observé à notre arrivée se pose à nos côtés. Nous n ‘échangeons qu’un regard, puis nous retournons au show que les deux filles rendent de plus en plus chaud.

 

Soudain je te sens respirer de plus en plus fort, et j’entends un très faible gémissement. Je m’aperçois que la femme du couple a commencé à te caresser les seins à travers le tissu de ta robe. Je te serre plus fort contre moi. Je suis dans ton dos. Avec ta main tu cherches à agripper ma nuque, réclamant un baiser. Tu bascules ta tête en arrière. Nos langues se mêlent encore une fois sauvagement. La femme s’est mise en face de toi, et parcours ton corps de ses deux mains, descendant le long de tes hanches, de tes cuisses jusqu’à tes chevilles. Lentement, elle remonte, ses mains sur tes bas, glissant sous ta robe. A la secousse de ton corps, je comprends qu’elle est arrivée à ton sexe. Ton corps se relâche puis se tend brusquement par à coups, tu gémis, ton souffle s’accélère. Je t’embrasse dans le cou, mon excitation est à son comble. Beaucoup dede nous bousculer. personnes se sont approchées, matant les différents spectacles qui s’offrent à eux. Des hommes se collent contre nous, presque au point

Ta partenaire se redresse, son visage se rapproche du tien et elle pose un baiser sur tes lèvres. Puis elle prend la main de son mari et s’éloigne, vraisemblablement gênée par le monde à proximité. Je me penche vers ton visage :

Alors ?


Çà fait bizarre, arrives-tu à me murmurer

Çà t’a plu ?

Oui

Nous décidons de quitter aussi cet endroit, nous dirigeant vers le fond du couloir passant devant une autre pièce vide. Le couloir débouche sur un grand salon dans lequel plusieurs couples se mélangent. Beaucoup dede te faire l’amour.

Je n’en peux plus d’être spectateur te dis-je.
spectateurs, plus ou moins actifs s’alignent contre les murs. Nous regardons un instant, mais nous ne parvenons pas à nous laisser prendre au jeu. Le désir m’a envahit et je ne contrôle plus mon envie


D’accord

 

Nous nous retournons, et de la tête, je te désigne la pièce vide à côté. Tu t’engages dans cette chambre, garnie d’un immense lit rond entouré de banquettes.

Tu t’arrêtes devant le lit, je me mets derrière toi, je te caresse les épaules et je fais glisser ta robe révélant ton corps cuivre et marqué des traces de maillot, nu mais recouvert uniquement de tes bas aux larges jarretières.

Je me baisse pour enlever tes chaussures et tu te couches sur le lit. Je me déshabille à mon tour et te rejoins. Mon sexe, soulagé par sa libération, se dresse, à la limite de la douleur. Nous nous enlaçons, nous embrassons fougueusement pendant de très longs moments.

 

Rapidement, des spectateurs remplissent les banquettes. Je suis impressionné, plus d’une dizaine dedent. Il y a 4 couples dont la femme de l’un d’eux a entamé une fellation sur son compagnon. Trois ou quatre hommes seuls se sont installés. Deux se masturbent. Je me retrouve sur le dos, tu me chevauches. Tu embrasses ma poitrine, mon ventre descendant lentement sur mon sexe. Quand ta bouche se referme sur lui, je ne peux retenir un long râle, persuadé que j’allais craquer immédiatement. Tu commences un lent va et vient qui m ‘emporte dans des doux frissons de plaisirs. Tu te mets à quatre-pattes en angle droit avec mon corps continuant ta pipe appliquée. Tu offres une magnifique vue sur ton sexe aux veinards qui sont du bon côté. Certains, moins chanceux se déplacent rapidement pour s’accaparer les quelques places bien placées restantes. Ma main gauche descend le long de ton corps jusqu'à tes petites fesses. Lentement, mes doigts se glissent dans ton sexe inondé. Je monte et je descends entre ton clitoris et ton anus. Je te sens frémir sous mes caresses.

J’aimerai que cet échange dure toujours mais ta bouche continue de provoquer une tempête dans tout mon corps. Je me retire pour me positionner derrière toi et te pénétrer en levrette. Des petits cris t’échappent alors que je commence à aller et venir en toi. En face de nous, je croise le regard troublé et rempli de désir du black.
personnes nous regar

Il n’est pas indifférent à ton corps. Je me demande si tu as les yeux ouverts et si tu le vois. Je ne sais si tu lui as fait un signe ou s’il réagit à une pulsion, mais je le vois qui se lève. Autour de nous, tous les couples ont entrepris des ébats. Je vois cet homme qui se rapproche et qui déboutonne son pantalon pour attaquer une masturbation lente sur son sexe dressé haut. Son sexe est dur, bandé, marbré de 2 veines turgescentes … il n’est pas énorme, mais toutefois plus gros (plus large) que le mien. Son gland est lisse, un peu rosé. Je sais qu’il doit te plaire. Il se rapproche doucement de toi.

Je ne crois pas mes yeux, quand je vois ta main saisir son sexe. Après quelques caresses et une prise en main ferme, je vois ton visage et lui s’approcher mutuellement. Rapidement, l’homme se retourne et saisit un préservatif dans une des jattes qui se trouvent dans chaque pièce. Rapidement, il le déroule sur son membre et reviens près de toi … son gland vient buter doucement sur ta joue, à la commissure des lèvres. Tu ne sembles pas rebutée et au contraire, tu engloutis son sexe. Une seconde, interloqué, je ne te reconnais pas.

 

Mais très rapidement, ce sentiment est chassé par un moment de plaisir. Je sais que tu te lâches, que tu vis pleinement ton plaisir. Tous tes tabous et tes réticences s’effondrent, seuls comptes nos plaisirs et nos jouissances. Je continue mes mouvements, plus rapides et plus musclés. Tu gémis et quelques instants, je songe que j’aimerais être à la place de cet homme. Je sais que tes gémissements étouffés subliment ta fellation et transmettent des vibrations de son sexe jusque dans tout son corps.

La maladresse subite de tes mouvements prouve que tu es prête à jouir. Je sens que le plaisir monte rapidement et croise le regard du black qui semble être lui aussi au bord de l’explosion. Je prends le temps tout de même de lui glisser ‘’pas dans sa bouche’’.

Nous restons encore plusieurs moments dans cette position où nous bougeons en cadence. Nous mélangeons tous les trois nos râles et nos gémissements. Dans une parfaite harmonie nous explosons tous les deux en même temps. Le black a juste le temps de se retirer pour jouir à nos côtés. Il s’est retiré doucement du fourreau de ta bouche et je vois des jets puissants et blanchâtres venir gonfler le réservoir. Tes bras s’effondrent et tu rentres la tête dans le matelas. Des papillons noirs brouillent ma vue, je ne sens plus mes forces et je m’affale à tes côtés.

Je caresse tes seins, tes cheveux. Le black promène ses mains sur ton dos et tes fesses. Je sens que comme moi, tu n’as pas envie de bouger. Après quelques instants le black se lève et se s’eclipse, non sans nous avoir gratifié d’un merci étouffé dans un sourire. Autour de nous les couples s’effacent également.

Je retrouve tes lèvres et commence des baisers que tu me rends avec fougue et passion. Impossible de dire le temps qui a passé, pendant lequel nous sommes restés là, collés à nous embrasser.

Lentement, nous nous levons et je t’invite à me suivre vers les sanitaires qui se trouvent en face de la chambre qui fut témoin de nos ébats. Pendant que nous prenons nos douches, je te demande tes impressions.

Presque timidement, tu me dis que tu as vécu une des meilleures expériences sexuelles.

Notre dialogue est fréquemment interrompu, encore et toujours, par nos baisers. Séchés, nous nous rhabillons. Bêtement je ne sais plus quoi faire. Je te propose de continuer le tour des pièces. Tu repasses ta robe fourreau, rechausse tes escarpins. Je me rhabille aussi.

 

D’exhibitionnistes, nous redevenons voyeurs. Nous passons du temps devant les différents spectacles que les couples présents nous offrent. Il y a pêle-mêle une femme qui se soumet aux assauts de cinq hommes, deux couples se livrant à un échange bisexuel, des couples seuls ou accompagnés par un autre homme. Tu te blottis dans mes bras, confortement calée, tu deviens chatte.

Très rapidement, l’excitation me gagne à nouveau et mes mains recommencent à parcourir ton corps. Je m’amuse sur tes seins, tes fesses puis mes doigts s’attardent sur ton visage et tes lèvres. Je m’aperçois que tu réponds à mon désir. Nous continuons nos jeux. Une porte fermée à nos côtés retient mon attention. Je l’ouvre et m’aperçoit qu’-elle donne sur une petite pièce intime, avec un lit mais, à la différence des autres, il n’y a aucune chaise pour des éventuels spectateurs. Je te montre la pièce avec un sourire amusé. En même temps, je me rends compte que le couple de tout à l’heure est en face de nous et nous fixe.

L’homme caresse sa femme pendant qu’elle ne te lâche pas des yeux. Je t’attire dans la pièce et je commence à te déshabiller à nouveau. Je ne pourrais jamais me lasser de la surprise de découvrir ton corps si beau et sexy à chaque fois.

De même, tu entreprends de me retirer mes vêtements. Lentement, le couple pénètre également dans la pièce. L’homme referme la porte à clef derrière lui.

Inquiet, je guette ta réaction. Imperturbable, tu continues de me caresser et tu m’attires sur le lit. Nous recommençons nos jeux amoureux. Le couple entame son effeuillage également et s’allonge à nos côtés. Je m’assois dos au mur et tu t’installes contre moi me tournant le dos. Je peux te caresser les seins, le ventre et le sexe. Tu es toujours inondée et le moindre de mes mouvements provoque en toi des frissons et des sursauts. Je ferme les yeux, inondé de bonheur. Quand je les ouvre, je vois que la femme, superbe, s’est approchée de toi. Lentement elle approche ses lèvres de ton sexe pour commencer un cunnilingus expert. Je suis surpris de ne pas te voir réagir. Tu t’abandonnes à ton plaisir et tes mains s’agrippent dans les cheveux de ta nouvelle compagne sexuelle. Je continue à m’attarder sur tes seins, pendant que j’observe l’homme qui ne rate pas une seconde de votre spectacle tout en se caressant le sexe.

Je sens ton corps se tordre de plus en plus rapidement. Tes yeux sont fermés, ta bouche est entrouverte avec un rictus d’où s’échappent des gémissements lents. La femme continue de plonger dans ton sexe pendant qu’elle se masturbe de la main droite. Soudain, tu te cabres en poussant un cri témoin de ta jouissance.

Maladroitement, tu me couches sur le dos et tu m’enfourches pour t’empaler rapidement sur mon sexe qui te réclame. Je vois que tes yeux sont toujours fermés, tes mains s’appuient sur mon torse, appui qui te permet d’entamer un mouvement rapide de va et vient. Lentement, la femme enfourche mes jambes et se colle à toi en plaquant ses seins dans ton dos. Tu te redresses pour se coller au maximum contre elle. Ses bras t’entourent pour malaxer tes beaux seins tendus de plaisir.

Lentement sa main droite descend sur ton sexe, et ces doigts jouent avec ton clitoris et mon propre sexe. Je vois que ta tête tombe lentement à la renverse. Ta bouche s’ouvre grand pour accueillir le baiser de notre partenaire. Je vois vos langues se mêler tendrement. Là encore, j’aimerai fixer ce moment à l’infini.

Pour la seconde fois de la soirée, je sens monter en moi les prémices d’une jouissance incroyable. Tes gémissements se font plus fermes et accélèrent progressivement. Quand je jouis, j’entends à peine ton cri. Je sens ton corps s’écrouler sur le mien, j’ai juste la force de te serrer dans mes bras. Nous restons là, l’un sur l’autre pendant que le couple entame ses ébats. Rien ne compte, seul m’importe de sentir ton souffle contre ma peau. Sentir ton corps détendu preuve d’une fatigue bienfaitrice, d’un abandon total à ton plaisir.

Je sais que tu es allée au-delà de ce dont tu te croyais capable, mais que ton plaisir a été décuplé par le franchissement des barrières que tu avais érigées.

 

A côté de nous, le couple a fini ses ébats et se retire lentement de la pièce. Nous prenons le temps de revenir sur terre. Dans les bras de l'autre, nous savourons ces instants de douce folie.

 

Par WonderfullTime 





Puisse notre première experience en club correspondre à ceci !

Vous qui avez vecu ce moment, racontez-le nous ... Ces pages, vous sont ouvertes ...
Par Libertins49 - Publié dans : Echanges libertins
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Mardi 12 août 2 12 /08 /Août 09:59

 
J'avais téléphoné à une certaine grande enseigne connue pour ses dépannages rapides. Il faut dire que je n’avais pas le choix. F était en déplacement, et la machine semblait avoir rendu l’âme. Nos schtroumpfs ne nous permettent pas de vivre sans, et il fallait vite une solution.

 

Effectivement, il arriva vite : enseigne appelée le matin, l’intervention eu lieu en fin de journée, et le dépanneur arriva vers 18 h. Je n’y croyais plus, et était en train de bronzer sur la terrasse. Fort heureusement, j’avais une petite robe légère à portée de main, et je doute qu’il ai vu quelque chose à son arrivée … si ce n’est ce que suggérais le léger bout d’étoffe !

 

Quand je passais devant lui pour lui montrer le chemin, j’eu l’impression qu’il me déshabillait, que ses yeux voyaient au travers de la mince étoffe. Il faut dire que je n’avais pas de SG (ce qui devait compte-tenu de ma poitrine opulente, se remarquer), et un seul string de dentelle blanc, en fine dentelle. Je me rappelais que F m’avait déjà dit que cette robe était, selon la lumière, et en particulier en contrejour, parfois comme transparente. Je le vis se mettre au travail : la quarantaine, plutôt beau gosse, un sourire ravageur, des petites rides aux coins des yeux… plutôt pas mal.

 

Après avoir examiné la machine, il me dit :

 

C'est la platine électronique qui est cassé, il faut la commander ! Si vous en êtes d’accord, vous versez un acompte, je la commande, et on devrait l’avoir dans trois jours

 

Cela vaut cher ?

 

Attendez, je regarde.  Il fourragea dans son classeur. Je n’y pris pas garde dans l’instant, mais réalisait après que ce faisant, ses yeux allaient alternativement de moi à ses documents.

 

La pièce plus la main d'œuvre, il devrait y  en avoir pour 500€ à 600€ !

 

Pu…!  Je sentis le juron m’échapper, mais le refrénait. Tant que ça ! Vous permettez que j’appelle mon mari.

 

Oui, bien sûr.

 

Il ne répondit pas, et je me surpris à le maudire; A l’ère des portables, on ne s’habitue plus à ne plus joindre quelqu’un dans la mn ! Je lui laissais un message, et invitais l’homme à entrer dans la cuisine, lui expliquant que je lui offrais un verre, en espérant que mon mari rappellerait entretemps.

Il était charmant, et d’un regard fit le tour de la cuisine.

 

C’est joli chez vous !

 

Merci

 

C’est chaud ! et puis ce mur rouge, c’est … comment !

 

Oui, comment ?

 

Ben, je sais pas … je ne trouve pas le mot … c’est chaud quoi !

 

Je me trompais pas sur le mec … en fait, c’est lui qui était bouillant, mais avouons le, aucune femme ne résiste devant le plaisir constaté à plaire … j’étais dans cette situation !

Il termina le Ricard qu’il m’avait demandé, tandis que j’avais cédé à un reste de Coteaux de l’Aubance pour trinquer avec lui.

Et F qui ne rappelais pas …

 

Bon, et maintenant. C’est pas que je m’ennuie … laissa t’il planer avec un sourire enjôleur ... mais qu’est ce qu’on fait ? Vous nous rappelez ?

 

J’étais au pied du mur. Il fallait décider. 500 à 600 € mais une réparation rapide, ou bien attendre mais la lessive allait s’accumuler !

 

Ca m’embête d’engager une somme pareille, sans avoir l’avis de mon mari !

 

Oh, vous savez, il n’y pourra rien, il faut changer la platine, ça c’est sûr.

 

Oui, mais … on pourrait peut être changer la machine, celle-ci commence à être vieille.

 

Vous savez, c’est une S… Elle devrait encore vous faire quelques années ! Mais c’est vous qui voyez !

 

Je suis embêtée !

 

Je sentais toujours son regard me transpercer, et c’est alors qu’il se jeta à l’eau, comme dans les romans.

Après m'avoir dévisagé des pieds à la tête (je me demandais vraiment ce qui lui arrivait), il me lança tout de go !

 

Il y a peut être moyen de trouver un arrangement, je peux vous faire la réparation pour … disons 100€ !

 

Le salaud ! Ceci dit, il n’était pas mal, mon mari absent pour plusieurs jours, les enfants en haut, obnubilés par DVD et PC

 

Et ben, voilà une proposition directe ! lui fis-je, laissant comprendre que j’avais bien saisi son allusion.

 

Ne le prenez pas mal, Madame, mais vous êtes charmante et si vous êtes gentille…

 

Bon d'accord de toute façon je n'ai pas envie d'engager 500€  si vite, et il me faut pourtant la faire réparer. Mais soyez discrets, mes enfants sont à l’étage. Que dois-je faire ?

 

Il s'appuya contre le lavabo et là, se métamorphosa …il ouvrit sa combinaison de travail et me lança !

 

Alors, vient me sucer, pour commencer, ensuite je te baiserai et t'enculerai ! Tu dois aimer ça non !?

 

Je n’en revenais pas … ce mec qui me plaisait un instant avant, et avec qui je n’aurais pas dit non, me traitais maintenant comme la dernière des putes.

Je marquais un temps d’arrêt … j’étais à deux doigts de lui tourner un gifle magistrale, mais très vite une idée germa dans mon esprit, et fierté aidant, je décidais d’aller de l’avant avec ce rustre !

 

Je voulais lui sortir le grand jeu ! Je m'approchais de lui et passant ma main dans son slip, j’en extirpais la queue du boxer; Je commençais par des rapides va et vient.  Mais très vite, il me prit la tête et chercha à la forcer vers son ventre. Désireuse de lui montrer qu’il ne pourrait pas faire de moi tout ce qu’il entendait, et toute à mon petit subterfuge, je me dégageais et le tirant par le sexe, je le ramenais vers la lingerie, où se trouvais la machine défectueuse.

 

On sera mieux ici. Moins de risque d’être dérangé.

 

Ouais … je vais te prendre sur la machine, tu vas adorer !

 

Attend moi là, je vais passer quelque chose de plus sexy ! mais ne débande pas, hein !  Le mec  semblait ne pas en revenir

 

Après avoir enfilé des bas, un soutien gorge redresse-sein, et un string, et pris quelque chose qui était en fait la raison de mon escapade, je revins dans la lingerie. Il était là, en train de se masturber lentement pour maintenir son érection. Un beau gland sortait de sa paume refermée.

Je restais bras croisés dans le dos, faisant ressortir ma poitrine, dans l’encoignure de la porte.

 

Alors ? J’te plais comme ça ?

 

Ouais ! Joli p’tit lot ! Allez vient me faire une bonne pipe ! Après je t'enfilerai ma bite dans la chatte.

 

Je n’en revenais pas de la différence entre ce beau mec, son langage châtié dans sa posture professionnelle, et son langage si cru alors qu’il ne me connaissait à peine !

 

J’'avais bien envie de faire ce qu'il proposait, mais à ma façon. Je lui demandais de sortir sa bite complètement de son boxer, mais de garder son bleu, lui disant que cela m’excitait.

 

Ah, il n’avait pas débandé, et ainsi exhibait fièrement un sexe ma foi de fort belle taille, dans sa tenue siglée, devant ma machine à laver !

 

Clic, Clac … J’avais sorti un appareil à photo jetable que j'avais caché dans mon dos et je le prenais en photo debout contre la machine, le sexe décalotté à l'air.

 

Eh, mais qu'est ce que tu fais ? s’exclama-t-il surpris !

 

Ben, tu vois, je te prends en photo,  et j'en enverrai une à ton patron et même peut être à ta femme si tu es marié !

 

Oh putain, Oh la salope … oh putain … oh …

Il ne savait que dire d’autre, et puis se fit menaçant … mais avant qu’il ne bouge vraiment, je lui dis !

 

Rappelle toi, j’ai trois enfants là haut, je peux crier !

 

Oh putain, Oh la garce … tu ne peux pas faire ça ! Oh putain,  mais je vais la réparer ta machine ... et même gratuitement si tu veux ! dit-il tout penaud.

 

Le macho viril était pris à son propre piège, mais j’avais envie de m’amuser

 

On verra ça plus tard pour l'instant déshabille toi !

 

Mais ?!.....

Tais toi et dépêche toi avant que je ne perde patience et change d'avis. Si tu es gentil,  tu repartiras avec l’appareil et sa pellicule !  Allez, à poil !

 

Il s'exécute et quand il fut nu comme un ver, les mains maintenant pudiquement croisées sur son sexe, je lui ordonne :

Retourne toi, et met tes mains dans le dos !

 

Je m'approche et lui saisissant les poignets, je lui lie avec un bas dont je me suis saisi dans la lingerie puis, le retournant, je lui saisis sa verge que je branle doucement, je lui décalotte le gland et le recouvre. Ce mec est bien monté ! Mais sa verge sens fort, une journée de labeur et peut être plus … aussi, d'une tape sur les fesses, je lui dis :

Allez hop ! Dans la baignoire que je te lave !

 

Quoi ?

Tu ne voulais tout de même pas que je suce un sexe qui sent la transpiration ! Rappelles toi, sois discret, on n’est pas seuls !

 

Il me précède, je lui indique le chemin … Il ne brille pas, et son excitation l’a quitté.

Une fois dans la baignoire, je lui arrose le sexe avec la douchette en insistant sur son gland, prend du gel et l’en enduit en une caresse douce. Il regrossit à vue d'œil, et mon traitement lui tire des soupirs de plaisir. Lui qui avait de la gueule tout à l’heure, ne dit plus un mot

 

Tu aimes ça, hein ?

 

Oh Oui !!! … soupire t’il les yeux perdus en l’air

 

Je lui frotte bien les couilles et la verge avec du gel, lui fais signe de se retourner et lui administre le même traitement sur les fesses … mon lavage se fait coquin, voire inquisiteur et un doigt vient se glisser dans le premier pli de son anus ! Il retourne la tête d‘un air étonné, mais manifestement, ne montre aucune opposition.

 

Propre ! je te veux propre, brillant,  … oK ?

 

Puis, je le rince avec le jet réglé au maximum et à nouveau des soupirs sortent de ses lèvres entrouvertes.

 Ca fait du bien hein ! Bon, allez ! Ca suffit, sort de là !

Je le sèche avec une serviette en prenant soin de laisser son gland décalotté, puis je me penche et lui embrasse le gland :

Voilà c'est tout propre maintenant !

 

Je fais quelques aller retour, en m’appliquant à le sucer goulument … j’essaie de le prendre le plus loin en bouche, et m’escrime à être la plus coquine possible, en plongeant parfois mon regard dans ses yeux … il accompagne mes mouvements de ses mains posés sur ma tête … J’ai le bas ventre qui me chatouille, je sens mon sexe en feu … j’ai envie du même traitement :

Bon, à moi maintenant !  met toi à genoux !

 

Je prends sa place contre le lavabo et écartant les cuisses, je lui saisis ses cheveux et lui plaque sa bouche sur mon sexe :

Lèche-moi !

 

Il ne se fait pas prier. Je sens sa langue aller et venir sur mes lèvres en essayant de s'introduire entre elles pour titiller mon clitoris. Il n’est pas maladroit. De ses mains, il me malaxe les fesses … dommage qu’il ne soit pas plus entreprenant !

 

Après de longues minutes de ce petit jeu, pendant lequel j’ai alterné entre montées de plaisir et la réflexion sur la suite à donner, je vais chercher une chaise dans la cuisine et la pose au milieu de la salle de bain. Je ferme la porte à clé (on ne sait jamais …)

Je le fais se retourner sur le lavabo, et se pencher en avant , les mains posées sur la vasque, en lui demandant d’écarter les jambes. J’ouvre un tiroir, et me saisit du gel lubrifiant. J’en mets une noix sur deux doigts, et entreprend de lui masser l’anus … Loin de protester, il se laisse faire sans un mot, et bien vite, je peux introduire un doigt à l'intérieur, puis deux. D’un doigt profond, je sens la boule de sa prostate … de l’autre main passée entre ses cuisses, je peux sentir à la vigueur de son érection que le Monsieur réagit plutôt bien !!

Dans le même tiroir, je me saisi d’un plug, enduit son extrémité de gel et lui pose sur l’étoile. Il frémit, et me demande, sans se retourner :

Qu’est ce que c’est ? Qu’est ce que tu fais ?

 

Laisse toi faire … tu vas aimer

 

Je lui enfonce la pyramide faite d’anneaux successifs entre les fesses, en le faisant aller et venir doucement afin de le faire pénétrer de plus en plus ; Le coquin, il n’a aucune peine à l’engloutir jusqu’à la corolle qui le termine

Alors !? Tu disais que tu voulais m'enculer ! Et bien c'est moi qui te sodomise !

 

Maintenant qu’il a le plug bien au fond, je l’invite à se redresser et à se retourner, et lui montre la chaise. Je lui fais signe d’aller s’y asseoir :

Comme ça ?

 

Ben oui, comme ça. Ne t’inquiète pas !

 

Il s’assied doucement, comme s’il venait s’asseoir sur un tapis de clous ! Au fur et à mesure où il pose tout son poids, j’imagine le plug venir se caler encore plus profondément en lui … une légère grimace témoigne du moment où il s’assied complètement :

Ça va ?

 

Oui … c’est bizarre, mais ça va !

Je me penche et lui suce le sexe pour lui donner une érection maximum, puis je viens l’enjamber. A mon tour, je m'assoie délicatement sur son sexe en érection. Il bande bien et c’est un vrai plaisir que de descendre sur cette belle bite. De nouveau, je lui vois ce petit rictus quand je termine ma descente et pose mes 58 kg en plus des siens sur le haut de ses cuisses !

Je commence alors des va et viens, de plus en plus rapides, pour faire monter mon plaisir.

 

J’imagine le sien, avec une mère de famille qui vient se faire jouir ainsi (mieux que dans ses rêves, non ? !) tandis qu’il repose sur un plug qui lui écarte le cul !

 

Il ne dit toujours rien … Je penche pour un timide plein de fantasmes … tout à l’heure, il s’est lâché, tentant son va tout, mais oubliant d’y mettre les formes … maintenant, l’homme pseudo autoritaire et dominateur qui me promettait un enfer de sexe (qui est alors, souvent, le paradis !!) est comme un jeune puceau, sans voix.

Tu voulais me baiser hein ? Eh bien, c'est moi qui te baise !

 

J’accélère en m’enfonçant plus profondément sur son sexe jusqu'au moment ou je sens la jouissance m’envahir ;  je crie mon plaisir, mais au même moment, je sens son sexe se tendre … oh mer… ! il vient lui aussi ! Les capotes ! Mais c’est déjà trop tard, je sens ses soubresauts :  il éjacule en moi projetant son sperme dans ma chatte.

 

Espèce de salaud ! Tu ne pouvais pas te retenir !

 

Je me relève brutalement, et l’idée me vient de continuer ce petit jeu pervers (mon mari m’a avoué qu’il adorerait mais nous n’avons jamais encore pratiqué !)

Je le fais s’allonger, et viens l’enjamber. Il doit avoir une vue superbe sur mon entrejambe … je m’accroupis, dedevant un parfait inconnu !) et écarte mes lèvres. Je les sens gonflées, mais aussi crémeuses de mon plaisir et de sa semence. Je la sens d’ailleurs commencer à glisser sur une de mes cuisses. manière très impudique (qui aurait pensé que je puisse ainsi m’exhiber

 

Je m’assied lentement sur son visage, en lui écrasant doucement le nez et la bouche avec mon sexe.

Nettoie-moi !  Reprend ton sperme ! Goute-le !

 

Une fois encore, pas un mot d’objection. Le coquin semble aimer cette séance de soumission soft …

C’est une nouveauté pour moi, pour lui aussi peut être. J’avoue que j’aime bien !

 

Je sens sa langue aller et venir au plus profond de ma chatte. Je l’aide en contractant les parois de mon vagin pour expulser son sperme.

Le coquin me fais jouir une nouvelle fois, de sa langue agile qui me fouille, tandis que je me masturbe d’une main … tandis que je jouis, je l’entends râler … Toute à ma jouissance, j’ai du me relâcher sur lui, et je l’étouffe !

Je me relève, me retourne et lui prenant son sexe dans la bouche, je lui fais une longue pipe jusqu'à sa jouissance. Je prends un vrai plaisir à avaler son sperme au gout un peu âpre et salé.

 

Je me lève et le laisse seul dans la salle de bain. Je lui rapporte son vêtement de travail et ses sous vêtements.

 

Il me rejoint dans la cuisine. C’est à ce moment que notre grand descend …

Nous sommes en train de boire un café.

 

Il nous regarde bizarrement …

 

Qu’est-ce qu’il y a ?

 

J’sais pas … vous avez l’air crevés, en sueur … et puis toi, Maman t’es toute échevelée ! Et Papa, c’est quoi ces fringues !?

 

Non, non, ça va …


lui …

Ces fringues, eh ben …c’est une tenue de travail !

 

Et le gamin,  tournant les talons … Qu’est-ce qu’on mange ce soir ?

 

Et voilà ! Comme vous l’avez compris, tout ceci était un jeu entre adultes consentants ! Fantasme à assouvir, ou réalité vécue ??? selon vous ?

En tout cas, ce recit nous a été inspiré par un melange entre situation vecue, fantasme et recit d'un internaute qui a servi de revelateur ... Nous servant de sa trame, nous l'avons toutefois fondamentalement remanié ...
En espérant que ceci vous plaise ...

 

Il n’en reste pas moins que notre machine est en panne, et que le réparateur est venu, a emmené la notre, et nous en laissant une en prêt … Vraiment bien, cette enseigne !

Par Libertins49 - Publié dans : Echanges libertins
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Vendredi 8 août 5 08 /08 /Août 18:10
Bonjour

nous reprenons pied en Anjou après de merveilleuses vacances ... seul petit hic, notre APN est resté sur la poche superieure du sac à dos, lui même mis à la va-vite dans le coffre banquette de notre Zodiac et il a été martelé une bonne heure durant par une houle de travers qui nous faisait raquetter sans cesse ... Ecran mort et fonctionnalités bien alétatoires ... Après avoir cassé le précédent (la fine mécanique C.... n'a pas aimé de sable fin de Corse l'an dernier), nous avions pourtant fait un peu abstraction de l'optique (je sais, c'est un peu con pour un appareil photo, non ? Que les puristes, - hein Manu !? - nous pardonnent !!!) pour prendre un tout temps, waterproof, shockproof ... et j'en passe ... il est donc de retour en SAV !
Ceci mis à part, tout était parfait ... sur tous les plans !! hi hi hi

On espère que pour vous aussi les vacances furent bonnes, et agréables, ou qu'elles le sont encore pour ceux qui ont la chance d'y être encore.

La reprise, que l'on escomptait calme, est en fait sur les chapeaux de roues, alors pas trop le temps de vous faire profiter de vraies nouveautés.

Mais pour nous faire pardonner (certains nousont reprochés nos dernières absences ... ils ont raison, du moins ceux qui l'ont fait avec tact et humour !!!), on vous livre un petit manuel de courtoisie à l'usage des hommes, petits ou grands, expérimentés ou jeunes premiers ... ne dites pas; Messieurs, que vous ne reconnaissez aucun de quelques uns de nos travers ... Bon ! celui qui se retrouve dans plus de 10 reponses doit travailler encore un peu (beaucoup même !!!), de 5 à 10 c'est perfectible ... au dessus de 5, on donne votre adresse aux amies du site :)

Nous avons decouvert ceci au detour d'une belle decouverte, celle d'un charmant couple repondant aux noms de Stephanie et J Luc qui habitent ... malheureusement bien loin de nous. Qu'ils soient ici remerciés du plaisir que nous avons eu à les rencontrer. BisouX




"Jusqu'ici tout va bien" se dit-il, l'air satisfait. La soirée a été bonne, et il vous a conviée pour "un dernier verre". Vous avez atteint la chambre.

C'est alors que la phase la plus délicate commence : faire en sorte que tout se passe bien pour qu'Elle ait une folle envie de remettre ça, dès demain et les jours suivants ...

Et pour ça, il y a des erreurs à ne pas commettre
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1) Barbe de 3 jours
Certes, le look baroudeur aventurier, ça a du charme. Mais se faire labourer le visage, les cuisses, ou des zones bien plus sensibles par un Scotch-brite vivant n'est apprécié que par une frange limitée de la population féminine, plutôt sado-masochiste.
Peu de filles aiment se soigner à la Biafine au réveil. Trop tard pour ce soir ?
Demain, rase-toi de près, on te promet qu'elle appréciera.
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2) Un sexe et 2 seins
Non, ta copine ne se résume pas à un sexe et deux seins. Ne focaliser que sur ces deux zones est vouée à l'échec.
1 - Tu passes pour un obsédé.
2 - Tu prouves ta méconnaissance du corps féminin.
Il ne te faut pourtant pas beaucoup d'imagination : toutes les parties du corps féminin peuvent être source de plaisir : le dos, les épaules, les bras, la nuque, les épaules, l'interieur des cuisses, les hanches ... à toi de faire preuve d'un peu de curiosité pour trouver ses zones érogènes ... c'est tellement agréable
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3) Ce n'est pas ton ex
Inutile de t'escrimer à reproduire ce que ton ex adorait. Toutes les filles ne réagissent pas aux mêmes stimulations.
Expérimente, propose, mais si elle baille, se détourne, rends-toi à l'évidence : plutôt que d'essayer de te souvenir de ce qui est censé marcher, débarasse-toi de tes gestes stéréotypés.
Contente-toi d'être à l'écoute des réactions de son corps, Son corps à Elle.
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4) Pas la tête
Tu penses peut-être qu'en appuyant sur sa tête, elle sera plus encline à descendre vers ton bas-ventre et " tiltera " : " Oh, un sexe ! Et si je le prenais dans ma bouche ? "
Nan nan nan : elle n'est pas idiote !
Elle sait où est ton sexe, mais elle déteste plus que tout qu'on lui force la main.
Deux possibilités : soit elle n'en a pas du tout envie, soit elle est timide et pas forcément à l'aise avec la chose.
Amène donc le sujet en douceur, discutez-en.
Ceci dit, il n'est pas interdit de penser qu'elle peut elle aussi apprécier, mais decouvre le alors avec tact
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5) De l'utilité des fesses
Glisser ta main dans ses sous-vêtements, pourquoi pas. Mais si c'est pour transformer sa culotte en brésilien ou lui lacérer l'entre-jambes voire l'épiler avec son string, oublie tout de suite. Plus que gênant, ça enlève tout plaisir.
Plutôt que de passer pour un mec qui a deux mains gauches, on te conseille de la déshabiller (lentement hein, pas comme un môme qui arrache le papier cadeau de ses joujoux à Noël).
Ca te permet de garder toute liberté d'action pour les caresses et t'évite de t'emmêler bêtement les doigts.
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6) Obsessions mamelons
Ado, tu as entendu dire que les mamelons étaient érogènes. Certes, mais cela ne veut pas dire qu'il faut que tu t'escrimes dessus. Rouler le mamelon entre deux doigts façon " je cherche, à ce que l'on m'a dit, ça doit être comme ça ! " c'est ridicule !
Les seins c'est un ensemble : la peau, dessous ou sur le côté, est hautement érogène.
Tu peux donc caresser les seins voire les masser en douceur . L'objectif n'est pas de réaliser des formes avec ! Evite donc les " regarde, j'ai fait un canard ! "
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7) Le palpé-roulé
Non, elle ne passe pas la nuit avec toi pour s'offrir un palpé-roulé.
Donc, le malaxage forcené des seins, des cuisses et des fesses, tu l'adoucis, même si ça t'excite.
Les caresses peuvent être appuyées certes, mais garde en tête qu'on n'entre pas dans le vif du sujet comme on entre en mêlée.
Alors à moins d'avoir dégôté une furie, ce qui est possible, calme tes ardeurs au départ, quitte à monter en puissance pendant l'action.
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8) Opération chaussettes
Si tu ne veux pas casser ton personnage, évite déjà de porter un pauvre slip kangourou difforme, voire troué : il te donne un handicap certain sur Brad Pitt.
Tâche également qu'il ne soit pas livré avec une vieille trace de pneu associée : dégoût féminin assuré.
Enfin quitte à parler hygiène, non seulement tu auras veillé à avoir des chaussettes propres, mais tu les enlèveras pour passer au lit.
L'amour en chaussettes, on a fait plus sexy.
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9) Porn' academy
Le porno, ce n'est pas la vraie vie. C'est pas ça l'amour.
Les " performances " des acteurs porno ne sont - vraisemblablement - ni dans tes compétences, ni dans son désir (à elle).
Ajoutons qu'il est normal qu'elle ne soit pas épilée intégralement, comme il est normal que ton sexe ne fasse pas 32 cm en érection.
Sorti de ces quelques considérations, l'éjaculation faciale, c'est seulement si elle le demande.
Et si elle te fait une fellation, tu préviens avant de jouir, histoire qu'elle ait le choix !
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10) Chercher sa prostate
Elle n'en a pas. Voilà. Ca, c'est fait.
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11) Dis mon nom , salope !
Les vulgarités que tu pourrais prononcer pensant l'exciter, tu les oublies tout de suite, du moins de prime abord.
Si "je vais te badigeonner la raie ma truie" te traverse l'esprit, surtout ... tu ne le dis pas.
Si elle aime se faire insulter, fouetter ou traiter de noms bizarres, t'inquiète, elle te le dira.
---------------------------------------------------------

12) Trop long , trop bon ?
Tu as tellement la hantise d'être considéré comme un éjaculateur précoce que tu t'es mis en tête que plus ça durait mieux c'était.
Pour toi certes. Mais pas forcément pour elle.
Des va-et-vient de 20, 30 ou 40 minutes, si c'est pour ne pas la mener à l'orgasme, on peut t'assurer qu'elle va s'emmerder ferme.
Donc ne focalise pas sur la durée mais sur le plaisir mutuel que vous prenez.
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13) C'est quoi ce chewing-gum ?
Mal réveillée demain, elle sera dégoûtée de sentir sous son pied le préservatif que tu auras négligemment laissé au sol. Beurk !...
La règle d'or est la suivante : le préservatif, c'est toi qui le porte, c'est toi que le fait disparaître.
Un joli nœud et tu prends la peine d'aller le mettre dans la poubelle de la salle de bain ; et pas au pied du lit, même vaguement emballé dans un kleenex. Profite-z'en pour jeter l'emballage aussi.
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14) ZzZzZzZzZzZz...
La méthode qui, après l'amour consiste à te retourner et dormir en moins de deux, n'est que moyennement appréciée.
Conseils de base : même si après l'extase le sommeil gagne - et on sait toutes qu'il gagne vite chez toi - résiste ! (résiste, prouve que tu exiiiiisssstes )
Propose-lui de venir dans tes bras, deux trois gestes ou mots tendres (et pas " tu sais k't'es une sacrée chaudâsse, toâ !"), et elle te pardonnera de plonger ensuite dans un sommeil profond.
---------------------------------------------------------

15) Allez , bye !
Se lever, se rhabiller, et dire " Ouais c'est ça, on s'appelle ", ce n'est pas le meilleur plan, sauf bien sûr si tu veux lui faire comprendre qu'entre vous, c'est juste un plan cul sans lendemain.
Dans tous les autres cas, passe le reste de la nuit à ses côtés.
Et demain, n'oublie pas de te lever sans bruit, et d'aller chercher les croissants. Merci.



Allez, soyez fairs, ne dites pas que vous ne vous êtes pas un tant soit peu, voire beaucoup (??? non ! pas les fins lecteurs de ce blog ... rassurez-nous !), reconnus.

Nous on adore ... et la philosophie de la la vie de ces deux coquins aussi.

BisouX à tous et à toutes ...


Par Libertins49
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